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Plaintes et colère, contestations et indignations des femmes au lendemain de la publication des résultats des élections législatives nationales et provinciales .
Qu’en est-il de la participation de la femme lors des élections de 2023 ? Est-ce que les droits de cette dernière ont été respectés ? Toutes ces questions ont fait l’objet d’une journée d’évaluation-postélectorale le vendredi 9 février 2024 à Kinshasa avec les femmes candidates réunies comme un seul homme au sein de la Plate-forme Femmes Leaders et Visions Politiques « FLVP », qui encadre les femmes de toutes les tendances politiques confondues.
Pour la cause de la femme, cette plate-forme via cette rencontre, avait comme but, de recueillir les expériences, les plaintes des différentes candidates en vue de préparer un plaidoyer auprès des décideurs pour améliorer la participation politique de la femme pour le reste du processus électoral et des postes nominatifs.
Au cours de cette journée, la situation du respect des droits de la femme pendant la campagne électorale a été abordé par la première intervenante, Charlotte SONGUE-PRISO, du Bureau conjoint des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, qui a rappellé quelques droits fondamentaux reconnus à la femme notamment le droit à l’information, l’éducation, le droit politique mais aussi le droit de revendication.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Pour Elle Info, le 12 février 2024.
Source image: Pour Elle Info
L'Institut pour l'égalité des femmes et des hommes (IEFH) plaide pour l'élaboration d'une politique d'égalité de genre ambitieuse et effective dans un mémorandum publié vendredi, en vue des élections fédérales de juin 2024. Le document renferme plus d'une soixantaine de recommandations concrètes articulées en neuf axes.
"Une telle politique exige entre autres de renforcer la lutte contre les discriminations ainsi que le combat contre la violence sexuelle en plaçant les intérêts des victimes au premier plan", explique l'IEFH. "D'autres formes de violences basées sur le genre, telles que la violence entre partenaires et la violence liée à l'honneur, requièrent également une approche adéquate."
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par La Libre, le 9 février 2024.
Source image: La Libre
Les Togolais iront aux urnes le 13 avril 2024 dans le cadre des élections législatives et régionales. Le montant de cautionnement des candidates est revu de moitié à ces deux rendez-vous électoraux. L’annonce a été faite à l’issue du conseil des ministres tenu le jeudi 8 février 2024.
« Conformément aux dispositions du code électoral, chaque candidat aux élections législatives devra verser un cautionnement de cinq cent mille (500 000) francs CFA, tandis que pour les élections régionales, le montant s’élève à deux cent mille (200 000) francs CFA par candidat. Toutefois, cette règle comporte une exception significative pour les femmes candidates, qui ne devront verser que la moitié de ces montants respectifs ».
Pour l’exécutif, cette mesure reflète ainsi l’engagement du pays dans la promotion de la participation politique des femmes. Elle s’inscrit dans une série d’efforts visant à renforcer la participation politique des femmes au Togo. La mesure s’appuie sur les progrès réalisés dans la promotion de l’égalité des genres et dans la reconnaissance du rôle crucial des femmes dans la gouvernance et le développement du pays.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par AFRICA Rendez-vous, le 9 février 2024.
Source image: AFRICA Rendez-vous
La directrice du projet du Centre tunisien pour la Méditerranée (TU-Med), Ahlem Karoui, a souligné dimanche 4 février 2024 la faible participation des femmes au second tour des élections locales dans les différents bureaux de vote couverts par les observateurs du Centre.
Selon les chiffres officiels de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), le taux de participation générale au premier tour des élections locales a été de 11,84%, avec 35% de femmes et 65% d’hommes.
Dans une déclaration à l’agence Tap, Karoui a indiqué que le Centre TU-Med disposait de 120 observateurs dans les régions frontalières et rurales, répartis dans 104 circonscriptions électorales, dans le cadre de son observation des élections sexo-spécifiques.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Kapitalis, le 5 février 2024.
Source de l'image: Kapitalis
Sur les 688 députés provinciaux élus provisoirement, 66 seulement sont de femmes, soit un peu moins de 10%. Ceci ressort des résultats provisoires des élections législatives proclamés la nuit de dimanche à lundi 22 janvier par la CENI.
Si ces chiffres représentent un recul sur le plan de la représentativité de la femme au sein des assemblées provinciales, il n'en demeure pas moins que ce taux est inégalement réparti dans les 26 provinces.
Avec 12 femmes, soit près de 30%, sur les 44 députés élus à l’assemblée provinciale, le Haut-Katanga, par exemple, réalise la meilleure performance en termes de représentativité de la femme.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Radio Okapi, le 22 janvier 2024.
Les élections présidentielle et législatives de février en Indonésie seront une fois encore dominées par les hommes, mais pour la candidate Lingga Permesti, beaucoup plus de femmes pourraient s'impliquer dans la vie politique du vaste archipel.
A 37 ans, elle fait partie des candidates qui se présentent pour la première fois, sur une scène politique longtemps monopolisée par des élites pérennisant un système patriarcal.
Près de 205 millions d'Indonésiens sont appelés aux urnes le 14 février pour la présidentielle et les législatives. Et si plus de la moitié des électeurs sont des femmes, selon la commission électorale, peu d'entre elles les représenteront.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par La Libre, le 24 janvier 2024.