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Les femmes sont moins nombreuses que les hommes à siéger longtemps à l'Assemblée nationale du Québec

Editorial / Opinion Piece / Blog Post

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June 26, 2018

Les femmes sont moins nombreuses que les hommes à siéger longtemps à l'Assemblée nationale du Québec

Source: La Presse

D'abord une statistique, incontournable : parmi les 34 élus à l'Assemblée nationale qui, depuis 1867, ont siégé pendant plus de 25 années, on ne trouve que trois femmes : Pauline Marois, Louise Harel et Monique Gagnon-Tremblay.

Bien sûr, avant 1962, avec l'élection de Claire Kirkland-Casgrain, tout simplement aucune femme n'était entrée au Salon de la race - le Salon bleu, qui était vert à l'époque. Mais pourquoi la carrière politique des femmes est-elle plus courte ? Les causes sont multiples... et difficiles à déterminer, expliquent ces rares marathoniennes de la politique.

Isabelle Charest et Christine Mitton pour la Coalition avenir Québec (CAQ), Marwah Rizqy et Jessica Harnois pour les libéraux, Nathalie Leclerc et Diane Lavallée au Parti québécois : tous les partis ont trouvé des femmes connues pour tenter leur chance aux prochaines élections générales. On vise la parité hommes-femmes dans les candidatures, une cible impensable il y a quelques années encore. Mais ces femmes pourront-elles rester longtemps au Parlement ? Surtout, le voudront-elles ?

Cliquez ici pour lire l’article publié par La Presse le 19 juin 2018.

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D'abord une statistique, incontournable : parmi les 34 élus à l'Assemblée nationale qui, depuis 1867, ont siégé pendant plus de 25 années, on ne trouve que trois femmes : Pauline Marois, Louise Harel et Monique Gagnon-Tremblay.

Bien sûr, avant 1962, avec l'élection de Claire Kirkland-Casgrain, tout simplement aucune femme n'était entrée au Salon de la race - le Salon bleu, qui était vert à l'époque. Mais pourquoi la carrière politique des femmes est-elle plus courte ? Les causes sont multiples... et difficiles à déterminer, expliquent ces rares marathoniennes de la politique.

Isabelle Charest et Christine Mitton pour la Coalition avenir Québec (CAQ), Marwah Rizqy et Jessica Harnois pour les libéraux, Nathalie Leclerc et Diane Lavallée au Parti québécois : tous les partis ont trouvé des femmes connues pour tenter leur chance aux prochaines élections générales. On vise la parité hommes-femmes dans les candidatures, une cible impensable il y a quelques années encore. Mais ces femmes pourront-elles rester longtemps au Parlement ? Surtout, le voudront-elles ?

Cliquez ici pour lire l’article publié par La Presse le 19 juin 2018.

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