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Députées kurdes – l’égalité comme combat

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Députées kurdes – l’égalité comme combat

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Au nord de l’Irak, la région du Kurdistan vit une transition spectaculaire depuis une dizaine d’années. Lorsqu’elle a été libérée du joug de Saddam Hussein en 2003, elle s’était déjà dotée d’institutions quasi étatiques, bases d’un futur État. Dans ce contexte, et au sein d’une société encore conservatrice, les femmes se battent pour avoir leur mot à dire sur les plans législatif et exécutif. Grâce à la mise en place d’un quota, elles occupent aujourd’hui 30 % des sièges du Parlement.

« Être députée, c’est un rêve qui se réalise », confie Rewaz Faiaq Huseen dans un café de Souleymanieh, la seconde ville du Kurdistan irakien, région officiellement autonome depuis 2005. « M’occuper des problèmes des gens, répondre à leurs questions, c’est ce que j’ai toujours voulu faire, poursuit cette professeure de droit des affaires à l’université. J’ai fait de longues études pour ne pas ressembler à ma mère, qui restait à la maison pour prendre soin de nous sans pouvoir participer au budget du ménage et qui n’avait, de fait, pas son mot à dire. »

Pour lire l'article publié le 2 Décembre 2014, veuillez cliquer ici.

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Députées Kurdes

Au nord de l’Irak, la région du Kurdistan vit une transition spectaculaire depuis une dizaine d’années. Lorsqu’elle a été libérée du joug de Saddam Hussein en 2003, elle s’était déjà dotée d’institutions quasi étatiques, bases d’un futur État. Dans ce contexte, et au sein d’une société encore conservatrice, les femmes se battent pour avoir leur mot à dire sur les plans législatif et exécutif. Grâce à la mise en place d’un quota, elles occupent aujourd’hui 30 % des sièges du Parlement.

« Être députée, c’est un rêve qui se réalise », confie Rewaz Faiaq Huseen dans un café de Souleymanieh, la seconde ville du Kurdistan irakien, région officiellement autonome depuis 2005. « M’occuper des problèmes des gens, répondre à leurs questions, c’est ce que j’ai toujours voulu faire, poursuit cette professeure de droit des affaires à l’université. J’ai fait de longues études pour ne pas ressembler à ma mère, qui restait à la maison pour prendre soin de nous sans pouvoir participer au budget du ménage et qui n’avait, de fait, pas son mot à dire. »

Pour lire l'article publié le 2 Décembre 2014, veuillez cliquer ici.

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