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La difficile ascension des jeunes femmes dans les partis politiques en Côte-d’Ivoire

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La difficile ascension des jeunes femmes dans les partis politiques en Côte-d’Ivoire

Source: Connection ivoirienne

En Côte d’Ivoire, les grands partis politiques hésitent encore à confier leur mouvement de jeunesse aux jeunes filles. Ces dernières n’auraient-elles pas les qualités nécessaires ? Qu’est-ce qui freine leur ascension ? Une enquête que nous avons menée avec le soutien de l’Institut PANOS.

L’arrivée massive des femmes qui ont pris le contrôle du Rassemblement des républicains (Rdr) lors du dernier congrès les 9 et 10 septembre est-elle un signe des temps qui changent ? Ce virage doit-il être simplement considéré comme un épiphénomène, le temps que la nature reprenne ses droits dans le monde politique ivoirien et remette les différents acteurs à leur place ? Nous avons passé en revue les pépinières des principaux partis politiques à la recherche de jeunes femmes capables d’être des Hortense Aka-Anghui, Henriette Dagri-Diabaté, Kandia Camara, Marie Odette Lorougnon… de demain.

A l’appel des présidents des jeunesses des principaux partis politiques (Pdci, Fpi, Rdr Udpci, Mfa) aucune femme. En effet, entre Valentin Kouassi (Jpdci urbaine), Yao N’guessan Justin Innocent (Jpdci rurale), Navigué Konaté (Jfpi), Dah Sansan (Rjr), Franck Adiko (Judpci)…le constat est clair. Ici, les enjeux se conjuguent toujours au masculin. Même si dans les textes aucune disposition n’empêche les jeunes filles de briguer ces postes, les grands partis politiques hésitent encore à leur confier leur mouvement de jeunesse. La problématique de la faible représentativité des femmes dans l’arène politique ivoirienne qui continue d’être dénoncée par des associations politiques et des organisations de la société civile commence très tôt.

Cliquez ici pour lire l’intégralité de l’article publié par Connection ivoirienne le 14 décembre 2017. 

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En Côte d’Ivoire, les grands partis politiques hésitent encore à confier leur mouvement de jeunesse aux jeunes filles. Ces dernières n’auraient-elles pas les qualités nécessaires ? Qu’est-ce qui freine leur ascension ? Une enquête que nous avons menée avec le soutien de l’Institut PANOS.

L’arrivée massive des femmes qui ont pris le contrôle du Rassemblement des républicains (Rdr) lors du dernier congrès les 9 et 10 septembre est-elle un signe des temps qui changent ? Ce virage doit-il être simplement considéré comme un épiphénomène, le temps que la nature reprenne ses droits dans le monde politique ivoirien et remette les différents acteurs à leur place ? Nous avons passé en revue les pépinières des principaux partis politiques à la recherche de jeunes femmes capables d’être des Hortense Aka-Anghui, Henriette Dagri-Diabaté, Kandia Camara, Marie Odette Lorougnon… de demain.

A l’appel des présidents des jeunesses des principaux partis politiques (Pdci, Fpi, Rdr Udpci, Mfa) aucune femme. En effet, entre Valentin Kouassi (Jpdci urbaine), Yao N’guessan Justin Innocent (Jpdci rurale), Navigué Konaté (Jfpi), Dah Sansan (Rjr), Franck Adiko (Judpci)…le constat est clair. Ici, les enjeux se conjuguent toujours au masculin. Même si dans les textes aucune disposition n’empêche les jeunes filles de briguer ces postes, les grands partis politiques hésitent encore à leur confier leur mouvement de jeunesse. La problématique de la faible représentativité des femmes dans l’arène politique ivoirienne qui continue d’être dénoncée par des associations politiques et des organisations de la société civile commence très tôt.

Cliquez ici pour lire l’intégralité de l’article publié par Connection ivoirienne le 14 décembre 2017. 

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