Political Parties

Rachel, élue d'une ville des Hauts-de-Seine, partage son expérience douloureuse de femme politique...

Les signataires du manifeste «Sortons la politique du Moyen Âge» racontent leurs expériences personnelles à «20 Minutes»…

«Sortons la politique du Moyen-Âge». C’est par ces mots que commence un manifeste contre le sexisme en politique signée par une cinquantaine de femmes politiques à l’occasion du premier Forum national des femmes en politique les 29 et 30 novembre. Certaines des signataires racontent à 20 Minutes comment elles vivent le sexisme au quotidien.

Connaissez-vous Ghislaine Lalanne, Annie Darracq, Éliane Barrouillet, Marion Bernadet, Régine Gomez, Hélène Sarriquet, Lucette Dumon, Paulette Lacoste, Christine Duverger ou encore Annie Hamou ? Pour les élections cantonales de 2008 et 2011, ces femmes politiques étaient les suppléantes respectives d’Henri Emmanuelli, Robert Cabé, Pierre Dufourcq, Guy Bergès, Jean-Pierre Dalm, Hervé Bouyrie, Michel Herrero, Jean-Claude Deyres, Guy Destenave ou encore Jean Pétrau.

Dans le cadre de son projet (2013-2014) visant au renforcement des capacités des femmes au sein des partis politiques, l’Institut international pour la Démocratie et l’Assistance Électorale (Institute for Democracy and Electoral Assistance - IDEA International), a organisé mercredi, une première réunion de travail avec plus d’une cinquantaine de femmes impliquées en politiques, afin de les rendre plus actives dans leur parti politique respectif. Une initiative appelée a se répéter dans diverses régions du pays.

«C'est grâce à la dynamique des réformes engagées par le président  Abdelaziz Bouteflika que l'émergence de la femme dans la vie politique a été rendue possible».

Ces propos sont de Abdelkader Bensalah, le SG par intérim du RND, qui s'est exprimé hier à Alger lors d'un regroupement des femmes cadres du parti organisé au siège national à Ben Aknoun.

Lire l'article publié le 23 novembre 2013

Michelle Bachelet a largement remporté, dimanche, le premier tour de l'élection présidentielle au Chili, mais devra passer par un second tour, le 15 décembre, pour retrouver La Moneda, le siège de la présidence chilienne qu'elle a déjà occupé entre 2006 et 2010.

Hizb Ettahrir est un parti islamiste radical, qui affiche son obédience salafiste et son projet de restaurer le califat islamique sur la terre entière.

La rencontre sera une occasion pour les femmes membre du parti de Ridha Belhaj pour défendre ce qu’elles appellent «la révolution de la oumma».

Les partisanes de Hizb Etahrir estiment que la révolution syrienne est dans la continuité de la révolution islamique, qui a commencé en Tunisie, et s’est propagée en Libye, en Egypte et au Yémen.