Promouvoir l’égalité des sexes dans les processus de décentralisation et dans la gouvernance locale: Leçons du Rwanda
La participation politique des femmes est encouragée pour des raisons de justice sociale, d’efficacité, de démocratie et de légitimité. L’un des objectifs du gouvernement rwandais en adoptant le processus de décentralisation est le renforcement des capacités et la sensibilisation des citoyens et citoyennes à la conception, la mise en œuvre et le suivi des actions et des programmes de développement les concernant. Cette recherche avait donc pour objectif d’examiner et d’analyser l’expérience rwandaise en matière de promotion de l’égalité des genres dans le processus de décentralisation. Elle a voulu explorer la nature de la participation politique des femmes et son impact sur la promotion de l’égalité entre les hommes et les femmes dans la gouvernance locale au Rwanda. Il s’est agi aussi de questionner la contribution de ce processus à la promotion de l’égalité des genres…
La présence des femmes aux postes de décision a contribué aux changements des mentalités et perceptions en rapport avec l’égalité hommes-femmes. Elles ont aussi réussi à induire des changements ponctuels concernant des activités précises. Néanmoins, leur influence reste limitée par rapport à l’intégration effective du genre dans les plans et budgets des gouvernements locaux.
Les recommandations ci-dessous visent à l’amélioration de la participation politique des femmes et l’intégration de l’égalité des sexes dans les entités décentralisées comme préalable à l’amélioration du statut socio-économique des femmes. En vue de soutenir efficacement ce processus, il sera nécessaire d’agir aux niveaux individuel, institutionnel et communautaire. Plusieurs acteurs sont concernés car la transformation des rapports homme-femme exige un changement d’attitudes et comportements en faveur d’un monde plus juste et équitable et dans lequel l’égalité de tous est reconnue. Ainsi l’amélioration de la participation des femmes au processus de décision au niveau des entités décentralisées exige que différents acteurs aient, chacun dans son domaine, des stratégies permettant de relever ces défis.
Lire le document complet publié par International Alert
La participation politique des femmes est encouragée pour des raisons de justice sociale, d’efficacité, de démocratie et de légitimité. L’un des objectifs du gouvernement rwandais en adoptant le processus de décentralisation est le renforcement des capacités et la sensibilisation des citoyens et citoyennes à la conception, la mise en œuvre et le suivi des actions et des programmes de développement les concernant. Cette recherche avait donc pour objectif d’examiner et d’analyser l’expérience rwandaise en matière de promotion de l’égalité des genres dans le processus de décentralisation. Elle a voulu explorer la nature de la participation politique des femmes et son impact sur la promotion de l’égalité entre les hommes et les femmes dans la gouvernance locale au Rwanda. Il s’est agi aussi de questionner la contribution de ce processus à la promotion de l’égalité des genres…
La présence des femmes aux postes de décision a contribué aux changements des mentalités et perceptions en rapport avec l’égalité hommes-femmes. Elles ont aussi réussi à induire des changements ponctuels concernant des activités précises. Néanmoins, leur influence reste limitée par rapport à l’intégration effective du genre dans les plans et budgets des gouvernements locaux.
Les recommandations ci-dessous visent à l’amélioration de la participation politique des femmes et l’intégration de l’égalité des sexes dans les entités décentralisées comme préalable à l’amélioration du statut socio-économique des femmes. En vue de soutenir efficacement ce processus, il sera nécessaire d’agir aux niveaux individuel, institutionnel et communautaire. Plusieurs acteurs sont concernés car la transformation des rapports homme-femme exige un changement d’attitudes et comportements en faveur d’un monde plus juste et équitable et dans lequel l’égalité de tous est reconnue. Ainsi l’amélioration de la participation des femmes au processus de décision au niveau des entités décentralisées exige que différents acteurs aient, chacun dans son domaine, des stratégies permettant de relever ces défis.
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