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Pour la première fois, dans l’histoire de la vie politique ivoirienne, une femme est en lice pour la présidentielle. Jacqueline Oblé est seule face aux 13 « loups. » Elle devra s’armer de beaucoup de courage et d’abnégation pour contrer tous les pièges sur son chemin. En effet, il est clair que les hommes ne se laisseront pas marcher sur les pieds. Néanmoins, Mme Oblé, peut se réjouir car elle vient de signer son nom dans les pages de l’histoire de la Côte d’Ivoire.

C'est une première: les deux Chambres du Parlement et le Gouvernement auront chacun une femme à leur tête. La socialiste argovienne Pascale Bruderer pour le Conseil national, la radicale (droite) saint-galloise Erika Forster pour le Conseil des Etats – toutes deux élues lundi – et la démocrate-chrétienne argovienne Doris Leuthard, qui sera élue la semaine prochaine présidente de la Confédération. A 32 ans, Pascale Bruderer est la plus jeune première citoyenne de Suisse et la dixième femme à présider la Chambre du peuple

Plusieurs députés ont présenté mercredi une proposition de loi pour lutter contre les violences faites aux femmes, prévoyant notamment la création d’une "ordonnance de protection", alors que le Premier ministre François Fillon doit annoncer des mesures à la mi-journée. Cette proposition devait être présentée officiellement en fin de matinée au président de l’Assemblée nationale Bernard Accoyer, a annoncé la présidente de la mission qui a élaboré le texte, la députée Danielle Bousquet.

Il n’y a aucune femme sur la dizaine de candidats à la présidentielle togolaise. Les élections présidentielles passent et se ressemblent. La typologie des candidats est restée la même depuis 1993, date de la première élection présidentielle après le déclenchement du processus démocratique.Eut regard a l'histoire du Togo, les femmes devrait avoir plus de prépondérance sur la scène politique que celle limitée de figurantes. Elles constituent plus de 50% de la population, ont la puissance économique et financière, le pouvoir devrait en principe suivre.

Les femmes ministres du gouvernement se sont réunies lundi autour de Simone Veil, présidente d'honneur des Etats généraux de la femme lancés à l'initiative du magazine "Elle" qui était à l'origine des premiers, il y a 40 ans, pour porter les revendications des Françaises. Pour ces Etats généraux, des groupes de travail seront organisés dans de grandes villes (Lille, Lyon, Marseille, Paris) et les femmes pourront aussi s'exprimer sur internet.

Mauritius Women’s Agenda fait partie du programme de Women in Politics (WIP), une section de Women in Networking (WIN) militant pour la promotion de la femme en politique, à Maurice. Ce document, à ce stade, n’est qu’une ébauche. Il a été élaboré, en anglais, à partir de la Charte sud-africaine des Droits de la Femme et adapté au contexte mauricien. Il est constitué de douze articles, traitant plusieurs domaines, avec pour angle la femme. Notamment, l’éducation et la formation des femmes ou encore la violence envers celles-ci.

Une marche populaire des femmes du Togo, militantes de l’Association des Femmes Unies pour le Développement (AUFD), ont marché à travers quelques artères de la capitale Lomé pour exiger le respect de la Constitution togolaise d’un côté et de l’autre, apporter leur soutien à Faure Gnassingbé. Cette sortie fait suite aux revendications de l'opposition au régime sur le mode de scrutin à adopter le 28 février prochain.
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En quelques années, Louisa Hanoune s’est imposée comme l’une des personnalités les plus en vue du paysage politique de son pays. Et fait du même coup figure d’exception. À 55 ans, Louisa Hanoune est la première femme dans le monde arabe à diriger un parti devenu leader de l’opposition, avec ses centaines d’élus locaux, implantés dans toutes les régions du pays, et ses vingt-six députés, très actifs en matière de projets d’amendement aux textes discutés ou de questions orales au gouvernement. Première candidate à une présidentielle dans le monde arabe, en 2004, elle récidive en 2009

L'idée d'augmenter le nombre de femmes aux postes de décisionnaires politiques par le biais d'une politique de quotas, notamment en Algérie, suscite le débat dans les cercles politiques et législatifs de la région. L'Algérie est un exemple parmi les autres du déclin des femmes dans l'aventure politique. Malgré une forte présence dans des secteurs comme l’éducation, la santé et la justice, les femmes algériennes ont vu leur nombre de sièges au Parlement chuter de 35 en 1962 à 30 en 2007.