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WIP (Women In Politics) fait à nouveau parler d'elle. En vue de la prochaine Nomination Day pour les législatives 2010 de l'île Maurice, cette organisation intensifie sa campagne 1 femme sur les 3 candidats avec un spot radiophonique. La demande de WIP est claire et reste la même. Women in Politics demande aux partis politiques d’aligner une femme sur les 3 candidats qu’ils doivent présenter dans chacune des circonscriptions. Il faut noter que depuis l’annonce des élections générales qui se tiendront le 5 mai prochain, plus que jamais la pétition de Women In Politics est d’actualité.

Plusieurs discours ont été dits en faveur de la présence de plus de femmes au Parlement, lors du forum de Women in Politics (WIP), dans l’après-midi du 9 avril, à l’hôtel Gold Crest, à Quatre-Bornes. «Une ‘inclusive society’ n’exclut pas 50% de ses citoyens, les femmes», affirme Roukaya Kasenally. Selon elle, c’est la nature même du système politique qu’il faut revoir «à travers des reformes et une nouvelle compréhension».
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Le but poursuivi par la ligue des femmes congolaises pour les élections (Lifce) est d'amener à la responsabilisation politique des femmes congolaises. Cette idée est à la base de la première conférence nationale sur la participation politique des femmes congolaises cinquante après l'indépendance, qui s'organise au Centre Bondeko, à Kinshasa du 29 au 31 mars 2010. Cette conférence s'inscrit, selon la présidente de cette structure, la sénatrice Eve Bazaiba, dans la problématique de la participation de la femme congolaise.

Les femmes journalistes de Centrafrique s’imprègnent des techniques de production de microprogrammes. Ceci en vue de conscientiser les femmes centrafricaines sur leur participation citoyenne et responsable aux élections de 2010. La journée de formation a réfléchi sur la participation de la femme en tant que militante, électrice et observatrice.

Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), M. Bouguerra Soltani, a souligné, vendredi dernier à Alger, que la promotion des droits politiques de la femme en Algérie doit s'inscrire dans le cadre d'une "reforme globale".M.

Seulement 8% des postes de responsabilité sont occupés par des femmes au Nigeria, le pays le plus peuplé d'Afrique avec 150 millions d'habitants, a indiqué mardi la ministre chargée de la Femme, Joséphine Anenih."Nous avons établi une politique nationale pour la femme en 2006" pour corriger ce déséquilibre, a expliqué à l'AFP la ministre en marge d'une conférence sur la démocratie au Nigeria organisée à Abuja. "Il y en a même qui sont d'accord pour que 35% des postes reviennent aux femmes. Mais c'est théorique.

En Afrique subsaharienne, les progrès en faveur de l'égalité des sexes et de l'autonomisation des femmes ont été modestes, mais plusieurs pays ont initié des politiques qui répondent aux besoins des femmes. Les progrès en termes de représentation politique des femmes ont dans certains cas été remarquables. Lors des élections sud-africaines d'avril 2009, la représentation féminine au Parlement est passée de 34 pour cent avant l'élection à 45 pour cent.

Des femmes sénégalaises appartenant à diverses formations politiques, associations et organisations féminines ainsi que celles de la société civile ont échangé vendredi à Dakar en vue de défendre une position commune pour l’adoption par l’Assemblée nationale du projet de loi sur la parité intégrale mais surtout son ‘’application effective’’.‘’Nous devons toutes œuvrer ensemble pour l’adoption et l’application effective de cette loi, mais surtout nous battre pour qu’elle ne soit pas une coquille vide’’, a, à l’ouverture de la rencontre indiqué Maïmouna Kane, ancienne ministre sous le régime

Plus de 22 femmes députés affiliées à l’Association kenyane des femmes parlementaires (KWPA), ont dénoncé la discrimination exercée contre elles par leurs homologues masculins au cours des élections nationales des principales formation politiques du pays, tenues la semaine dernière.La semaine dernière, le Président Mwai Kibaki du Parti de l’unité nationale (PNU) et le Premier ministre, Raila Odinga, dirigeant du Mouvement démocratique Orange (ODM), ont tenu des élections nationales conformément à la loi sur les partis politiques qui exige la parité homme-femme parmi le tiers des dirigeants