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Les femmes issues de différentes associations et organisations de la société civile sont plus que jamais déterminées à exprimer leur mécontentement et leur ras-le bol face à la situation du pays qu'elles jugent critique. Réunies, hier, à Koumassi et au foyer des jeunes de Jean Folly à Port-Bouët, elles ont dit leur colère, au cours d'un point de presse, contre la vie chère et, ont surtout réclamé au gouvernement la date de la présidentielle.

Si Nick Clegg transforme l’essai dans les urnes britanniques, il le devra en grande partie aux femmes. Selon les sondages, le séduisant leader des libéraux-démocrates serait l’élu de ces dames, qui le préfèrent au conservateur David Cameron et au travailliste Gordon Brown.
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Engagées dans une lutte pour ne pas être réduites au silence par le gouvernement Harper, les représentantes de plusieurs groupes de femmes, appuyées de députées de l'opposition, ont dénoncé hier à Ottawa la stratégie « hypocrite et insidieuse » orchestrée, selon elles, pour les empêcher de défendre leurs droits.La vice-présidente exécutive nationale de l'Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), Patty Ducharme, a profité d'une conférence de presse, sur la Colline parlementaire pour dénoncer plusieurs décisions du gouvernement Harper.

La Directrice du Département des affaires de la femme à la Ligue arabe, Mme Hanae Sourour a fait savoir que le taux de participation des femmes arabes à la vie politique est passé de 3 pc en 2003 à 9 pc actuellement.
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La Mauritius Broadcasting Corporation a agi en toute transparence et dans le respect des lois qui gouvernent la maison de la rue Pasteur. Telle est la conclusion du rapport de la mission d’observateurs du Southern African Development Community (SADC) Forum qui se trouve à Maurice dans le cadre des élections législatives.

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François Fillon a défendu vendredi à l'occasion des états généraux de la Femme l'idée de sanctions financières "insupportables" pour les partis politiques qui ne respecteraient pas la parité hommes-femmes pour les législatives. Le Premier ministre a rejeté l'idée d'un scrutin à la proportionnelle pour les législatives, réclamé par de nombreux militants de la cause féminine, craignant un retour à l'instabilité politique de la IVe République faute de "majorité claire pour gouverner".

Les échanges d’hier, sur la loi portant la parité absolue dans les instances électives, entre le groupe de focus des femmes et le secrétaire général du Parti socialiste ont été riches en révélations. Aminata Mbengue Ndiaye a raconté comment certains de ses camarades de parti l’ont vertement critiquée, pour avoir répondu à l’invitation de Wade au Palais. S’inscrivant dans une logique d’opposant, Ousmane Tanor Dieng a souligné que la parité existe déjà dans la Constitution et qu’il suffit de l’appliquer, en l’élargissant aux fonctions.

Les élections législatives qui se dérouleront le 18 septembre en Afghanistan verront 20 % plus de femmes candidates que le scrutin précédent, a fait savoir jeudi la commission électorale afghane (IEC).Au total, sur 2.447 candidats qui briguent un fauteuil de député, 386 sont des femmes, contre 328 lors des législatives de 2005, selon la même source.
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Enfin la parité. Les députés ont adopté hier, à une large majorité, le projet de loi 10/2010 instituant la parité absolue homme-femme dans toutes les institutions totalement ou partiellement électives. Les femmes ont marqué la solennité de l’évènement à travers une mobilisation exceptionnelle.C’est une Assemblée nationale acquise à la cause féministe qui a été le témoin privilégié d’un moment symbolique dans l’histoire des femmes sénégalaises.
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