Libéria: Le Libéria adhère prochainement au MAEP
Le quota genre institué dans notre pays leur permet aujourd’hui une participation plus grande à la chose politique et d’accéder aux instances de décision. "La politique que mène la femme dans les Hauts-Bassins offre davantage de meilleures conditions de vie ", souligne Djomande Kadidia. Un point de vue balayé du revers de la main par certaines comme Djénéba Traoré qui se sont résignées et ne s’intéressent plus à la chose politique à causes des fausses promesses et des querelles de clochers
Le quota genre institué dans notre pays leur permet aujourd’hui une participation plus grande à la chose politique et d’accéder aux instances de décision. "La politique que mène la femme dans les Hauts-Bassins offre davantage de meilleures conditions de vie ", souligne Djomande Kadidia. Un point de vue balayé du revers de la main par certaines comme Djénéba Traoré qui se sont résignées et ne s’intéressent plus à la chose politique à causes des fausses promesses et des querelles de clochers
A 40%, la plupart des hommes quittent leur foyer et laissent leurs femmes seules à prendre en charge leurs enfants. Dans les 60% des cas, cette situation est accentuée au sein des couples qui vivent en concubinage âgés entre 30 ans à 50 ans en général. D’après Julien Grégoire, responsable de l’association Mahiratra, « nombreux sont ceux qui choisissent le règlement à l’amiable au lieu du tribunal ».
A 40%, la plupart des hommes quittent leur foyer et laissent leurs femmes seules à prendre en charge leurs enfants. Dans les 60% des cas, cette situation est accentuée au sein des couples qui vivent en concubinage âgés entre 30 ans à 50 ans en général. D’après Julien Grégoire, responsable de l’association Mahiratra, « nombreux sont ceux qui choisissent le règlement à l’amiable au lieu du tribunal ».
La fécondité des femmes diplômées (bac et au-delà, c'est-à-dire 35 % de la population féminine en France) est décalée dans le temps. Elles se mettent en couple plus tard (bien que le recul de l'âge où se forme le couple est cessé de reculer entre 1999 et 2006 car le nombre d'années d'études a lui cessé de s'allonger), et font donc leur premier enfant plus tard. En 2009, l'âge moyen à la maternité a atteint 30 ans pour la première fois.
La fécondité des femmes diplômées (bac et au-delà, c'est-à-dire 35 % de la population féminine en France) est décalée dans le temps. Elles se mettent en couple plus tard (bien que le recul de l'âge où se forme le couple est cessé de reculer entre 1999 et 2006 car le nombre d'années d'études a lui cessé de s'allonger), et font donc leur premier enfant plus tard. En 2009, l'âge moyen à la maternité a atteint 30 ans pour la première fois.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de France2
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La situation est toujours très incertaine en Tunisie, deux jours après la fuite du président Zine el Abidine Ben Ali en Arabie Saoudite. Les scènes de pillages et de violences continuent, notamment à Tunis et dans sa banlieue.
Pour plus d'informations,veuillez visiter le site web de Europe1
La situation est toujours très incertaine en Tunisie, deux jours après la fuite du président Zine el Abidine Ben Ali en Arabie Saoudite. Les scènes de pillages et de violences continuent, notamment à Tunis et dans sa banlieue.
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Dans un ardent et engagé plaidoyer pour la gent féminine, Fatou Sow Sarr a invité l’opposition réunie dans « Benno siggil Senegaal » à se choisir en 2012 une femme comme candidate. La directrice du laboratoire genre de l’Institut fondamental d’Afrique noire (Ifan Cheikh Anta Diop) de Dakar vote en outre pour une « solution des femmes » à la crise casamançaise. L’invitée d’hier, dimanche 16 janvier de l’émission « Grand Jury » de la Radio futurs médias (Rfm) a en effet, affirmé que les femmes font partie de la solution.
Dans un ardent et engagé plaidoyer pour la gent féminine, Fatou Sow Sarr a invité l’opposition réunie dans « Benno siggil Senegaal » à se choisir en 2012 une femme comme candidate. La directrice du laboratoire genre de l’Institut fondamental d’Afrique noire (Ifan Cheikh Anta Diop) de Dakar vote en outre pour une « solution des femmes » à la crise casamançaise. L’invitée d’hier, dimanche 16 janvier de l’émission « Grand Jury » de la Radio futurs médias (Rfm) a en effet, affirmé que les femmes font partie de la solution.
Saloua Karkri, députée USFP, a été, samedi dernier, l’invitée du Club des femmes ingénieurs EMIstes pour débattre du thème «L’engagement politique, pourquoi au féminin». Un débat animé et parfois houleux qui s’est focalisé sur la conjoncture politique actuelle au Maroc, le rôle des femmes et des élites en général dans la vie politique. Son indifférence ou sa déception vis-à-vis de la politique telle qu’elle est pratiquée chez nous, du rôle des partis politiques, de l’alternance et des acquis du gouvernement
Saloua Karkri, députée USFP, a été, samedi dernier, l’invitée du Club des femmes ingénieurs EMIstes pour débattre du thème «L’engagement politique, pourquoi au féminin». Un débat animé et parfois houleux qui s’est focalisé sur la conjoncture politique actuelle au Maroc, le rôle des femmes et des élites en général dans la vie politique. Son indifférence ou sa déception vis-à-vis de la politique telle qu’elle est pratiquée chez nous, du rôle des partis politiques, de l’alternance et des acquis du gouvernement