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"Les braves femmes de la Croix rouge ont ramassé beaucoup de corps qui jonchaient les rues à l'issue des affrontements, permettant ainsi d'éviter les épidémies", a-t-il ajouté. Pour la présidente de "Servir" Mme. Henriette Bédié, les femmes méritent l'honneur qui leur est fait en ce sens qu'elles ont joué un rôle capital lors de la grave crise qu'a connue la Côte d'Ivoire. "Ces mamans ont donné leur cœur, leur volonté, leur amour et leur temps pour soigner et sauver des vies humaines", a-t-elle rappelé.

Elles ne manquaient pas d’anecdotes. Désormais elles les racontent publiquement. Plusieurs femmes politiques ont témoigné dans la presse ces derniers jours du machisme plus ou moins ordinaire qu’elles subissaient dans le cadre de leurs fonctions. La parole semble s’être libérée depuis les deux récents scandales sexuels impliquant deux hommes politiques français – et les commentaires qu’ils ont suscités

Plusieurs mères s'indignent ce matin dans le quotidien 20 minutes. Djazia Larachiche, musulmane pratiquante et déléguée de la Fédération des conseils de parents d'élèves des écoles publiques (FCPE), s'insurge : « On nous catalogue comme des femmes recluses, soumises. C'est contradictoire, alors que l'on veut participer à la vie du quartier ! Et puis, les enfants nous voient tous les jours. Pour eux, on n’est pas des extra-terrestres.

Cette session de six jours est organisée par l'Organisation de scoutisme Mohammedia marocaine en partenariat avec le ministère de l'Intérieur et le Fonds d'appui à la représentativité des femmes sous le thème «Les femmes dans les communes : un levier de bonne gouvernance locale». Selon les organisateurs, cette formation est destinée à améliorer les connaissances des femmes en matière de participation politique pour promouvoir leur accès aux centres de décision et leur permettre d'acquérir les compétences nécessaires pour mener une campagne électorale.

Elèves" et "Anti-Barbie" comptent prouver que la politique est aussi l'affaire des femmes et oeuvreront pour qu'une femme soit élue président du pays en 2018, a annoncé mercredi à Moscou la sociologue Olga Krychtanovskaïa, leader d'Excellentes élèves. "Nous souhaitons qu'une femme soit élue président de la Russie en 2018", a indiqué Mme Krychtanovskaïa lors d'une conférence constitutive de l'organisation "Excellentes élèves".

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Ce qui a décidé certaines femmes à passer à l’acte, ce n’est pas l’affaire DSK elle-même, mais la désinvolture et le machisme avec lesquels nos hommes politiques ont réagi», décrypte pour «le Parisien» Yvette Roudy, femme politique française ayant soutenu la cause féméniste, ex-ministre PS des Droits de la femme dans les années 1980

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En politique, les femmes jouent des coudes pour se faire une place. C’est le cas partout dans le monde mais plus encore en Afrique. Sur le continent, les femmes élues locales représenteraient environ 12%, un chiffre en constante augmentation. Mais il est trompeur, car dans certains pays, on ne frôle pas les 1%. Pour gravir les échelons, les femmes doivent se battre contre les clichés, contre les mentalités et parfois même contre…d’autres femmes.

Et aujourd'hui, l'histoire du monde nous emmène en Égypte. Une femme est face aux religieux et aux militaires pour se présenter à l'élection présidentielle.Bouthayna Kamel est très connue des Égyptiens. Journaliste à la télévision d'état durant de nombreuses années, elle brigue désormais le poste de chef d'état depuis le départ d'Hosni Moubarak. Alors, une femme à la tête de l'Egypte, ça ne plait pas à tout le monde sur place. Il s'agit d'ailleurs de la seule femme à tenter de se hisser à la tête du pays.