Sonia Sotomayor est auditionnée par le Sénat avant un vote qui devrait confirmer sa désignation à la Cour suprême. Ses positions en faveur de la discrimination positive sont critiquées.
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Hillary Clinton se sentait-elle éclipsée sur la scène internationale ? Il a suffi que le département d'Etat annonce qu'elle donnerait un grand discours de politique étrangère le 15 juillet pour que le Tout-Washington bruisse de rumeurs : depuis qu'elle s'était fracturé le coude, la secrétaire d'Etat se sentait marginalisée dans l'administration Obama, entendait-on. Elle n'avait pas encore imprimé sa marque sur la diplomatie américaine. Avec cette intervention, elle entendait reprendre sa place sur le devant de la scène.
Hillary Clinton se sentait-elle éclipsée sur la scène internationale ? Il a suffi que le département d'Etat annonce qu'elle donnerait un grand discours de politique étrangère le 15 juillet pour que le Tout-Washington bruisse de rumeurs : depuis qu'elle s'était fracturé le coude, la secrétaire d'Etat se sentait marginalisée dans l'administration Obama, entendait-on. Elle n'avait pas encore imprimé sa marque sur la diplomatie américaine. Avec cette intervention, elle entendait reprendre sa place sur le devant de la scène.
Plus qu’aucun autre secrétaire d’Etat avant elle, Mme Clinton a décidé de faire de la cause féminine une priorité de la diplomatie américaine. Au Kenya, elle a parlé de poulets avec des paysannes. Dans l’est du Congo, déchiré par la guerre, elle a écouté les histoires terribles de victimes de viols. Et, en Afrique du Sud, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton a visité un ensemble de logements construits par des femmes pauvres et dansé avec une chorale qui scandait : “Heel-a-ree !
Plus qu’aucun autre secrétaire d’Etat avant elle, Mme Clinton a décidé de faire de la cause féminine une priorité de la diplomatie américaine. Au Kenya, elle a parlé de poulets avec des paysannes. Dans l’est du Congo, déchiré par la guerre, elle a écouté les histoires terribles de victimes de viols. Et, en Afrique du Sud, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton a visité un ensemble de logements construits par des femmes pauvres et dansé avec une chorale qui scandait : “Heel-a-ree !
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton (ici aux côtés du secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon) apprécie beaucoup d'être présidente - du Conseil de sécurité de l'Onu. "J'aime bien être présidente, alors cette séance va peut-être durer un peu plus que prévu", a déclaré mercredi lors d'une réunion du Conseil l'ancienne rivale de Barack Obama pour l'investiture du Parti démocrate à la présidentielle 2008. Les Etats-Unis occupent ce mois-ci la présidence tournante du Conseil de sécurité de l'Onu.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton (ici aux côtés du secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon) apprécie beaucoup d'être présidente - du Conseil de sécurité de l'Onu. "J'aime bien être présidente, alors cette séance va peut-être durer un peu plus que prévu", a déclaré mercredi lors d'une réunion du Conseil l'ancienne rivale de Barack Obama pour l'investiture du Parti démocrate à la présidentielle 2008. Les Etats-Unis occupent ce mois-ci la présidence tournante du Conseil de sécurité de l'Onu.
Parmi les personnalités féminines les plus influentes de la Silicon Valley, on peut citer Marissa Mayer, vice-présidente de Google, et Carol Bartz, PDG de Yahoo!. Deux autres figures ont marqué la Valley des années 1990 et 2000 : Carly Fiorina, PDG de HP (1999-2005), et Meg Whitman, qui dirigea eBay (1998-2008).
Parmi les personnalités féminines les plus influentes de la Silicon Valley, on peut citer Marissa Mayer, vice-présidente de Google, et Carol Bartz, PDG de Yahoo!. Deux autres figures ont marqué la Valley des années 1990 et 2000 : Carly Fiorina, PDG de HP (1999-2005), et Meg Whitman, qui dirigea eBay (1998-2008).
Les électeurs de douze Etats américains étaient appelés à voter, mardi 8 juin, pour désigner les candidats de leur parti aux législatives de mi-mandat de novembre. Alors que les résultats se précisent, mercredi matin, une tendance se dessine : le succès des candidates féminines et le rejet du pouvoir en place – à l'exception de l'Arkansas, où la sénatrice démocrate Blanche Lincoln est assurée de représenter son parti en novembre.
Les électeurs de douze Etats américains étaient appelés à voter, mardi 8 juin, pour désigner les candidats de leur parti aux législatives de mi-mandat de novembre. Alors que les résultats se précisent, mercredi matin, une tendance se dessine : le succès des candidates féminines et le rejet du pouvoir en place – à l'exception de l'Arkansas, où la sénatrice démocrate Blanche Lincoln est assurée de représenter son parti en novembre.
L’Afrique est un continent aux possibilités exceptionnelles, un endroit où il y a tant d’opportunités à saisir. Soixante pour cent de la population de l’Afrique a moins de 25 ans. Il y a donc beaucoup à faire pour s’assurer que ces jeunes soient éduqués, qu’ils soient en bonne santé, qu’ils soient motivés et qu’ils reçoivent les outils qui accompagnent les opportunités.
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L’Afrique est un continent aux possibilités exceptionnelles, un endroit où il y a tant d’opportunités à saisir. Soixante pour cent de la population de l’Afrique a moins de 25 ans. Il y a donc beaucoup à faire pour s’assurer que ces jeunes soient éduqués, qu’ils soient en bonne santé, qu’ils soient motivés et qu’ils reçoivent les outils qui accompagnent les opportunités.
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Elections à mi-mandat aux Etats-Unis, le 2 novembre - Elles sont féministes, ultra-conservatrices, maman grizzly, mère, grand-mère, reine du ring... Les nombreux nouveaux scénarios des candidates.
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L'année 2010 devait être celle des "Mama Grizzlies", les candidates ultra-conservatrices lancées à l'assaut du Congrès. Pourtant, à huit jours des législatives américaines, tout laisse à penser que le nombre de femmes élues pourrait diminuer pour la première fois depuis 1978.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de AFP
L'année 2010 devait être celle des "Mama Grizzlies", les candidates ultra-conservatrices lancées à l'assaut du Congrès. Pourtant, à huit jours des législatives américaines, tout laisse à penser que le nombre de femmes élues pourrait diminuer pour la première fois depuis 1978.
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