Liban: Le combat des femmes pour le quota parlementaire
Les femmes veulent mener jusqu’au bout leur combat pour obtenir un quota parlementaire
Les femmes veulent mener jusqu’au bout leur combat pour obtenir un quota parlementaire
Les femmes veulent mener jusqu’au bout leur combat pour obtenir un quota parlementaire
Les femmes veulent mener jusqu’au bout leur combat pour obtenir un quota parlementaire
Ce n'est pas vraiment pour siéger qu'elles se sont engagées. Elles savent qu'elles recueilleront peu de suffrages. En témoignent les railleries, et même les menaces, dont elles sont victimes lorsqu'elles font campagne.
« Pas de femmes candidates, pas de votes des femmes ». Tout a commencé par ce slogan en décembre 2014, entonné par des juives ultra-orthodoxes, pour revendiquer leur représentation à la Knesset, le Parlement israélien.
Ce n'est pas vraiment pour siéger qu'elles se sont engagées. Elles savent qu'elles recueilleront peu de suffrages. En témoignent les railleries, et même les menaces, dont elles sont victimes lorsqu'elles font campagne.
« Pas de femmes candidates, pas de votes des femmes ». Tout a commencé par ce slogan en décembre 2014, entonné par des juives ultra-orthodoxes, pour revendiquer leur représentation à la Knesset, le Parlement israélien.
Avec les prochaines élections législatives et communales, le nombre de femmes sur les listes va-t-il s’augmenter ? A la veille des élections législatives, l’Institut national pour promotion de la femme (Inpf) a organisé, jeudi 19 février, une rencontre avec une palette d’acteurs sociaux pour échanger sur la problématique du positionnement des femmes sur les listes électorales.
Avec les prochaines élections législatives et communales, le nombre de femmes sur les listes va-t-il s’augmenter ? A la veille des élections législatives, l’Institut national pour promotion de la femme (Inpf) a organisé, jeudi 19 février, une rencontre avec une palette d’acteurs sociaux pour échanger sur la problématique du positionnement des femmes sur les listes électorales.
Depuis dimanche 17 août, trois partis politiques ont publié la grande majorité de leurs têtes de liste en vue des élections législatives du 26 octobre. Nida Tounes, Joumhouri et Afek Tounes y proposent une infime minorité de femmes têtes de liste.
Depuis dimanche 17 août, trois partis politiques ont publié la grande majorité de leurs têtes de liste en vue des élections législatives du 26 octobre. Nida Tounes, Joumhouri et Afek Tounes y proposent une infime minorité de femmes têtes de liste.
Malgré l'insécurité et les menaces qui pèsent sur elles, des candidates font campagne pour défendre les droits des femmes, enjeu électoral majeur, à l'occasion des législatives irakiennes du 30 avril 2014. Dans ce scrutin, le parti du Premier ministre remet en question les acquis des Irakiennes, qui les protégeaient jusqu'ici d'une société conservatrice.
Malgré l'insécurité et les menaces qui pèsent sur elles, des candidates font campagne pour défendre les droits des femmes, enjeu électoral majeur, à l'occasion des législatives irakiennes du 30 avril 2014. Dans ce scrutin, le parti du Premier ministre remet en question les acquis des Irakiennes, qui les protégeaient jusqu'ici d'une société conservatrice.
Le choix de Mme Katilé Hadiaratou Sène n’est pas fortuit, car elle a marqué de façon positive l’histoire de la vie Associative et politique. Animée d’une élégante distinguée, une parfaite diction et un courage solide, ces qualités ont promu Mme Hadiaratou pour un bel avenir politique au sein de l’ADEMA-PASJ. Nous l’avons rencontrée chez elle à Kalaban-Coura, le samedi dernier à 8 heures précises.
Le choix de Mme Katilé Hadiaratou Sène n’est pas fortuit, car elle a marqué de façon positive l’histoire de la vie Associative et politique. Animée d’une élégante distinguée, une parfaite diction et un courage solide, ces qualités ont promu Mme Hadiaratou pour un bel avenir politique au sein de l’ADEMA-PASJ. Nous l’avons rencontrée chez elle à Kalaban-Coura, le samedi dernier à 8 heures précises.
Au Cameroun, les défenseurs de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes ont aujourd’hui une raison de se réjouir suite à la proclamation des résultats des élections législatives organisées le 30 septembre 2013. En effet, avec la proclamation des résultats des législatives le 18 octobre 2013 par la Cour suprême, l’Assemblée Nationale du Cameroun compte désormais 56 femmes sur un total de 180 députés, soit 31,11 pour cent.
Au Cameroun, les défenseurs de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes ont aujourd’hui une raison de se réjouir suite à la proclamation des résultats des élections législatives organisées le 30 septembre 2013. En effet, avec la proclamation des résultats des législatives le 18 octobre 2013 par la Cour suprême, l’Assemblée Nationale du Cameroun compte désormais 56 femmes sur un total de 180 députés, soit 31,11 pour cent.
Du 23 au 24 octobre 2013 s’est tenu un atelier de formation des femmes candidates à l’élection législative de 2013 à l’hôtel Mandé. Cette formation à pour but de renforcer les capacités des femmes candidates ou de rehausser leur niveau de représentation au parlement à l’occasion des élections législatives.
Du 23 au 24 octobre 2013 s’est tenu un atelier de formation des femmes candidates à l’élection législative de 2013 à l’hôtel Mandé. Cette formation à pour but de renforcer les capacités des femmes candidates ou de rehausser leur niveau de représentation au parlement à l’occasion des élections législatives.
Les locaux du NDI ont servi de cadre hier à une conférence de presse organisée par le directoire du cadre de concertation des femmes des partis politique. Elle a été organisée par les femmes du cadre de concertation des partis politiques avec l’appui du NDI.
La représentation des femmes dans les trois gouvernements successifs de la transition y compris l’actuel et les autres organes et institutions de la république inquiète terriblement les femmes du Mali.
Les locaux du NDI ont servi de cadre hier à une conférence de presse organisée par le directoire du cadre de concertation des femmes des partis politique. Elle a été organisée par les femmes du cadre de concertation des partis politiques avec l’appui du NDI.
La représentation des femmes dans les trois gouvernements successifs de la transition y compris l’actuel et les autres organes et institutions de la république inquiète terriblement les femmes du Mali.