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Le Comité de l'Organisation de la Femme Angolaise (OMA), branche féminine du parti politique MPLA, au pouvoir en Angola, a réalisé dimanche, à Lisbonne (Portugal), un débat sous le thème: "Renaissance africaine, le rôle de l'organisation Panafricaine des Femmes", à l'occasion de la journée de la femme africaine qui se commémore mercredi prochain.

L'enquête Afrobaromètre sur l'opinion de la population togolaise portant sur la place de la femme et du genre, note une faible implication des femmes dans l'action politique.

Elle a révélé que « 31% des femmes ont participé aux rassemblements de campagne contre 52% des hommes » de l'élection présidentielle de mars 2010 ayant permis la réélection de l'actuel chef de l'Etat togolais.

En fait, le sondage est conduit par cette organisation privée et a touché 1.200 adultes togolais sur la période du 17 au 29 décembre 2012.

L’Alliance pour le Chili, qui regroupe deux partis de droite – la rénovation nationale (RN), libérale, et l’Union démocrate indépendante (UDI), plus conservatrice –, a choisi une femme, Evelyn Matthei, comme candidate à l’élection présidentielle qui aura lieu le 17 novembre prochain. Elle remplace Pablo Longueira, qui s’est désisté, il y a quelques jours, pour des raisons de santé.

Le Grand Hôtel de Bamako a abrité un atelier de renforcement des capacités des organisations féminines. La cérémonie d’ouverture des travaux était présidée par Mme Diallo Maïmouna Coulibaly, représentant le ministère de la Famille, de la Promotion de la Femmes et de l’Enfant.

A l'issue des élections des membres du bureau politique d'Ettakatol, le président de ce parti, Mustapha Ben Jâafar, a donné une lecture de la liste de ses membres élus. Il émane de cette liste une présence féminine significative, avec un taux de 27,5%.

Par ailleurs, à la tête d'une trentaine d'élus, figure le nom de Lobna Jeribi, membre de l'ANC, élue avec 100 voix, suivie de Khayem Turki, 98 voix, Héla Aloulou, 92 voix, Ilyes Fakhfakh, 85 voix et Ridha Néji 83 voix…

Le nombre de femmes a augmenté au sein du gouvernement Harper à l’occasion du remaniement ministériel annoncé récemment.

Stephen Harper a parlé d’un "changement de génération" pour justifier l’arrivée de jeunes députés et de femmes au sein de son gouvernement.

"Je pense que c’est une bonne chose de mélanger des jeunes politiciens conservateurs prometteurs avec des ministres expérimentés", a commenté le premier ministre.