Cameroun : Représentation féminine au parlement : Que faut-il en attendre ?
par Thierry Ngaleu, rédacteur pour iKNOW Politics.
par Thierry Ngaleu, rédacteur pour iKNOW Politics.
par Thierry Ngaleu, rédacteur pour iKNOW Politics.
par Thierry Ngaleu, rédacteur pour iKNOW Politics.
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La Tribune propose cet été de rendre justice à des figures historiques qui ont joué un rôle important mais méconnu. Aujourd'hui, Marcelle Devaud, itinéraire exceptionnel d'une femme politique française.
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La Tribune propose cet été de rendre justice à des figures historiques qui ont joué un rôle important mais méconnu. Aujourd'hui, Marcelle Devaud, itinéraire exceptionnel d'une femme politique française.
Depuis dimanche 17 août, trois partis politiques ont publié la grande majorité de leurs têtes de liste en vue des élections législatives du 26 octobre. Nida Tounes, Joumhouri et Afek Tounes y proposent une infime minorité de femmes têtes de liste.
Depuis dimanche 17 août, trois partis politiques ont publié la grande majorité de leurs têtes de liste en vue des élections législatives du 26 octobre. Nida Tounes, Joumhouri et Afek Tounes y proposent une infime minorité de femmes têtes de liste.
Ce constat a été souligné par les participantes à une rencontre organisée samedi 16 août 2014 à Monastir, à l'initiative de la Fondation des femmes pour la culture et la démocratie, avec le concours de la fondation allemande Friedrich Ebert Stifung, sur le thème «Femmes et droit électoral». Il démontre le grand écart existant entre le discours des partis politiques, tous favorables à la parité homme-femme, et la pratique politique, où cette parité tarde à devenir une réalité.
Ce constat a été souligné par les participantes à une rencontre organisée samedi 16 août 2014 à Monastir, à l'initiative de la Fondation des femmes pour la culture et la démocratie, avec le concours de la fondation allemande Friedrich Ebert Stifung, sur le thème «Femmes et droit électoral». Il démontre le grand écart existant entre le discours des partis politiques, tous favorables à la parité homme-femme, et la pratique politique, où cette parité tarde à devenir une réalité.
Le Directeur-résident du NDI-Mali, Dr Badié Hima, a présidé la cérémonie de lancement d’un atelier de formation des “des femmes aspirantes des partis politiques candidates” aux élections communales de 2015. C’était hier jeudi 14 août 2014 dans les locaux de l’hôtel Mandé, à Bamako.
Le Directeur-résident du NDI-Mali, Dr Badié Hima, a présidé la cérémonie de lancement d’un atelier de formation des “des femmes aspirantes des partis politiques candidates” aux élections communales de 2015. C’était hier jeudi 14 août 2014 dans les locaux de l’hôtel Mandé, à Bamako.
Dans une déclaration, mercredi 13 août 2014 à Shems Fm, le chef du parti Ennahdha Rached Ghannouchi a annoncé que certaines têtes de listes pour les législatives sont des femmes et que ces listes ont été établies en tenant compte du principe de parité homme-femme. « Cette parité ne sera pas appliquée en ce qui concerne les têtes de listes » a-t-il précisé.
Dans une déclaration, mercredi 13 août 2014 à Shems Fm, le chef du parti Ennahdha Rached Ghannouchi a annoncé que certaines têtes de listes pour les législatives sont des femmes et que ces listes ont été établies en tenant compte du principe de parité homme-femme. « Cette parité ne sera pas appliquée en ce qui concerne les têtes de listes » a-t-il précisé.
© abamako.com
L’étude intitulée « Identifier les obstacles et les opportunités : les femmes maliennes partagent leurs opinions sur leurs rôles sociaux, civils et politiques », a été réalisée en avril dernier et présentée ce mardi 12 août 2014 lors d’une table ronde au siège de National Democratic Institute (NDI) à Bamako.
© abamako.com
L’étude intitulée « Identifier les obstacles et les opportunités : les femmes maliennes partagent leurs opinions sur leurs rôles sociaux, civils et politiques », a été réalisée en avril dernier et présentée ce mardi 12 août 2014 lors d’une table ronde au siège de National Democratic Institute (NDI) à Bamako.
© AFP
La condition féminine a été abordée au cours du sommet États-Unis-Afrique. Les différentes interventions bousculent bien des idées reçues. Nkosazana Dlamini-Zuma, médecin et ancienne activiste anti-apartheid en Afrique du Sud et actuellement la porte-parole de l'Union africaine, est intervenue lors de la table ronde consacrée à la condition des femmes au cours du sommet USA-Afrique.
© AFP
La condition féminine a été abordée au cours du sommet États-Unis-Afrique. Les différentes interventions bousculent bien des idées reçues. Nkosazana Dlamini-Zuma, médecin et ancienne activiste anti-apartheid en Afrique du Sud et actuellement la porte-parole de l'Union africaine, est intervenue lors de la table ronde consacrée à la condition des femmes au cours du sommet USA-Afrique.
Favoriser l’accès des femmes à des postes nominatifs et électifs. C’est cela que l’ex président Amadou Toumani Touré, appelait la « discrimination positive » à l’égard des femmes. L’accès des femmes à des postes nominatifs ou électifs, est devenu un débat politique. Certains partis politiques, à l’occasion d’élections, vont jusqu’à proposer des quotas de représentation, aux femmes. Le gouvernement, de son côté, ne cesse d’apporter son appui à la promotion de la femme, soutenu dans cet effort, par ses partenaires techniques et financiers.
Favoriser l’accès des femmes à des postes nominatifs et électifs. C’est cela que l’ex président Amadou Toumani Touré, appelait la « discrimination positive » à l’égard des femmes. L’accès des femmes à des postes nominatifs ou électifs, est devenu un débat politique. Certains partis politiques, à l’occasion d’élections, vont jusqu’à proposer des quotas de représentation, aux femmes. Le gouvernement, de son côté, ne cesse d’apporter son appui à la promotion de la femme, soutenu dans cet effort, par ses partenaires techniques et financiers.