rôle des femmes dans la société

Être une femme en politique peut parfois être plus compliqué qu'il n'y paraît. Comme dans la plupart des territoires, peu de femmes accèdent à des postes à responsabilités au sein des municipalités.

Et encore moins pour ce qui est du siège de premier magistrat. Pourtant, une loi existe pour contrer ces disparités non représentatives de la société. Trois mairesses témoignent cette semaine dans nos colonnes. Brigitte Passebosc, maire de St Etienne-au-Mont, Clotilde Roberval, maire de Fiennes, et Noëlle Evrard, maire de Pittefaux.

Mme Kassambara Safiatou Diawara, affectueusement appelée Madame KASS, a depuis 1997, choisi de se mettre au service de la communauté. Aujourd’hui, elle occupe le poste de chargée des Finances à la Cellule d’Appui à la Décentralisation/Déconcentration du Ministère de la Jeunesse et des Sports.

Contrairement aux élections législatives de mai 2012, les femmes ne seront pas aussi présentes dans la course à la magistrature suprême en avril.

La présidentielle d'avril 2014 approche et pour le moment les candidats ne se bousculent pas au portillon. Et contrairement aux élections législative de mai 2012, les femmes ne seront pas aussi présentes dans la course à la magistrature suprême.

Milouda Hazib membre du BP du PAM a crée l’événement en devenant jeudi 7 novembre la deuxième femme politique du Maroc à présider un groupe de députés.

Les premières fois en politique sont suffisamment rares pour mériter d’être relevées et saluées et spécialement quand elles rehaussent le niveau de participation des femmes dans les hautes sphères politiques.

Cette élection bien que secondaire est peu commune car elle confirme et renforce la place des femmes marocaines en politique.

Le Conseil fédéral veut des actes. Il fixe un quota de 30% de femmes dans les conseils d'administration des entreprises proches de la Confédération, comme La Poste, Ruag, la SSR ou les CFF.

Les entreprises ont jusqu'à 2020 pour parvenir aux 30% réclamés. La Délégation des finances du Parlement sera chargée de suivre l'évolution de la nomination des cadres et d'en rendre compte chaque année. Aucune sanction n'est prévue, mais «tout écart par rapport au quota-cible devra être justifié».

Le Réseau des groupes de femmes Chaudière-Appalaches (RGFCA) tient à souligner la progression des femmes qui s’impliquent dans la gouverne locale des municipalités de Chaudière-Appalaches. En effet, les femmes comptent maintenant pour près de 27 % des élus municipaux, comparativement au 24,5 % des élections de 2009. Également, 75 % des femmes qui s'étaient portées candidates (mairesse ou conseillère) ont été élues.

Même si pour une première fois de leur histoire, La Tuque et Trois-Rivières avaient des femmes candidates à la mairie, ces grandes villes resteront gouvernées par des hommes.

Sidération et colère rentrée. Quand la députée Véronique Massonneau a entendu le caquètement sortir de la bouche d’un député passablement éméché, elle a réagi instantanément, tout en gardant son calme. Peut-être parce qu’elle en avait déjà vu tant d’autres. Comme ce jour où Laurent Wauquiez lui avait lancé, très classe : « C’est député, ça ? » Des anecdotes comme celles-là, presque chaque députée, chaque sénatrice en a plein sa besace parlementaire.