À 64 ans, Sanae Takaichi s’apprête à devenir la première femme Première ministre du Japon.
La participation politique des femmes aux processus électoraux nécessite un soutien ciblé pour vaincre la discrimination fondée sur le sexe. Les principales stratégies visant à renforcer l'équilibre entre les sexes dans les processus électoraux sont les suivantes: travailler avec les partis politiques pour promouvoir des politiques et des pratiques sensibles au genre afin de favoriser le leadership des femmes; la sensibilisation et le soutien ciblés pour que les femmes s'inscrivent et votent en toute sécurité dans les bureaux de vote; garantie de protection contre la violence et le harcèlement liés aux élections; l'utilisation de quotas et de mesures temporaires spéciales pour accroître la représentation des femmes; un soutien technique et financier efficace aux femmes candidates et aux dirigeants politiques; et l'engagement de champions masculins pour l'autonomisation des femmes et l'égalité des sexes.
À 64 ans, Sanae Takaichi s’apprête à devenir la première femme Première ministre du Japon.
Une avancée significative
Tant pour la course au Parlement que pour celle au Gouvernement, les candidatures féminines restent largement minoritaires.
Une étude inédite de la Caisse des dépôts, publiée mardi 16 septembre, montre que la part des femmes maires augmente avec les nouvelles générations et l’instauration de la parité sur les listes de candidats.
En Côte d'Ivoire, les électeurs seront appelés aux urnes le
À un an des prochaines élections législatives, le Maroc s’engage dans une révision en profondeur de son système électoral.
Dix ans après le début de la grave crise politique qui a vu le projet démocratique s’effondrer, le Burundi entre d
Désormais, la loi impose une parité totale entre hommes et femmes sur les listes des candidats aux élections municipales pour les communes de moins de 1 000 habitants. Cette mesure s'appliquera dès le prochain scrutin de 2026.
En 2024, année de toutes les élections, les partis politiques belges ont dépensé plus de 15 millions d’euros en publicités sur les réseaux sociaux. Derrière ce montant colossal, des inégalités de genre marquantes.