Etre femme au Congo
Etre femme au Congo
Par Cecilia Díaz Weippert,
Par Cecilia Díaz Weippert,
Bien qu'il y ait eu des avancées importantes dans le leadership des femmes en politique, au 1er novembre 2017, les femmes ne représentent que 7,2% des chefs d'État et 6,2% des chefs de gouvernement. Les données sur les femmes représentantes dans les gouvernements locaux, y compris en tant que maires, chefs de villages et de villes, ne sont pas systématiquement collectées et analysées. L'adoption d'un indicateur des ODD sur la représentation des femmes dans les gouvernements locaux est un grand pas en avant dans le suivi des progrès en matière d'équilibre entre les sexes, permettant la collecte et l'analyse systématiques des données sur les femmes dans les gouvernements locaux. L'accès et le maintien des femmes à des postes de direction sont entravés par toute une série d'obstacles, notamment des lois et pratiques discriminatoires, ainsi que des normes sociales qui prescrivent des rôles et des attitudes traditionnels pour la participation des femmes aux postes de responsabilité. Les politiques proactives d'égalité entre les sexes dans les partis politiques et les structures gouvernementales locales, notamment les quotas et les mesures temporaires spéciales, les approches sensibles au genre des processus électoraux, les réseaux de soutien, le mentorat, la formation et l'engagement des champions masculins peuvent contribuer à promouvoir le rôle des femmes.
Par Cecilia Díaz Weippert,
Par Cecilia Díaz Weippert,
La parité en politique semble encore bien lointaine. A l'approche des élections municipales, l'AFP a fait le bilan et nous sommes bien loin du compte. En effet, un total de 21,32% des têtes de listes des communes de plus de 1.000 habitants aux élections municipales du 15 et du 22 mars sont des femmes, contre seulement 15,46% en 2014. Soit une progression de 6 points, ce qui représente une avancée tout de même notable.
La parité en politique semble encore bien lointaine. A l'approche des élections municipales, l'AFP a fait le bilan et nous sommes bien loin du compte. En effet, un total de 21,32% des têtes de listes des communes de plus de 1.000 habitants aux élections municipales du 15 et du 22 mars sont des femmes, contre seulement 15,46% en 2014. Soit une progression de 6 points, ce qui représente une avancée tout de même notable.
Le mardi 17 mars 2020, s’est tenu une conférence débat au ministère de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille sur le thème «Femmes et retrait des cartes d’électeurs ». Présidée par Mme Diakité Aissata Kassa Traoré, ministre de la promotion de la femme, cette conférence débat qui s’inscrivait dans la mouvance du 8 mars, visait à sensibiliser les femmes à aller retirer leurs cartes d’électeurs pour pouvoir accomplir leur devoir civique.
Le mardi 17 mars 2020, s’est tenu une conférence débat au ministère de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille sur le thème «Femmes et retrait des cartes d’électeurs ». Présidée par Mme Diakité Aissata Kassa Traoré, ministre de la promotion de la femme, cette conférence débat qui s’inscrivait dans la mouvance du 8 mars, visait à sensibiliser les femmes à aller retirer leurs cartes d’électeurs pour pouvoir accomplir leur devoir civique.
Conférences, célébrations, débats parfois houleux dans les médias et sur les réseaux sociaux… Au Soudan du Sud, la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars, et l’actualité institutionnelle du pays se sont avérées propices aux discussions sur la place des femmes dans la société et sur leur participation en politique.
Conférences, célébrations, débats parfois houleux dans les médias et sur les réseaux sociaux… Au Soudan du Sud, la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars, et l’actualité institutionnelle du pays se sont avérées propices aux discussions sur la place des femmes dans la société et sur leur participation en politique.
La Grèce est présidée par une femme, Ekaterini Sakellaropoulou, pour la première fois de son histoire. L’occasion de tirer, inlassablement, ce constat : les femmes sont sous-représentées en matière de décision politique.
La Grèce est présidée par une femme, Ekaterini Sakellaropoulou, pour la première fois de son histoire. L’occasion de tirer, inlassablement, ce constat : les femmes sont sous-représentées en matière de décision politique.
Cette carte des femmes en politique rend compte sous une présentation visuelle originale de la présence des femmes au sein des gouvernements et des parlements au 1er janvier 2020.
Cette carte des femmes en politique rend compte sous une présentation visuelle originale de la présence des femmes au sein des gouvernements et des parlements au 1er janvier 2020.
L’Initiative Prospective Agricole Rurale (IPAR), en partenariat avec le Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) a bénéficié d’un appui technique et financier du Centre de Recherche pour le développement International (CRDI) du Canada. Ce, pour mettre en œuvre un projet de recherche-action dans le but de contribuer à l’amélioration des droits fonciers des femmes et la promotion d’une gouvernance foncière plus inclusive au Sénégal.
L’Initiative Prospective Agricole Rurale (IPAR), en partenariat avec le Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) a bénéficié d’un appui technique et financier du Centre de Recherche pour le développement International (CRDI) du Canada. Ce, pour mettre en œuvre un projet de recherche-action dans le but de contribuer à l’amélioration des droits fonciers des femmes et la promotion d’une gouvernance foncière plus inclusive au Sénégal.
Dans une salle où ordinateurs, carnets, professions de foi et gobelets de café envahissent les tables, une vingtaine de femmes se prêtent à un curieux exercice. Réparties en binômes, elles ont trois minutes chrono pour réussir une opération de porte-à-porte. Les rôles sont attribués – l’une incarne la candidate, l’autre une électrice râleuse qui hait la politique, mais peut se laisser convaincre – et la simulation commence.
Dans une salle où ordinateurs, carnets, professions de foi et gobelets de café envahissent les tables, une vingtaine de femmes se prêtent à un curieux exercice. Réparties en binômes, elles ont trois minutes chrono pour réussir une opération de porte-à-porte. Les rôles sont attribués – l’une incarne la candidate, l’autre une électrice râleuse qui hait la politique, mais peut se laisser convaincre – et la simulation commence.