Enterrées depuis le 24 avril dernier, les dépouilles de six femmes tuées à Abobo durant la crise post-électorale par un char des hommes de Laurent Gbagbo, reposent au cimetière d’Abobo-Baoulé, dans l’anonymat total. « Ce qui est surprenant, c’est le fait de les avoir enterrées dans ce lieu réservé aux personnes sans parents, comme des anonymes », s’indigne O.Y., un proche des six femmes tuées lors de la marche pacifique demandant le départ de Laurent Gbagbo, à Abobo, le 3 mars dernier. C’est presque un supplice, samedi, lorsque ces mots sont lâchés, au cimetière municipal d’Abobo-Baoulé. Le guide qui est l’un des rares parents des victimes à connaître la sépulture, ne cache pas sa peine.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de Abidjan. net
Enterrées depuis le 24 avril dernier, les dépouilles de six femmes tuées à Abobo durant la crise post-électorale par un char des hommes de Laurent Gbagbo, reposent au cimetière d’Abobo-Baoulé, dans l’anonymat total. « Ce qui est surprenant, c’est le fait de les avoir enterrées dans ce lieu réservé aux personnes sans parents, comme des anonymes », s’indigne O.Y., un proche des six femmes tuées lors de la marche pacifique demandant le départ de Laurent Gbagbo, à Abobo, le 3 mars dernier. C’est presque un supplice, samedi, lorsque ces mots sont lâchés, au cimetière municipal d’Abobo-Baoulé. Le guide qui est l’un des rares parents des victimes à connaître la sépulture, ne cache pas sa peine.
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