Selon des observateurs, l’usage de la force, employée par les autorités contre les manifestants anti-gouvernementaux réclamant le départ du président yéménite, Ali Abdullah Saleh, entrave les efforts de médiation et le dialogue, alors que se multiplient les annonces des défections de responsables militaires très hauts gradés. Plus de 80 personnes auraient été tuées et des centaines blessées au cours des manifestations qui ont eu lieu dans tout le pays depuis la première semaine de février. Le 21 mars, une déclaration par les deux groupes d’opposition dénonçant l’état d’urgence décrété par M. Saleh indiquait que le « massacre du vendredi » 18 mars à l’Université de Sanaa avait fait 52 morts parmi les manifestants et en avait blessé plus de 250.
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Selon des observateurs, l’usage de la force, employée par les autorités contre les manifestants anti-gouvernementaux réclamant le départ du président yéménite, Ali Abdullah Saleh, entrave les efforts de médiation et le dialogue, alors que se multiplient les annonces des défections de responsables militaires très hauts gradés. Plus de 80 personnes auraient été tuées et des centaines blessées au cours des manifestations qui ont eu lieu dans tout le pays depuis la première semaine de février. Le 21 mars, une déclaration par les deux groupes d’opposition dénonçant l’état d’urgence décrété par M. Saleh indiquait que le « massacre du vendredi » 18 mars à l’Université de Sanaa avait fait 52 morts parmi les manifestants et en avait blessé plus de 250.
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