La femme égyptienne a joué un rôle important dans les révolutions du 25 janvier 2011 et du 30 juin 2013. Elle s’est dressée à côté des hommes contre le régime despote de Moubarak et contre le régime autoritaire et injuste de Morsi.
La participation de la femme à la lutte nationale contre l’occupation avait constitué un important motif pour lui accorder son droit à l’enseignement, au travail et à la participation politique. Aujourd’hui, sa participation à la révolution doit se refléter sur la Constitution afin de lui accorder ses droits et faire face à l’infériorité dont est victime la femme, à son enseignement, à son travail et à ses activités politiques, économiques et sociales.
La femme égyptienne a joué un rôle important dans les révolutions du 25 janvier 2011 et du 30 juin 2013. Elle s’est dressée à côté des hommes contre le régime despote de Moubarak et contre le régime autoritaire et injuste de Morsi.
La participation de la femme à la lutte nationale contre l’occupation avait constitué un important motif pour lui accorder son droit à l’enseignement, au travail et à la participation politique. Aujourd’hui, sa participation à la révolution doit se refléter sur la Constitution afin de lui accorder ses droits et faire face à l’infériorité dont est victime la femme, à son enseignement, à son travail et à ses activités politiques, économiques et sociales.