Election:Gabon
L’élection présidentielle anticipée prévue au Gabon en vue de la désignation du successeur du président Omar Bongo Ondimba décédé le 8 juin dernier aura lieu le 30 août prochain, a annoncé la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP), dans un communiqué publié mercredei soir à Libreville.
Le dépôt des candidatures est prévu du 17 au 22 juillet 2009 alors que la Campagne électorale doit débuter le samedi 15 août à minuit pour s’achever le 29 août 2009 à 24 heures.
Le collège électoral sera convoqué le dimanche 30 août 2009 de 7 heures 30 à 18 heures, précise le communiqué lu sur les antennes de la 1ère chaîne de télévision publique. La loi électorale gabonaise a été modifiée il ya six ans. Le 23 juillet 2003, l’Assemblée Nationale et le Senat réunis en Congres ont adopte une révision constitutionnelle instaurant pour l’élection présidentielle le scrutin a un seul tour et autorisant le chef de l’Etat à briguer autant de mandats qu’il le souhaite.
Vingt-trois candidats ont été retenus et sont désormais en course pour succéder à Omar Bongo.
Victoire de Ali Bongo
Ali Bongo a remporté les élections avec 41,7% des voix. Ses deux rivaux ont respectivement obtenus 25,88% pour André Mba Obame et 25,22% pour Pierre Mamboundou. Le scrutin a été contesté par les opposants qui revendiquent leurs victoires. La succession est extrêmement délicate car il doit incarner le changement que la population attend demande depuis des années. La proclamation des résultats a engendré des manifestations qui ont violemment été réprimées dans les grandes villes comme Libreville et Port-Gentil. Maintenant avec qui Ali va diriger ? Va-t-il rompre avec les pratiques de son père ?
Dans tous les cas l’investiture est prévue pour le 20 septembre prochain et nous verrons quel type de gouvernement Ali va mettre en place. Va-t-il former un gouvernement de consensus pour calmer les tensions ? L’avenir nous le dira.
L’opposition est trop dispersée
Je viens dans ce débat pour apporter ma faible contribution.
Premièrement les panneaux d’affichages sont tous pour Ali Bongo. Il y a un affichage sauvage et un étalage de richesse de la part d’Ali qui me déçoit beaucoup. Il pourrait faire preuve de plus d’humilité et laisser aussi une visibilité aux autres.
Quant aux autres candidats ils sont trop nombreux 23 candidats c’est trop et cela renforce le candidat du PDG qui dispose de plus de moyens et dont les partisans occupent les postes stratégiques lui permettant de gagner les élections.
Je ne suis pas du même avis que ma compatriote qui dit que l’on doit laisser une chance à Ali. Le Gabon n’est pas la propriété d’une famille. Les Bongo devraient se retirer pour laisser le destin des gabonais aux gabonais. C’est bien dommage que nous n’assistions pas à une campagne équitable et à des élections libres.
Saluons quand même la présence de deux femmes candidates même si leurs chances de gagner sont faibles elles méritent d’être encouragée.
De plus, avouons que la plupart des opposants sont des anciens du régime Bongo, ils ont bien profité et comme l’a dit Ali : « pendant vingt ans ils étaient auprès du boss, ils ont mangé… ». Il le dit haut et fort et il a raison. Chers membres de l’opposition réveillez vous et si vous voulez participer effectivement à la vie démocratique du Gabon, cessez de profiter du régime en place pour le contre dire par la suite. Vous n’êtes pas du tout crédible
Personnellement je n’ai même pas envie de voter tant l’issue me parait inéluctable.
Pendant combien de temps devrons nous vivre sous le règne des Bongo….
Donnons une chance a Ali Bongo
Je suis membre d’un parti politique au Gabon. Je suis très révoltée par toutes ces discussions autour de l’élection présidentielle dans mon pays le Gabon. Le Gabon est un petit pays riche de 267 670 km2 pour une population de 1 331 138.
Nous n’avons pas besoin d’un système démocratique propre aux occidentaux. Omar Bongo a régné pendant quarante ans et il a maintenu la paix et la stabilité dans notre pays. Il a fait la promotion du genre, voyez l’actuelle Présidente de la République Rose Rogombe qui était Présidente de l’Assemblée est une femme. Laissons une chance à Ali Bongo de continuer l’œuvre de son défunt père. Les autres candidats sont juste ssoiffés du pouvoir. Ali Bongo lui a grandi dans le pouvoir il n’est pas attiré par le matériel. Nous avons plus de garanti avec lui qu’avec les autres. Ceux qui souhaitent repousser la date de l’élection n’auront pas gain de cause. Les femmes et la jeunesse du Gabon soutiennent Ali Bongo qui sera le prochain Président du Gabon. L’Afrique ce n’est ni l’Europe ni l’Amérique, pour assurer la paix et la continuité nous devons rester avec Ali Bongo. Les autres candidats une fois au pouvoir ferons la même chose, ils ne voudront pas quitter c’est ainsi, l’alternance démocratique n’est pas encrée en Afrique pour l’instant. Donnons une chance à ce nouveau mode de succession peut être que cela va nous inspirer pour créer des institutions qui sont africaines et non importées. Pourquoi tout ces débats? Ils sont plus de vingt candidats on ne peut pas dire que ce n’est pas une élection ouverte et transparente. Ils vont se battre sur différents programmes politiques. Que le meilleur gagne !
election Gabon
Cette nouvelle tendance qui s'installe progressivement en Afrique prouve que la démocratie n'est pas adapte à nos réalités culturelles et que la réflexion sur un système qui nous correspond s'impose. Faure a pris la place de son père au Togo. Au Sénégal nous voyons bien que Wade prépare son fils Karim. Au Gabon ne nous faisons aucune illusion Ali Bongo va succéder à son père et la Constitution lui permet de revenir autant de fois qu'il le souhaite. Les autres pays ne doivent pas s'inspirer de ces modèles dynastiques de gestion. Ali Bongo est peut être qualifié pour le poste mais dans la population d'autres aussi sont compétents.
Victoire de Ali Bongo
Ali Bongo a remporté les élections avec 41,7% des voix. Ses deux rivaux ont respectivement obtenus 25,88% pour André Mba Obame et 25,22% pour Pierre Mamboundou. Le scrutin a été contesté par les opposants qui revendiquent leurs victoires. La succession est extrêmement délicate car il doit incarner le changement que la population attend demande depuis des années. La proclamation des résultats a engendré des manifestations qui ont violemment été réprimées dans les grandes villes comme Libreville et Port-Gentil. Maintenant avec qui Ali va diriger ? Va-t-il rompre avec les pratiques de son père ?
Dans tous les cas l’investiture est prévue pour le 20 septembre prochain et nous verrons quel type de gouvernement Ali va mettre en place. Va-t-il former un gouvernement de consensus pour calmer les tensions ? L’avenir nous le dira.
L’opposition est trop dispersée
Je viens dans ce débat pour apporter ma faible contribution.
Premièrement les panneaux d’affichages sont tous pour Ali Bongo. Il y a un affichage sauvage et un étalage de richesse de la part d’Ali qui me déçoit beaucoup. Il pourrait faire preuve de plus d’humilité et laisser aussi une visibilité aux autres.
Quant aux autres candidats ils sont trop nombreux 23 candidats c’est trop et cela renforce le candidat du PDG qui dispose de plus de moyens et dont les partisans occupent les postes stratégiques lui permettant de gagner les élections.
Je ne suis pas du même avis que ma compatriote qui dit que l’on doit laisser une chance à Ali. Le Gabon n’est pas la propriété d’une famille. Les Bongo devraient se retirer pour laisser le destin des gabonais aux gabonais. C’est bien dommage que nous n’assistions pas à une campagne équitable et à des élections libres.
Saluons quand même la présence de deux femmes candidates même si leurs chances de gagner sont faibles elles méritent d’être encouragée.
De plus, avouons que la plupart des opposants sont des anciens du régime Bongo, ils ont bien profité et comme l’a dit Ali : « pendant vingt ans ils étaient auprès du boss, ils ont mangé… ». Il le dit haut et fort et il a raison. Chers membres de l’opposition réveillez vous et si vous voulez participer effectivement à la vie démocratique du Gabon, cessez de profiter du régime en place pour le contre dire par la suite. Vous n’êtes pas du tout crédible
Personnellement je n’ai même pas envie de voter tant l’issue me parait inéluctable.
Pendant combien de temps devrons nous vivre sous le règne des Bongo….
Donnons une chance a Ali Bongo
Je suis membre d’un parti politique au Gabon. Je suis très révoltée par toutes ces discussions autour de l’élection présidentielle dans mon pays le Gabon. Le Gabon est un petit pays riche de 267 670 km2 pour une population de 1 331 138.
Nous n’avons pas besoin d’un système démocratique propre aux occidentaux. Omar Bongo a régné pendant quarante ans et il a maintenu la paix et la stabilité dans notre pays. Il a fait la promotion du genre, voyez l’actuelle Présidente de la République Rose Rogombe qui était Présidente de l’Assemblée est une femme. Laissons une chance à Ali Bongo de continuer l’œuvre de son défunt père. Les autres candidats sont juste ssoiffés du pouvoir. Ali Bongo lui a grandi dans le pouvoir il n’est pas attiré par le matériel. Nous avons plus de garanti avec lui qu’avec les autres. Ceux qui souhaitent repousser la date de l’élection n’auront pas gain de cause. Les femmes et la jeunesse du Gabon soutiennent Ali Bongo qui sera le prochain Président du Gabon. L’Afrique ce n’est ni l’Europe ni l’Amérique, pour assurer la paix et la continuité nous devons rester avec Ali Bongo. Les autres candidats une fois au pouvoir ferons la même chose, ils ne voudront pas quitter c’est ainsi, l’alternance démocratique n’est pas encrée en Afrique pour l’instant. Donnons une chance à ce nouveau mode de succession peut être que cela va nous inspirer pour créer des institutions qui sont africaines et non importées. Pourquoi tout ces débats? Ils sont plus de vingt candidats on ne peut pas dire que ce n’est pas une élection ouverte et transparente. Ils vont se battre sur différents programmes politiques. Que le meilleur gagne !
election Gabon
Cette nouvelle tendance qui s'installe progressivement en Afrique prouve que la démocratie n'est pas adapte à nos réalités culturelles et que la réflexion sur un système qui nous correspond s'impose. Faure a pris la place de son père au Togo. Au Sénégal nous voyons bien que Wade prépare son fils Karim. Au Gabon ne nous faisons aucune illusion Ali Bongo va succéder à son père et la Constitution lui permet de revenir autant de fois qu'il le souhaite. Les autres pays ne doivent pas s'inspirer de ces modèles dynastiques de gestion. Ali Bongo est peut être qualifié pour le poste mais dans la population d'autres aussi sont compétents.