"Les premiers mois de fonction sont toujours les plus difficiles"
Source: Bilan
Membre de la Municipalité de Nyon depuis 2006, elle est aussi administratrice auprès de la Banque Cantonale Vaudoise et vice-présidente de l’association Pro-jet, pour l’insertion professionnelle de jeunes et moins jeunes en difficulté. Maman de 3 grands enfants, elle est et a été impliquée à tous les niveaux de la politique et d’institutions actives dans les domaines privé, parapublic et public, autant locales que d’importance régionale (hôpital régional, caisse de pensions, CGN) ou nationale (BCV, EspaceSuisse).
Son titre universitaire d’économiste en poche, elle a débuté sa carrière chez Arthur Andersen à Genève, puis à Lugano. Elle est ensuite engagée par la Banca della Svizzera Italiana notamment pour des missions de soutien au conseil d’administration. Rentrée à Nyon, elle a ensuite été membre du Conseil communal, députée au Grand Conseil vaudois, présidant notamment sa commission de gestion, et municipale. Ses diverses étapes professionnelles et politiques l’ont amenée à appuyer, contrôler ou occuper des fonctions stratégiques. Elle est naturellement mandatée dans divers conseils d’administration, de fondation ou comités d’association soit pour y représenter Nyon ou l’Etat de Vaud, soit en son nom propre. Ses expériences vont de la participation à la haute direction de sociétés dans le domaine de l’énergie, des multimédia, du tourisme, du transport, de la santé, de l’aménagement du territoire, de l’économie, ou encore de la finance à des mandats, tout aussi passionnants dans des associations et fondations actives dans les domaines de la culture, du social et de l’environnement.
Comment êtes-vous devenue administratrice?
La fonction d’administratrice ou de membre de conseil de fondation ou d’association est riche intellectuellement, car elle se nourrit du vécu, de la réflexion et de l’intelligence de personnes, qu’il s’agit d’optimiser en les croisant. D’une multitude de données, le CA doit s’assurer que ressort une ligne claire, un message audible et une stratégie qui porte loin, et bien. Il est passionnant de contribuer à ces développements dont on peut voir, et contrôler, la mise en œuvre et les succès, voire corriger les inefficacités au cas où.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Bilan le 20 janvier 2020.
Membre de la Municipalité de Nyon depuis 2006, elle est aussi administratrice auprès de la Banque Cantonale Vaudoise et vice-présidente de l’association Pro-jet, pour l’insertion professionnelle de jeunes et moins jeunes en difficulté. Maman de 3 grands enfants, elle est et a été impliquée à tous les niveaux de la politique et d’institutions actives dans les domaines privé, parapublic et public, autant locales que d’importance régionale (hôpital régional, caisse de pensions, CGN) ou nationale (BCV, EspaceSuisse).
Son titre universitaire d’économiste en poche, elle a débuté sa carrière chez Arthur Andersen à Genève, puis à Lugano. Elle est ensuite engagée par la Banca della Svizzera Italiana notamment pour des missions de soutien au conseil d’administration. Rentrée à Nyon, elle a ensuite été membre du Conseil communal, députée au Grand Conseil vaudois, présidant notamment sa commission de gestion, et municipale. Ses diverses étapes professionnelles et politiques l’ont amenée à appuyer, contrôler ou occuper des fonctions stratégiques. Elle est naturellement mandatée dans divers conseils d’administration, de fondation ou comités d’association soit pour y représenter Nyon ou l’Etat de Vaud, soit en son nom propre. Ses expériences vont de la participation à la haute direction de sociétés dans le domaine de l’énergie, des multimédia, du tourisme, du transport, de la santé, de l’aménagement du territoire, de l’économie, ou encore de la finance à des mandats, tout aussi passionnants dans des associations et fondations actives dans les domaines de la culture, du social et de l’environnement.
Comment êtes-vous devenue administratrice?
La fonction d’administratrice ou de membre de conseil de fondation ou d’association est riche intellectuellement, car elle se nourrit du vécu, de la réflexion et de l’intelligence de personnes, qu’il s’agit d’optimiser en les croisant. D’une multitude de données, le CA doit s’assurer que ressort une ligne claire, un message audible et une stratégie qui porte loin, et bien. Il est passionnant de contribuer à ces développements dont on peut voir, et contrôler, la mise en œuvre et les succès, voire corriger les inefficacités au cas où.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Bilan le 20 janvier 2020.