Ni féministe ni traditionaliste: Angela Merkel, première femme à diriger l'Allemagne et qui se succède à elle-même a une relation singulière avec la question du genre, et n'en a pas vraiment tiré parti.La chancelière conservatrice, classée comme la femme la plus puissante du monde pour la quatrième année consécutive par le magazine Forbes, tire sa force politique de sa capacité à surmonter les stéréotypes liés au genre, dans une société qui reste traditionnelle à de multiples égards, estiment-ils.
POur plus d'informations, veuillez visiter le site web de tdg.ch
Ni féministe ni traditionaliste: Angela Merkel, première femme à diriger l'Allemagne et qui se succède à elle-même a une relation singulière avec la question du genre, et n'en a pas vraiment tiré parti.La chancelière conservatrice, classée comme la femme la plus puissante du monde pour la quatrième année consécutive par le magazine Forbes, tire sa force politique de sa capacité à surmonter les stéréotypes liés au genre, dans une société qui reste traditionnelle à de multiples égards, estiment-ils.
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