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Les Maliens votent le 29 juillet 2018 pour se choisir un nouveau président. Une vingtaine de candidats ont annoncé leur intention de participer à l’élection dont deux femmes: Kanté Diébou Ndiaye et Rakia Alphadi, la candidate soutenue par les Touaregs du Nord.

Un atelier sur la gouvernance locale s’inscrivant dans le cadre du projet « Académie politique des femmes leaders » est organisé depuis lundi à Dapaong (660 km au Nord de Lomé). Près d’une vingtaine de jeunes femmes de la région des Savanes y prennent part.

L’Union des femmes burkinabè au Sénégal (UFBS) a célébré en différé la Journée internationale des femmes, célébrée normalement le 8 mars de chaque année. L’événement a été placé cette année sous le thème national de « La participation de la femme à la gouvernance : état des lieux, défis et perspectives ».

Le consortium composé du Réseau des femmes des radios communautaires haïtiennes (REFRAKA), de Panos Caraïbes et de Perspectives pour la santé et le développement (PESADEV) a réalisé un atelier sur les violences faites aux femmes en période électorale, le samedi 16 juin 2018 dans le Plateau central, à Hinche. Cette séance de travail, qui a réuni les représentants de plusieurs organisations de femmes et de personnes à mobilité réduite, vise à collecter, traiter, analyser des informations et soumettre des recommandations concrètes aux autorit

Les femmes membres du regroupement politique « Alliance des forces démocratiques du Congo » (AFDC) et alliés, ont remis mardi à l’autorité morale de cette plateforme, Modeste Bahati Lukwebo, une liste dénommée « Malaïka », constituée d’éventuelles candidates aux prochaines élections en RDC. L’information est tirée du bulletin de l’ACP.

Une femme d’affaires malienne, Kanté Diébou Ndiaye, s’est lancée lundi dans la course à l’élection présidentielle du 29 juillet, où elle affrontera une vingtaine d’hommes, afin de sortir les femmes de leur « isolement » dans ce pays du Sahel.

«Obstacles à l’inclusion et à la participation des femmes à la gestion des affaires publiques». C’est sous ce thème que le National Democratic Institute (NDI) a organisé à Bobo-Dioulasso le jeudi 31 mai 2018, une conférence sur la participation politique de la femme au Burkina.

Alors que pointent à l’horizon les prochaines échéances législatives et municipales, CT ouvre le débat dans un environnement où les femmes continuent de revendiquer plus de place.

Elles ont toutes joué un rôle important dans leur domaine respectif. Mais depuis quelques mois, voire quelques années pour certaines,  ces femmes semblent avoir quitté le devant de la scène. Pourtant,  de Rékhiat Madougou en passant par Célestine Zanou à Mariama Baba Moussa, plusieurs d’entre elles continuent, derrière le rideau, de jouer discrètement leur partition. Conseillère dans un département ministériel, ou dans les couloirs d’un palais présidentiel de la sous-région, ces femmes n’ont jamais vraiment quitté la scène.