Si la chancelière salue l'élection du socialiste, Berlin pose clairement les limites et table sur des réformes structurelles pour relancer la croissance en Europe. La chancelière a réaffirmé ce lundi les limites qu'elle entend opposer à la volonté de François Hollande d'enrichir le pacte budgétaire de mesures destinées à soutenir la croissance. «Le pacte de croissance n'est pas négociable. [...] Il n'est pas possible de tout renégocier après chaque élection», sinon «l'Europe ne fonctionne plus», a estimé Angela Merkel lors d'une conférence de presse. «La Grèce pourrait aussi demander à renégocier» le plan d'austérité qu'elle met en œuvre en échange de l'aide internationale, a-t-elle par exemple mis en garde. Le porte-parole d'Angela Merkel, Steffen Seibert, a également rappelé ce lundi que 25 pays sur 27 avaient adopté ce pacte à l'arraché il y a quelques mois, et qu'il était par conséquent «impossible» de le renégocier. La Grèce, le Portugal et la Slovénie l'ont d'ores et déjà ratifié.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de Figaro
Si la chancelière salue l'élection du socialiste, Berlin pose clairement les limites et table sur des réformes structurelles pour relancer la croissance en Europe. La chancelière a réaffirmé ce lundi les limites qu'elle entend opposer à la volonté de François Hollande d'enrichir le pacte budgétaire de mesures destinées à soutenir la croissance. «Le pacte de croissance n'est pas négociable. [...] Il n'est pas possible de tout renégocier après chaque élection», sinon «l'Europe ne fonctionne plus», a estimé Angela Merkel lors d'une conférence de presse. «La Grèce pourrait aussi demander à renégocier» le plan d'austérité qu'elle met en œuvre en échange de l'aide internationale, a-t-elle par exemple mis en garde. Le porte-parole d'Angela Merkel, Steffen Seibert, a également rappelé ce lundi que 25 pays sur 27 avaient adopté ce pacte à l'arraché il y a quelques mois, et qu'il était par conséquent «impossible» de le renégocier. La Grèce, le Portugal et la Slovénie l'ont d'ores et déjà ratifié.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de Figaro