Comment les femmes ont participé pour la première fois à des élections en Russie
Comment les femmes ont participé pour la première fois à des élections en Russie
By Gueorgui Manaïev
By Gueorgui Manaïev
By Gueorgui Manaïev
By Gueorgui Manaïev
Depuis le 9 août 2020, les Biélorusses manifestent pour exiger le départ de leur président, Alexandre Loukachenko. Au pouvoir depuis 1994, il a été réélu avec 80% des voix lors d'élections controversées. Multisectorielle et d'une ampleur inédite, la mobilisation se caractérise également par une présence féminine massive. Comment expliquer une telle implication des femmes dans le mouvement biélorusse ?
Depuis le 9 août 2020, les Biélorusses manifestent pour exiger le départ de leur président, Alexandre Loukachenko. Au pouvoir depuis 1994, il a été réélu avec 80% des voix lors d'élections controversées. Multisectorielle et d'une ampleur inédite, la mobilisation se caractérise également par une présence féminine massive. Comment expliquer une telle implication des femmes dans le mouvement biélorusse ?
Elles n’étaient plus que deux en lice pour succéder au Danois Michael Moeller à la tête de l’Office des Nations unies à Genève. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a tranché. Il a choisi Tatiana Valovaya, membre du comité exécutif de la Commission eurasiatique, un espace économique commun regroupant la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan. La diplomate russe occupe la fonction de ministre en charge des questions d’intégration et macroéconomiques au sein de la Commission eurasiatique.
Elles n’étaient plus que deux en lice pour succéder au Danois Michael Moeller à la tête de l’Office des Nations unies à Genève. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a tranché. Il a choisi Tatiana Valovaya, membre du comité exécutif de la Commission eurasiatique, un espace économique commun regroupant la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan. La diplomate russe occupe la fonction de ministre en charge des questions d’intégration et macroéconomiques au sein de la Commission eurasiatique.
Dans l'Altaï, territoire éloignée de Moscou, une femme transgenre dirige désormais l'antenne régionale d'un parti politique mineur. Une nomination qui a été remarquée dans la capitale et qu'un député connu pour sa lutte contre les LGBT+ n'a pas manqué de condamner.
Dans l'Altaï, territoire éloignée de Moscou, une femme transgenre dirige désormais l'antenne régionale d'un parti politique mineur. Une nomination qui a été remarquée dans la capitale et qu'un député connu pour sa lutte contre les LGBT+ n'a pas manqué de condamner.
Dans un tweet envoyé mercredi soir pendant l'entretien du président russe avec des médias français, l'ancienne compagne de François Hollande s'affiche «heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine».
Dans un tweet envoyé mercredi soir pendant l'entretien du président russe avec des médias français, l'ancienne compagne de François Hollande s'affiche «heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine».
La plupart des Russes (60%) estiment que les femmes doivent s'engager davantage en politique contre 53% en mars 2010, selon un sondage réalisé par la fondation russe Opinion publique (FOM).
Seuls 27% des personnes interrogées croient que la politique n'est pas faite pour les femmes.
La plupart des Russes (60%) estiment que les femmes doivent s'engager davantage en politique contre 53% en mars 2010, selon un sondage réalisé par la fondation russe Opinion publique (FOM).
Seuls 27% des personnes interrogées croient que la politique n'est pas faite pour les femmes.
Quinze ans après l’assassinat de la parlementaire russe et militante des droits de l’homme, Galina Starovoïtova, les commanditaires de son meurtre n’ont toujours pas été traduits en justice. Le 20 novembre 1998, Mme Starovoïtova était abattue dans l’entrée de son appartement à Saint-Pétersbourg. Quatre hommes purgent des peines de prison depuis 2005 pour avoir exécuté ce meurtre ou en avoir été les complices, mais l’enquête visant à identifier les personnes à l’origine de ce crime progresse lentement.
Quinze ans après l’assassinat de la parlementaire russe et militante des droits de l’homme, Galina Starovoïtova, les commanditaires de son meurtre n’ont toujours pas été traduits en justice. Le 20 novembre 1998, Mme Starovoïtova était abattue dans l’entrée de son appartement à Saint-Pétersbourg. Quatre hommes purgent des peines de prison depuis 2005 pour avoir exécuté ce meurtre ou en avoir été les complices, mais l’enquête visant à identifier les personnes à l’origine de ce crime progresse lentement.
Natalia Timakova, porte-parole du Premier ministre Dmitri Medvedev, dans une interview donnée à la radio La voix de la Russie, parle du rôle des femmes dans la politique russe et du mythe de la désinformation.
Lire plus dans le communiqué de presse publié le 3 avril 2013 par La Russie D’Aujourd’hui
Natalia Timakova, porte-parole du Premier ministre Dmitri Medvedev, dans une interview donnée à la radio La voix de la Russie, parle du rôle des femmes dans la politique russe et du mythe de la désinformation.
Lire plus dans le communiqué de presse publié le 3 avril 2013 par La Russie D’Aujourd’hui