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Political Financing for Women

Money is essential for the operations of political parties, and particularly affects candidates in electoral processes. Political financing regulations can effect women’s access to run as candidates, be elected, campaign and reach out to the population. Regulations on political funding are used to level the playing field in electoral competition. They can also work to ensure that women are able to compete on a more equal footing with men. This in turn may result in women’s increased political participation; a key feature of democracy.

Funding regulations need to be context specific and respond the realities on the ground. iKNOW Politics is seeking to collect information on laws, regulations or practices that have been put in place to address challenges women face in raising money in politics. We would like to know about good experiences in this area, in particular related to the following questions:
 

  • Are there formal (legislated) mechanisms that work to level the (financial) playing field between women and men candidates? If so, what are they (e.g. spending limits, campaigning time limits, disclosure, reforms to public funding that may benefit women)?
 
  • Are there adverse effects for women candidates in the existing laws on political finance? What can be changed, or what provisions could be strengthened (e.g. ensuring enforcement of campaign finance regulations, including disclosure; prohibition of illicit funding)?  Are there any controls in place?
 
  • How have political parties addressed the gender funding gap (e.g. voluntary – not legislated – practices such as internal fundraising mechanisms, in-kind contributions for campaigns)? If so, what are they?
 
  •  Are there differences in how women and men candidates spend their campaign funds? E.g. higher spending for women due to lack of security, childcare costs, etc.

 

Politics in Kenya is corrupt as is the situation throughout the horn of Africa.Financial constraint has discouraged many women from political participation .This compounded by many other factors including gender inequalities, social discrimination, cultural and religious restriction and the great influence of patriarchal background. Women are not allowed in any public spheres regardless of educational background. This social injustice is back dated as early as 15th centuries which restricts women for fear domination in public spheres. Women and girls are allowed education.
It's never in the history that northern Kenya elect a women in parliament,although this constitution favors for the post of women representatives. Recommendations:
Fund for women to support political campaigns;
Community sensitization for women in leadership;
Challenge the community norms that devalue women;
Women empowerment programs.

Wed, 05/15/2013 - 14:49 Permalink

Gracias por la invitación a iKNOW Politics. Es un interesante el tema el que ustedes presentan. Hay mucho que decir, por mi parte, informaré acerca de un caso verídico sobre la adversidad de la mujer frente a una crisis económica después de concluir la candidatura y no ser elegida. Cómo es que uno carga el peso económico, social y político, es decir muchas mujeres ingresamos con las ganas de hacer algo pero terminamos con pasivos, donde ni el partido se acuerda siquiera de darnos las gracias, y realmente cargamos la cruz y no sabemos si terminará esa odisea. En el segunda parte contaré la historia que ayudará a mucha mujeres. Quizás dará algunas soluciones y más que nada podría servir para prevenir alguna situación similar a la historia que se presenta.

Mon, 05/20/2013 - 15:40 Permalink

Salut de mon pays le Burkina Faso. La constitution oblige les partis politiques à avoir au moins 30% de candidatures féminines sur leurs listes pour les élections législatives et municipales. Mon parti, à travers une directive, recommande au responsable de section d'avoir 50% de femmes sur leurs listes pour les deux élections citées ci-dessus. Au cas où un parti politique ne respecterait pas cette disposition de la constitution il perd 50% du financement public pour la campagne.
Cette loi a encouragée plusieurs femmes à s’intéresser à la politique. Ces femmes ont besoin d'un appui particulier vu les pesanteurs socio-culturels qui font qu'une femme candidate ait du mal à mobiliser les fonds pour sa campagne. Elles ont besoin aussi de formation. L'ONG NDI offre des formations aux femmes candidates. Ces formations leur donnent une base nécessaire pour mener un combat politique. Elles permettent aussi aux femmes d'avoir des indemnités. Ces indemnités sont importantes et leur permettent d'aller vers leur électorat. Elles devront bénéficier 'un appui pour le financement de leur campagne ce qui n'est pas le cas en ce moment. Plusieurs ONG en plus du NDI devraient intervenir directement dans mon pays pour appuyer financièrement les femmes qui acceptent de s'engager dans la politique.

Fri, 05/17/2013 - 05:24 Permalink

En el caso guatemalteco, no existe un mecanismo legal para el financiamiento de y para la participación de las mujeres. Los partidos políticos no promocionan ni facilitan condiciones para la participación de la mujer. Es de reconocer que las mujeres que actualmente han logrado un cargo de elección popular, en gran parte se debe a su propio esfuerzo.

La tarea de institucionalizar la participación de las mujeres es una premisa estratégica. La búsqueda de financiamiento para facilitar la participación de la mujer es una actividad que deriva en crear mecanismos e instancias para hacer efectiva su participación.

Mon, 05/20/2013 - 15:58 Permalink

Je me nomme Wendyam Micheline et je suis la présidente de l'Association Femmes et Développement au Burkina Faso.
Pour ce qui est d'expérience burkinabé en matière de la participation des femmes à la politique, le travail conjoint du ministère de la promotion des femmes et des mouvements et associations de la société civile ont conduit le gouvernement a adopté une loi portant sur le quota genre. Cette loi oblige les partis politiques à inscrire 30% de femmes sur les listes électorales; mais l'expérience a démontré que cette loi n'est pas suffisante; il faudra qu'elle s'accompagne de mesures supplémentaires. A cet effet, le financement politique rentre en compte; en ce sens, pour l'instant, je ne pense pas qu'il existe un budget spécifique pour les femmes. Le financement politique octroyé par l'état au niveau du Burkina est alloué aux partis politiques. Et la dépense de ce budget revient à une gestion interne des différents partis; de ce fait, la part allouée aux femmes dépendra donc de leur positionnement dans le parti et de leur influence. Ce qui me laisse penser qu'effectivement, le financement doit être revu pour qu'il ait une part octroyé aux femmes pour leur permettre de mener à bien leur campagne politique.
Je ne saurais terminer, sans évoquer ce que d'autres m'ont devancé, à savoir la question de la formation des femmes en politique. Je dirais que le manque de compétences dans le domaine limite beaucoup les femmes et les empêche d'aller plus loin et de se hisser. Ainsi, la formation et le renforcement des capacités des femmes politiciennes s'avèrent incontournable pour une meilleure participation et la réussite des femmes en politiques.

Wendyam Micheline KABORE
Présidente de l'AFD/Burkina Faso

Tue, 05/21/2013 - 05:41 Permalink

Bonjour à toutes et à tous,

Le Togo, à travers le code électoral adopté le 15 février 2013, a prévu des mesures incitatives pour la participation des femmes en politique. Il s'agit de la réduction de moitié des frais de caution des candidates pour les législatives et les locales et des bonus pour les partis politiques qui respectent la parité sur leurs listes.
Ces dispositions sont certes louables pour les organisations féminines mais restent de loin une approbation des partis politiques surtout de ceux de l'opposition.
En effet, l'adoption du code électoral reposerait sur la volonté du Chef de l'Etat d'opter pour la parité, selon son discours du nouvel an à la Nation. A ce propos, aucune loi n'a été promulguée jusque-là pour traduire cette volonté politique en fait réel. Ceci laisse libre cours aux interprétations de cette disposition pour les législatives et les locales à venir, sans toutefois compter avec les désaccords entre l'opposition et le gouvernement par rapport à l'adoption de ce code dans un climat politique tendu. A cela s'ajoute le conditionnement du financement des partis politiques par l'élection des femmes de ces partis. Il ressort qu'à côté de la volonté politique de voir les femmes participer massivement et se faire élire se cache une volonté d'écarter l'opposition en mal d'organisation interne pour ce rendez-vous électoral. D'où l'interprétation faite des mesures de financement politique en faveur des femmes au Togo est perçue comme un frein au jeu démocratique.

Tue, 05/21/2013 - 06:40 Permalink

Quizá todo queda en las buenas intenciones, porque en la práctica casi en la mayoría de partidos y movimientos políticos no se siguen las reglas porque las mujeres nos hemos convertido en mecanismos de relleno para cumplir con lo que dispone la Constitución de la República del Ecuador, pero nada más. Es decir las candidaturas están direccionadas y en lo que más se invierte es en la promoción de tal o cual candidata/o. No interesa que triunfe. Continúa resultando bastante difícil la participación misma de la mujer en la política y ni qué decir del financiamiento, se debería conformar una fundación, asociación, etc. a nivel internacional con miras a financiar una verdadera participación de la mujer en la política.

Tue, 05/21/2013 - 14:31 Permalink

La femme en Tunisie exerce la politique sans inconvénients ni des lacunes et avec une grande aisance.
On peut dire qu’il y a deux phases totalement différentes pour les femmes politiciennes : avant révolution et après révolution.
Avant révolution : il y avait un seul parti dominant le RCD qui avait une représentation assez importante de femmes vue que ses listes sont toujours gagnantes dont 30% sont des femmes obligatoirement. La stratégie étatique était pro participation effective et présence de la femme politique puisque on utilisait le régime des listes ; ainsi la femme bénéficie des mêmes avantages que l’homme dans le financement des campagnes électorales. Il y avait une discrimination mais dans le sens positive. En ces temps-là on parle rarement des femmes dans l’opposition qui ont pu financer un parti de leurs campagnes électorales.
Après révolution : les nouvelles législations des élections via l’ISIE qui obligeaient les partis à faire des listes électorales de neufs personnes, la moitié des femmes et l’autre moitié des hommes, avec alternances homme/femme ou femme/homme et les incitent à émettre des listes dont les femmes sont en tête. Mais désormais, une minorité de partis politiques qui ont mis une femme en tête de liste (étant donné que le nombre des listes était très élevé (environ 1500 listes)) il y a eu dispersion de voix et la liste gagnante ne prendra qu’un seule siège et évidemment ce siège sera occupé par un homme. L’objectif était d’avoir équité entre homme et femme à l’Assemblé Nationale Constituante (ANC) mais les résultats de représentation effective des femmes étaient aux alentours de 27%. En effet, avec la parité alternée dans la confection des listes la première personne investie est un homme. Sur une liste de 9 sièges, il y a 5 hommes et 4 femmes. Si la liste ne dispose que d’un siège, il est généralement occupé par un homme. Et c’est cela qui constitue une limite de la loi sur la parité « absolue ». Cette limite doit être brisée et o invoque, parmi les multiples solutions, l’instauration d’un accès égal à l’argent politique entre les femmes et les hommes au sein d’une même formation politique.
La nouvelle stratégie a pour objectif d’améliorer le niveau de représentativité des femmes dans les instances politiques nationales. Elle veillera aussi à l’accroissement du taux de participation des femmes aux élections générales à venir aux niveaux national et local. Ses axes opérationnels sont, entre autres, le renforcement des organes des élections en genre, l’amélioration de la représentativité des femmes dans des positions stratégiques au sein des partis politiques et dans les instances de décisions (Parlement, Haut conseil des collectivités, conseils communaux, conseils de cercle, assemblées régionales).
Une grande place est également donnée à la préparation technique des femmes candidates aux différentes échéances électorales, à l’appui direct aux femmes candidates ainsi qu’à la sensibilisation des populations et la communication.

Tue, 05/21/2013 - 07:18 Permalink

Leyendo los comentarios al tema del financiamiento, podemos constatar que la situación es muy similar en los diferentes países de la región. Lo cual nos tiene que llevar a plantearnos que estos temas tienen que ser abordados desde espacios regionales y globales que generen obligatoriedad incluso a los Estado para garantizar que haya participación política de las mujeres y que además, ésta sea de calidad. En ese sentido, deberíamos de recuperar algunas de las propuestas planteadas en este foro y ver cómo canalizarlas. Por ejemplo, pienso que hay que tratar de obtener financiamiento público-privado para promover testimonios de vida de las mujeres que participamos en la política. Para poder expresar cuáles son las vicisitudes por las que pasamos y que esto no sea solo un hecho en nuestra vida. Además del financiamiento en dinero, necesitamos disponer de recursos técnicos, de tecnología, de recursos humanos capacitados para la elaboración de propuestas políticas, programas electorales, diseño de campañas electorales y colocación masiva en los medios. ¿Cómo generar alianzas entre nosotras las mujeres? ¿Cómo generar alianzas con hombres comprometidos con la participación de la mujer como un derecho? ¿Cómo hacer que estos planteamientos sean tomados en consideración en las legislaciones de nuestros países? Considero que las redes de organizaciones son muy importantes para esto. Así como también las campañas de incidencia y movilización. Y reclamo de derechos de nosotras mujeres. Los parlamentos, las Asambleas Nacionales son un espacio importante para hacer estos planteamientos.

Tue, 05/21/2013 - 20:42 Permalink

It is true that funding is key to women's effective participation in politics. However, money is just one of the many sources of hindrance to women actively taking part in politics and for that matter being part of decision making bodies. The questions is "if there is money to help women in politics but there are barriers such as lack of political will, illiteracy, cultural and religious norms, practices and beliefs etc, what happens? The answer is obvious that money alone would definitely not help to achieve the objective of increasing the presence of women in the political arena.

Money is very essential in this day of our democratic dispensation especially in Ghana. Campaigns during elections in Ghana has become very expensive. Attractive billboards, posters, T shirts, fliers and others are requisite to push politicians forward. Aside this, people in the campaign team need to be motivated most times financially before helping one to win power. This has led to issuing out of items such as cloth, motor bikes, cooking utensils, food items, money and more to electorates just to win votes. This practice requires funding.

In the case for men, they are able to raise funds from many sources including friends, individuals, old boys associations, club members and many others. Women on the other hand are generally poor and therefore cannot contribute alone to help support their fellow women in pursuing political activities. If this is achieved, that is when the plight of women could be adequately addressed. Women know what affect them and therefore are able to make decisions that rightly have positive impact on them. Therefore, if men are the sole representatives in parliament for instance, and other higher places, decisions made by them are those that are likely to only positively impact on them and not their female counterparts. This is the main reason why there is the need to get more women into politics and other decision making bodies.

In the case of Ghana once more, it is realized that Political Parties are also to blame for the limited number of women in politics. Political Parties have remained male-dominated sine independence. The issue of nominating women to stand for Parliamentary election has not been well addressed. It is the view of some Political Parties that the results of elections are not based on gender but on popularity. In this case, ethnic compromises are more the norm than gender compromises.

One would just say that in the case of Ghana and other African countries, aside funding, the sure way of getting more women into politics may include the following:
* Amendments in the electoral Laws,
* A change in the Political System
* Introduction of Quotas
* Proportional Representation in Parliament
* Reserved seats for women
* Fielding women in safe seats
* Changes in the Political Party Structure
* Affirmative Action with specific measures to redress the causes of discrimination of women in our political history
* Dealing with the religious and political practices to prevent women fro accessing positions of leadership and
* The media portraying positive image of women by highlighting the invaluable skills and contributions of women.

Thu, 05/16/2013 - 12:37 Permalink

¡Hola a todos/as!. Soy Carmen Colazo, les escribo desde Paraguay, en este momento coordino el Observatorio Electoral desde el enfoque de equidad de género del Parlamento Mujer de Tiempo Nuevo, un proyecto que viene desplegándose desde hace más de 9 años con lideresas políticas de todos los partidos y movimientos del país, y que está aliado a la Red de Mujeres Munícipes del Paraguay. Este proyecto recoge la tradición de alianzas para favorecer políticas de género de las mujeres políticas del país desde que en 1989 se retomara el proceso democrático después de la caída del Dictador Alfredo Stroessner. En el año 1991 reformamos el Código Electoral y pudimos incluir un artículo para favorecer la participación en los partidos y movimientos que luego ratificó la Constitución Nacional de 1992. También desde la organización de mujeres políticas del Paraguay propiciamos la Cuota de Participación en lugares de decisión de cuyo anteproyecto soy autora con la Lic. Perla Yore.

En el Paraguay no contamos con una legislación que garantice un financiamiento político transparente, y menos aún equitativo. La legislación que se ha logrado para la supervisión del financiamiento político de los partidos y movimientos aún no ha sido implementada, dado los intereses de quienes manejan el poder al respecto.

¿Tienen efectos adversos sobre las mujeres las actuales leyes de financiamiento político?

Como dijéramos, no existe la aplicación de la ley, por lo tanto todo el financiamiento existente es adverso a las mujeres que son quienes en la historia han sido despojadas de sus bienes por el patriarcado (como la legislación puede constatar, ya que las mujeres no administraban sus bienes sino que lo hacían sus pathers, quienes podían tener patri-monio, o sus maridos, que como "jefes" de familias recibían todo el patrimonio de las mujeres cuando conformaban nuevas familias).

Las mujeres no han sido detentadoras de capital, menos aún se han capitalizado o han acumulado capital en la historia. No son las mayores fortunas, por lo tanto difícilmente puedan financiar por sí mismas campañas políticas y llegar, como se exige en Paraguay a tener 1.000.000 de dólares para pagar una banca en el Senado o 500.000 dólares para que el partido le reserve una banca en la Cámara de Diputados.

¿Qué se podría cambiar, o qué cláusulas hay que fortalecer (p. ej. asegurar la aplicación de las normativas, incluidas las que pertenecen a la revelación de datos; prohibición de fondos ilícitos)? ¿Qué tipo de controles existen?

Hay mucho por cambiar. Hay mucho por fortalecer. Se tienen que revisar las legislaciones comparadas de financiamiento para considerar mejor esta pregunta. En primer lugar se deberían favorecer campañas que no fueran honerosas para que las personas (no sólo las mujeres) participaran en condiciones de igualdad. En este sentido, el voto directo, que rige en Paraguay, es muy costoso, pero también asegura la democracia. Es un problema a considerar. Con voto directo es necesario estar en todo el país, y quienes poseen más dinero y pueden moverse con mayores posibilidades también tienen mayores posibilidades de ganar elecciones. Generalmente los hombres.

Por supuesto que es importante establecer normativas y no sólo normativas sino mecanismos efectivos para que el financiamiento no sea ilícito, por que las mujeres están menos aliadas a las mafias que los hombres y éstos encuentran mayor apoyo en ellas para sus campañas. Es importante establecer controles cruzados sobre el patrimonio de los/as políticos/as, el impuesto pagado, el enriquecimiento, para obstaculizar el enriquecimiento ilícito que se produce en la clase política, porque, además, este enriquecimiento va directamente a las campañas políticas.

La publicidad de los datos es importante en este sentido, una república se basa en la publicidad sobre los/as gobernantes y sus actos. Creo que hay pocos controles todavía, sobre todo en Paraguay, pero que la ciudadanía está cada vez más activa y tiene cada día más conciencia de su poder para frenar las ilegalidades e injusticias en el país. Es importante fortalecer a la sociedad civil para controlar los actos de gobierno.

La inequidad en las oportunidades de acceso a los cargos, que se evidencia en el incumplimiento de las cuotas, también tiene que ver con la falta de poder económico de las mujeres. Proyectos que favorezcan el empoderamiento económico de las mujeres son importantes para su autonomía, también en las esferas del poder y la política. Las mujeres empresarias son las que mejor negocian lugares en los partidos en el Paraguay, y por supuesto, poco pueden hacer las feministas, que lejos están del poder económico y la cultura de acumulación de la riqueza. De esta manera, quienes más tienen tienen posibilidades de tener más todavía, ocupando lugares de decisión política con oportunidades privilegiadas, lo que va conformando una casta política rentística en el país.

¿Cómo han tratado los partidos políticos el déficit de género con respecto al financiamiento (p. ej. voluntariamente – la recaudación de fondos interna dentro de los partidos, contribuciones para las campañas? ¿Qué métodos o estrategias han utilizado?

Como dijo Gricelda anteriormente, los partidos políticos tradicionales no tienen conciencia de género, la participación de las mujeres, es prácticamente invisible e innecesaria para ellos. No tienen, en el Paraguay, estrategias para la participación de las mujeres ni se preocupan por que lleguen a cargos ni por contar con recursos para favorecer la equidad. Si las mujeres no cuentan con el dinero necesario para ocupar una banca, no las ponen en muchos de los partidos, aunque felizmente existen algunos partidos donde tampoco los hombres pueden disponer de ese dinero y llegan a las bancas con mayor igualdad de oportunidades y resultados.

Ha sido significativa en las últimas elecciones del país, que el primer Partido Feminista que se presenta en el escenario político: Kuña Pyrendá, ha realizado una campaña de recolección de dinero en las calles, plazas, con distintas actividades, tan alternativas como sus propuestas políticas. Ha dado aire fresco a la política paraguaya y esperamos que en otras elecciones llegue a mayor caudal electoral por que en estas elecciones acaba de sacar sólo un 0,0..% de votos. Esto denota la conciencia que falta trabajar en campañas de difusión el cambio en nuestros países.

El Código Electoral paraguayo habla de fondos destinados a la capacitación de las mujeres, que la Justicia Electoral reparte a los partidos pero éstos no destinan a esos fines y hay que controlarlo y pedir amparos al respecto si fuera necesario.

¿Hay diferencias en la manera que las y los candidatos gastan los fondos de campaña? (p. ej. gastos más altos para las mujeres dada la falta de seguridad, costo del cuidado de menores, etc).

Yo creo que no, por que los fondos de Campaña se utilizan para realizar encuentros con la gente, pagar comidas, viajar al interior del país, etc. La diferencia es que los administran en general, los hombres del partido, no las mujeres que son la mayoría de las afiliadas y votantes.

Se podría pensar en normativas o mecanismos para favorecer la participación de las mujeres y su visibilización en las campañas. Al respecto, el Código Electoral del Paraguay también habla de la visibilización equitativa de mujeres y hombres en las campañas políticas, pero ésto tampoco se cumple. Las mujeres políticas deberían fiscalizar estos cumplimientos y utilizar más las garantías que da la Justicia Electoral, o la Constitución en lo que correspondiere, para hacer valer sus derechos (como la cuota, que tampoco hacen valer utilizando las posibilidades legales a nivel nacional e internacional que existen).

Personalmente pienso que hasta que las mujeres no estén conscientes de la importancia de su propia autonomía, especialmente económica, no podrán participar en igualdad en espacios que requieren "poner dinero, administrar dinero, distribuir dinero, monitorear dinero", tales como el mundo de la empresa y de la política mientras estas sean las reglas de juego, de otro modo hay que cambiar las reglas y el juego. Esto implica cambiar la cultura, la educación, que llevará muchísimos años y de todos modos las mujeres necesitan aún con ese cambio cultural esperado, ser realmente autónomas: la autonomía económica es la base de la autonomía política, por eso debemos "educar al ciudadano/a", acerca de sus necesarias autonomías desde que nace, como sucede con los varones.

¡Abrazos!

Carmen

Thu, 05/23/2013 - 15:21 Permalink

Si je partage l'expérience de mon pays, je dirais que la loi régissant les partis politiques exige le respect de la clause constitutionnelle, pour tout parti politique sans exception, qui exige d'avoir au moins 30% des femmes parmi ses membres effectifs. Cette action affirmative facilite la participation et le recrutement des femmes au sein des partis politiques.

Aquiline Niwemfura

Mon, 05/27/2013 - 11:54 Permalink

When a candidate addresses, directly or indirectly, the economic interesr of a particular section that candidate is financially supported by that section. Though poor people are numerically more, affluent section alone get their candidate elected by expensive campaign. Women candidate ideally to represent women, but women as a section in society are left out without proper economy share. Even aspiration is less since their economic and political interests merged with their men. When we build social movement that will address and motivate women with their distinct economy interests, the candidates field by them will be supported by them

Fri, 05/17/2013 - 03:48 Permalink

Political Financing for Women
iKNOW Politics E-discussion
The Pacific region has the lowest representation of women in parliament in the world. While there are a number of factors contributing to this, it is certainly the case that limited access to funding for electoral campaigning is one of the most significant.
Pacific women traditionally have a lower economic status than men. This has two consequences for women’s political leadership: 1) women are less able to save the required amount of money to pay their nomination fees, and 2) they lack the professional and business networks that generate the financial support needed for their campaign. The Beijing + 15: Review of progress in implementing the Beijing Platform for Action in Pacific Island countries and territories found that in the Pacific, this is compounded by women’s reluctance to leave well-paid positions (often in the public sector) to risk losing an election. Electoral systems in some Pacific countries are also more susceptible to vote or preference buying.
There are very few laws on political campaign financing in the Pacific. One stand-out example is Papua New Guinea’s Organic Law on Integrity of Political Parties and Candidates (2001) which provides some financial incentive to political parties to put forward women candidates. This law states that if a woman candidate gets 10 per cent of the votes in her constituency, the Central Fund Board of Management is required to refund 75 per cent of expenses incurred during her campaign (see Elise Huffer, 2007, Desk Review of the Factors Which Enable and Constrain the Advancement of Women’s Political Representation in Forum Island Countries).
Despite the challenges, work continues to assist women in running for office in this region. In 2008, A Guide to Campaigning for Pacific Women was jointly produced by the Pacific Islands Forum Secretariat and the UNDP with funding from the Australian Government. One of its key messages in terms of campaign financing is that it takes both money and people: “Even if you don’t have a lot of financial capital, use your ‘human capital’. Rely on your personal networks - your family, your friends, your fellow church-goers, people you know who are in community groups and sporting mates.”
A new initiative, which I am particularly proud of, is the Pacific Women’s Parliamentary Partnerships project. Established in 2013 with funding from AusAID and in partnership with the Commonwealth Women Parliamentarians Australia Region Committee, this project aims to support Pacific women in politics. One of its main activities will be to foster peer-to-peer mentoring and training between Australian and Pacific women, including candidates. This will see, for example, Pacific women coming to Australia to spend time in their mentor’s shoes to learn about campaigning, public speaking and self-assertion. We believe that this kind of peer support is precisely what will make a difference in turning around the low levels of women’s representation in Pacific politics and we look forward to that future change.
Lisa Baker MLA
Chair, Commonwealth Women Parliamentarians Australia

Tue, 05/21/2013 - 01:11 Permalink

En Côte d'Ivoire, nous pouvons relever que les efforts consentis par le politique en vue de la participation de la femme à la prise de décision et à jouer pleinement un rôle en politique ont eu quelques résultats perceptibles, ces dernières années.
En effet les femmes représentaient respectivement en 1995 et 2001, 8,33% et 21,4% au Gouvernement; 8% et 8,5% à l’Assemblée Nationale; 11% et 10,8% au Conseil Économique et Social; 5,1% et 5% dans les Mairies.
En 1999, au niveau des partis politiques, on enregistre 1 femme Secrétaire Générale sur les 80 Partis existants. Ce chiffre reste le même en 2004. De même, au niveau des autres Institutions, on note la présence de femmes Ambassadeurs (14, 3%); Chefs de villages (3 femmes sur 8.549); à la Cour Suprême, trois (3) femmes Magistrats dont une (1) Conseillère, un (1) Procureur Général
et un (1) Substitut Général; au Conseil Constitutionnel, un (1) femme sur sept (7) membres de la chambre constitutionnelle.
En 2013, leur pourcentages dans l'actuel gouvernement représente 36% et elles sont de plus en plus insérées dans les instances de prise de décision.
Par ailleurs, c'est seulement aux élections de 2000-2001, que les Partis Politiques ont fait l’effort de présenter des candidatures féminines à des postes électifs et ce, jusqu'à maintenant.
Ces efforts de participation de la femme dans les élections ont été renforcés par le gouvernement actuel. En effet, l'on constate une participation active de la femme dans les activités de sortie de crise, crise qu'a connue notre pays.
Lors des récentes élections législatives de 2012 en Côte d'Ivoire, toutes les femmes candidates quelque soit le bord politique,ont reçu une aide financière de la part du Président actuel pour soutenir la campagne de ces femmes. En Côte d'Ivoire, pour l'heure, il n'existe pas de loi relative à l'aide de la femme en matière politique. D'ailleurs, il était très difficile pour les partis politiques de cautionner la candidature féminine. Ce engouement que nous constatons aujourd'hui à voir la femme candidate aux élections, émane des efforts internationaux qui voudraient que la femme face de la politique et qu'elle soit de plus en plus insérer dans les instances de prise de décision. Pour preuve la loi qui vient d'être promulguée faisant de la femme et de l'homme tous deux chefs de la famille a été et continue d'être mal perçue par les hommes et l'ensemble des citoyens. Cette perception de la loi émane des us, coutumes et croyance de nos peuples.
Ce qui est confortant en Côte d'Ivoire en matière de la participation de la femme en politique, c'est que des efforts sont consentis tant bien par l'actuel gouvernement que par les ONG, en vue d'une participation totale de la femme aux activités politiques du pays. Cette volonté manifeste a été d'ailleurs exprimée à ADDIS ABEBA en Éthiopie, lors du cinquantenaire de l'Union Africaine. Les années à venir nous situerons sur la place de la femme en matière politique.

Mon, 05/27/2013 - 13:46 Permalink

Estimadas,

Quisiera compartir con ustedes la experiencia desde Nicaragua y desde mi visión:

• ¿Hay mecanismos formales (legislados) que operan para crear condiciones de igualdad entre candidatas y candidatos? En el caso de que los haya, ¿cuáles son (p. ej. límites de gasto, límites en la duración de las campañas electorales, revelación de datos, reformas de fondos públicos que puedan beneficiar a las mujeres)?

En el caso de Nicaragua, la Constitución establece en el artículo 48, segundo párrafo: "Es obligación del Estado eliminar los obstáculos que impidan de hecho la igualdad entre los nicaragüenses y su participación efectiva en la vida política, económica y social del país". Sin embargo. en la ley Electoral no hace diferencia sustancial en términos de género, ni hay ningún tipo de incentivo. El 8 de marzo de 2012 se aprobó una reforma a la ley de municipios que reconoce la la situación de desigualdad en que nos encontramos las mujeres en los diferentes ámbitos de la vida y cómo ello limita el ejercicio pleno de nuestros derechos fundamentales inherentes a la ciudadanía, y en consecuencia obstaculiza el desarrollo social y económico de la nación, ya que esta desigualdad, afecta al 50% de la población del país, lo que nos plantea el reto de lograr la igualdad de derechos y la igualdad real entre mujeres y hombres, prioridad que beneficia y debe involucrar a toda la sociedad.

Dice claramente que es fundamental trabajar para eliminar todo obstáculo que impida la igualdad entre las personas y lograr la modificación de los patrones socio-culturales y humanos que promueven la desigualdad en la sociedad nicaragüense, es decir la desigualdad del 50% de la población que está constituido por mujeres.

Que los mecanismos prácticos y reales para trabajar en función de avanzar hacia la profundización de la equidad de género y la recuperación de derechos de las mujeres, se constituyen a través de la participación de la mujer en el poder local y de su incorporación en las prácticas de género, tales como el Sistema de Planificación Municipal para el Desarrollo Humano (SPMDH), y en los Presupuestos Municipales, siendo éste último uno de los principales mecanismos de distribución de los recursos públicos y un instrumento fundamental para lograr estos objetivos.

En este marco se realiza una reforma que en lo sustantivo lo que plantea es en el caso del alcalde y vicealcalde, que el binomio debe formularse bajo el principio de igualdad y equidad de género en el ejercicio del poder local, lo que significa que, uno de ellos alcalde o vicealcalde deberá ser mujer, guardando la proporcionalidad entre ambos géneros. Para ello, los partidos políticos y alianzas electorales deberán presentar en su lista de candidatos a alcaldes y vicealcaldes y concejales un cincuenta por ciento de hombres y un cincuenta por ciento de mujeres.

Se crea un mandato a los partidos políticos que corrieron a poner en sus listas a mujeres, pero no hubo ningún incentivo ni en términos de formación, ni de apoyo en campañas. De hecho mi experiencia en la campaña para las elecciones como diputada, ni mi partido ni la red de mujeres del partido tenían recursos aunque se hicieron esfuerzos para recaudar fondos, pero la financiación de mi campaña fue únicamente a través de la gestión que pude realizar con personas y organizaciones que me apoyaron en el proceso.

• ¿Tienen efectos adversos sobre las mujeres las actuales leyes de financiamiento político? ¿Qué se podría cambiar, o qué cláusulas hay que fortalecer (p. ej. asegurar la aplicación de las normativas, incluidas las que pertenecen a la revelación de datos; prohibición de fondos ilícitos)? ¿Qué tipo de controles existen?

Definitivamente, hay efectos adversos. En la práctica los recursos que se consiguen están orientados a apoyar a quiénes van en las mejores posiciones, y a veces un esfuerzo de marketing y de oportunidad de relacionarse con el electorado puede cambiar la percepción y hacer que la ciudadanía vote por uno. Como se tienen que centralizar los recursos, también hay desconfianza si efectivamente se rinden cuentas como se debe y se utilizan los fondos como se acuerda.

Creo que no es positivo revelar datos de personas privadas que apoyan con cantidades mínimas, porque en el caso nuestro donde la institucionalidad no existe, sirve para ser perseguido únicamente. Obviamente cuando son sumas exorbitantes definitivamente debe trabajarse sobre la base del origen del fondo.

• ¿Cómo han tratado los partidos políticos el déficit de género con respecto al financiamiento (p. ej. voluntariamente – la recaudación de fondos interna dentro de los partidos, contribuciones para las campañas? ¿Qué métodos o estrategias han utilizado?

En el caso del Movimiento Renovador Sandinista, el partido tiene una red de mujeres que entre nosotras apoyamos a las candidatas en las internas, fundamentalmente con nuestros propios recursos y experiencia, elaborando los materiales de campaña y haciendo campaña. En la campaña nacional desarrollamos mecanismos para la búsqueda de fondos fundamentalmente con personas y organizaciones aliadas, pero el partido como tal se enfoco más en los grandes eventos y en las campañas nacionales.

• ¿Hay diferencias en la manera que las y los candidatos gastan los fondos de campaña? (p. ej. gastos más altos para las mujeres dada la falta de seguridad, costo del cuidado de menores, etc. Yo creo que no, al final los mecanismos de campaña utilizados son los mismos, depende mucho de cuanto uno pone de sí mismo, la dedicación y el entusiasmo que trasmita.

Claro, ésta es la experiencia de un partido minoritario y que no tiene vínculos con grandes capitales pero que hacemos un esfuerzo para realizar una política diferente que cree capacidades internamente y que se posicione en el país como una fuerza novedosa.

Edipcia Dubon
Diputada en la Asamblea Nacional de Nicaragua

Thu, 05/23/2013 - 17:08 Permalink

En el caso de Costa Rica, se promueve el financiamiento político desde la perspectiva de género procurando que se de el 50% entre los varones y las mujeres. Si bien es cierto que esta práctica promueve un asunto de equidad, en el fondo no es una condición de igualdad de género y por tanto los partidos políticos no necesariamente la cumplen aunque podrían ser sancionados por ello. Por otro lado, esto podría representar una buena oportunidad para las mujeres, se podría creer que es así, pero el problema es que en el fondo se mantiene la dominación patriarcal y esto está muy internalizado en el inconsciente colectivo.

Thu, 05/23/2013 - 23:56 Permalink

Cuando en otros países ya se está hablando del financiamiento para mujeres en los procesos electorales en el Perú aún no se ha terminado con el asunto de la representación femenina en los mismos. Por estos días se está discutiendo el tema de la obligatoriedad en la alternancia de cupos para los cargos en relación a las elecciones regionales y municipales, pero aún NADA DE NADA sobre el tema del financiamiento. ¿Cuándo será el día en que los varones nos sigan para pedirnos que los incluyamos en nuestras listas de candidatas y candidatos para los procesos electorales? Suena grosero, pero ahora nosotras estamos en esa situación y a nuestros pares les parece algo normal.

Yovana Vera
Activista en temas de género y desarrollo social

Fri, 05/24/2013 - 02:34 Permalink

Money is one of the essential elements that facilitates the election of women and increase their participation in politics. In Liberia, this is key and one must have sufficient money to transport potential votes at rallies, feed them, print tee shirts, fliers and on top of that give them money to buy their time. The candidates also need to pay their campaign teams and keep them motivated. Our whole electoral process has been commercialized and the people with the cash carry the highest votes. This is just one aspect of the challenge that women are faced with in Liberia. Let’s look at religious and cultural beliefs and practices that limit women participation in politics and decision making. In some cases, women have to get permission from their spouses to participate in non women traditional roles. Sometimes the community asks the women to with draw from politics and other sectors- tell them this is not for women.
The three branches of government, private sector, civil society and traditional council are male dominated. If you have a parliament that is full of men who do not see women as equals in politics and decision making what do you hope to achieve?

Liberian women activists have tried to push and lobby with their parliament to pass into law a bill called “Gender Equity Law”. This bill when passed into law will increase participation and representation of women in political process. This bill is to amend the New Elections Law of Liberia, to provide for fair participation and representation of women in political processes at the political party level.
The media has served as a big road block for getting women elected into political offices- they portrayed women in negative ways and give the public wrong impression. Recently a woman got elected into the Liberian senate, the media has not seen a competent woman but they have seen a wife of a representative. During the campaign, most of the news stories covered by media either started with her husband name, she was always linked to her husband. Her husband is in parliament and all the stories the media carried after she won the bi election focused on her husband and not her as a trained and professional journalist who has worked in the cooperate world for over ten years. Here is one news headline “ the wife of Representative Lawrence has won the senatorial bi- election in Grand Bassa”.
I am not saying money is not essential however, we need to pay keen attention to other barriers that I have listed above that have inhibited women’s political participation.
In Liberia, we think political parties are to share in the blame for low women representation in parliament. Political parties create conditions like calling meetings in the nights, their parties are male dominated and they say that women should learn to play the game like men.
Here are some suggestions for getting more women in politics;
1. Liberia must pass the “Gender Equity Act” this is an affirmative action that must be taken;
2.Political Parties put forward more women candidates;
3.A change in the political structure and systems;
4.Policies to address causes of discrimination of women in the political space;
5.Handling religious and cultural practices that limit women participation in politics and decision making;
6.The media promoting positive image of women and highlighting their contributions to society;
7.President Ellen Johnson Sirleaf give public statement that support the Gender Equity Act;
8.Empower women financially and give them a strong voice to be able to articulate their messages.

Tue, 05/21/2013 - 07:48 Permalink

En el caso de Bolivia, la sociedad transitó de una democracia representativa a una democracia con mayor participación “directa”, “comunitaria e intercultural” de diferentes y diversos (as) actores (ras), desde el 6 de diciembre de 009 y 4 de abril de 2010 fueron momentos definidos por la Constitución Política del Estado (CPE) para que las bolivianas y bolivianos emitieran su voto y participaran en la elección nacional de las y los representantes de la Asamblea Legislativa , Plurinacional, Presidente, Vicepresidente y otras autoridades multiniveles autonómicos.  Para ello se establecieron las normas y las reglas del juego, que regularían el proceso: CPE, ley del régimen electoral transitorio (hoy ley del régimen electoral y ley del órgano electoral), reglamento para elecciones departamentales y municipales, código electoral, ley de partidos políticos y ley de agrupaciones ciudadanas y pueblos indígenas.  En cuanto a un logro y luchas históricas de las mujeres se incluye la igualdad de oportunidades y la equidad de género arts. 8 y 270 de la CPE.

Es decir, que el nuevo contexto requirió que la nueva institucionalidad a partir de la CPE se consolide atenuando y reduciendo los potenciales CONFLICTOS, que tal transformación genera.   Se tuvo que velar por que las transformaciones se gestionaran pacíficamente dentro de marcos institucionales democráticos de respecto a las minorías y de mayor inclusión de grupos tradicionalmente vulnerables y excluidas.

Las mujeres han sido uno de estos actores sociales excluidos; se constata desde la instauración de la democracia representativa hasta dic 2009 y post constituyente 2010 con porcentajes muy desalentadores que no cubren la cuota mínima, y uno de los grandes obstáculos para su participación en la política no se reduce a términos de capacidad e interés mas bien a la disponibilidad de “recursos económicos” y “oportunidades de participación en los partidos políticos”

En Bolivia, se redactará prontamente una nueva Ley de Organizaciones Políticas (en remplazo de la anterior Ley de Partidos Políticos) adecuada al texto constitucional, se augura que se respetará la equidad de género en las internas; El nuevo proyecto de Ley de organizaciones políticas establecerá el respeto a la equidad de género en las elecciones internas que realicen los partidos políticos para elegir a sus candidatos y candidatas.  Será obligatorio que la nueva Ley indique que en la designación de sus candidatos (as) a los partidos políticos respeten la equidad de género, se precisará que el voto de militantes en los partidos políticos respete la alternabilidad para los próximos procesos electorales. Es decir, que la democratización de los partidos políticos da un salto cualitativo, estratégico, pues se prevé que los militantes de las organizaciones políticas elijan a sus candidatos (as) en base a determinados parámetros.   Además el ente electoral Tribunal Supremo Electoral (TSE) impuso dos hitos para consolidar la normativa; una, que exista mayor participación de la ciudadanía dentro de los partidos políticos y otra que permita que las organizaciones respondan a las necesidades de la población, con ofertas programáticas.  Elaborarán reglamentos para ejecutar las elecciones internas en las contiendas políticas, esperando que los partidos realicen sus elecciones internas dándole la claridad necesaria a la selección.  Las justas internas o primarias en los partidos son el mecanismo de elección de candidatos (as) –por parte de los militantes- que serán presentados para un proceso electoral, lo cual aportaría a incrementar e incentivar a las mujeres a participar y apoyar la democratización de los partidos políticos (W.Ovando,La Razón, 2012).

Adicionalmente se ha estado discutiendo bastante sobre la financiación a los partidos políticos, tema relevante, aspecto que debe contar con un sistema claro de control financiero.  Con temas de transparencia y lucha contra la corrupción pareciera ser una acción a la que el gobierno no podrá darle la espalda nuevamente, como en anteriores ocasiones, ya que fue en el gobierno de Evo Morales el que suspendió el financiamiento a los partidos políticos, esto porque se debe conocer de dónde se consigue, cual es la fuente del dinero para las campañas.  Por otro lado, en términos de igualdad de oportunidades en la participación para oficialistas y opositores, ya que la tendencia como en Ecuador o Venezuela se tendió hacia el oficialismo.

En cuanto a campañas destinadas s representaciones a la cabeza de mujeres, el único caso son las campañas al estilo de Emilys List. Sería ideal conformar fondos de mujeres para mujeres y/o otras alternativas que promuevan sus candidaturas, visibilidad y elección, de lo contrario estaríamos frente a situaciones repetitivas y tradicionales.

 La militancia - en la conformación de los partidos políticos y/o organizaciones políticas, representa una de las formas más importantes de discriminación hacia las mujeres hecho que restringe la participación y las limita, por el trato diferenciado reflejado en su permanente exclusión como minorías.  Sin embargo, este podría representar un incentivo para alentar a las mujeres a apoyar una candidatura que promueva programas a favor de las mismas, entre otras.

Maria Eugenia Rojas Valverde desde BOLIVIA

Sat, 05/25/2013 - 06:04 Permalink

While I agree with most of the comments about options and mechanisms for supporting women to participate in politics, I believe that we have jumped several steps ahead.My issue is that because women have been, and continue to be in environments which teach them that there is no place for women in decision-making (from within the family, let alone at national or regional level), we should start by empowering women by highlighting their capacities, to an extent that they themselves believe that they can indeed participate in decision making and can lead communities and nations!
Even in instances where mechanisms are in place - funding, quotas and others - women are not supported to be confident enough to make use of such opportunities. For instance, in Lesotho during the 2005 local government elections, women were given a 30% quota and needless to say, the next headlines would be about how women Councillors were failing!!
Let us start by empowering our communities – children, men and women – for them to realize the strengths that they have before even providing the perks for participating. I have observed women councillors in meetings where they would go, sit, listen and go home when it’s time to go – without highlighting the critical issues that they or their communities face, but just listening to the discussions and conclusions and merely acting as messengers. They did not feel comfortable to openly participate and be part of the decision-making as they have been socialized not to!
Political parties are themselves not even comfortable to address the gender gap and they mainly do it only of there are quotas or some legislative instruction or requirements.

Tue, 05/21/2013 - 09:06 Permalink

¿Hay mecanismos formales (legislados) que operan para crear condiciones de igualdad entre candidatas y candidatos? En el caso de que los haya, ¿cuáles son (p. ej. límites de gasto, límites en la duración de las campañas electorales, revelación de datos, reformas de fondos públicos que puedan beneficiar a las mujeres)?

Desde que las mujeres obtuvieron el derecho al voto en 1954, el desarrollo legal en Colombia ha promovido la inclusión de las mujeres en cargos de decisión política. En primer lugar, la Constitución de 1991 (y sus posteriores reformas), no solo reconoció la igualdad entre hombres y mujeres (artículos 13 y 43), sino la obligación de garantizar la adecuada y efectiva participación de la mujer en los niveles decisorios de la Administración Pública (artículo 40), así como la aplicación de la equidad de género como principio rector de los partidos políticos (artículo 107. Esta reforma fue introducida mediante Acto Legislativo 1 de 2009).
Estos postulados constitucionales, el trabajo conjunto de las mujeres en el país y la institucionalidad, abrieron la puerta para la expedición de dos acciones afirmativas, en materia de cuotas, claves para el propósito de incrementar de la representación política de las mujeres:

La Ley Estatutaria 581 de 2000 o Ley de Cuotas: Señala que el 30% de los cargos de máximo nivel decisorio y otros niveles en la estructura de la Administración Pública deben ser ocupados por mujeres.
La Ley Estatutaria 1475, de 2011, por la cual se adoptan reglas de organización y funcionamiento de los partidos y movimientos políticos, de los procesos electorales y se dictan otras disposiciones. Estableció un porcentaje mínimo (30%) de participación femenina en las listas de partidos políticos para cargos de elección popular, en donde se elijan más de 5 curules (Art. 28). También definió el principio de igualdad de género que rige los partidos políticos así: “los hombres, las mujeres y las demás opciones sexuales gozarán de igualdad real de derechos y oportunidades para participar en las actividades políticas, dirigir las organizaciones partidistas, acceder a los debates electorales y obtener representación política”.

Además, en el último año, se expidieron importantes leyes y documentos de política pública que generan mecanismos para potenciar el trabajo de las mujeres en los ámbitos de representación política y desarrollo del país, claves para el desarrollo de las mujeres:

La Ley 1434 de 2011, por la cual se crea la Comisión Legal para la Equidad de la Mujer en el Congreso. Esta Comisión busca fomentar la participación de las mujeres en el ejercicio de la labor legislativa y de control político, a través de funciones tales como elaborar proyectos de ley para la garantía de los derechos humanos de las mujeres en Colombia y ejercer control político para que los derechos de las mujeres se garanticen en el marco de planes, programas, proyectos y políticas públicas, entre otras.

La Ley 1450 de 2011, que expide el Plan Nacional de Desarrollo. Establece (art. 177) que el Gobierno Nacional en cabeza de la Alta Consejería para la Equidad de la Mujer adoptará una política nacional de Equidad de Género, para garantizar los derechos humanos y la igualdad de las mujeres. Uno de los ejes en el que actualmente se está trabajando en el marco de formulación de esta Política de Equidad para las mujeres, liderada por la Alta Consejería con la participación activa del Gobierno y de las organizaciones sociales, es el de participación política de las mujeres. El Documento de Política Pública, CONPES 140, de 2011, sobre metas y estrategias de Colombia para el logro de los Objetivos de Desarrollo del Milenio (ODM).

MARCO JURISPRUDENCIAL

La Corte Constitucional colombiana, en desarrollo de los preceptos constitucionales mencionados anteriormente, se ha pronunciado en contadas ocasiones sobre aspectos de la participación política de las mujeres, estableciendo una línea jurisprudencial de obligada referencia.
Sentencia C-371 de 2000: La Corte se pronunció determinando la exegibilidad de la Ley 581 de 2000 y estableció que acciones afirmativas como las Leyes de Cuotas, “son necesarias para lograr la igualdad real y efectiva consagrada en el artículo 13 de la Constitución, de manera que puedan ser abolidas las situaciones de desventaja o marginalización en las que se encuentran ciertas personas o grupos. Es así como establecen un trato “desigual” para quienes son desiguales, con el fin de disminuir distancias económicas, culturales o sociales”.
Sentencia C-371 de 2000: La Corte se pronunció determinando la exegibilidad de la Ley 581 de 2000 y estableció que acciones afirmativas como las Leyes de Cuotas, “son necesarias para lograr la igualdad real y efectiva consagrada en el artículo 13 de la Constitución, de manera que puedan ser abolidas las situaciones de desventaja o marginalización en las que se encuentran ciertas personas o grupos. Es así como establecen un trato “desigual” para quienes son desiguales, con el fin de disminuir distancias económicas, culturales o sociales”.
Esta sentencia constituye un hito jurisprudencial en materia de participación política de las mujeres, ya que el alto tribunal se pronunció extensamente sobre el contexto histórico e internacional de la participación de las mujeres en la vida política; y realizó un diagnóstico en el que comprobó que la precaria representación de las mujeres en los altos niveles decisorios del Estado, obedece a un criterio irracional de discriminación y no a factores de inferioridad natural, o de formación cultural y académica.
En ese sentido, la Corte establece que no es concebible una democracia que tolere el marginamiento político de la mitad de los ciudadanos, aduciendo argumentos racionalmente impresentables que ya han sido rebatidos desde hace mucho tiempo.
Sentencia C-490 de 2011: En esta oportunidad la Corte se pronunció sobre la exigibilidad de la Ley 1475 de 2011, relativa a la organización y funcionamiento de los partidos y movimientos políticos.
Al estudiar la exigibilidad de sus disposiciones, específicamente el artículo 28 sobre el porcentaje mínimo de 30% de participación femenina en los procesos de elección popular a corporaciones públicas, el tribunal constitucional consideró que tal disposición se ajusta a la Constitución dado que: “(…) promueve la igualdad sustancial en la participación de las mujeres en la política, estableciendo una medida de carácter compensadora, emancipatoria y correctora a favor de un grupo de personas ubicado en situación sistémica de discriminación; realiza los principios democráticos y de equidad de género que rigen la organización de los partidos y movimientos políticos, a la vez que desarrolla los mandatos internacionales y de la Constitución sobre el deber de las autoridades de garantizar la adecuada y efectiva participación de la mujer en los niveles decisorios de la Administración Pública. Se trata además, de una medida que si bien puede limitar algunos de los contenidos de la autonomía de los partidos y movimientos políticos, persigue una finalidad importante, es adecuada y necesaria para alcanzar dicho fin, a la vez que resulta proporcional en sentido estricto”.

¿Tienen efectos adversos sobre las mujeres las actuales leyes de financiamiento político? ¿Qué se podría cambiar, o qué cláusulas hay que fortalecer (p. ej. asegurar la aplicación de las normativas, incluidas las que pertenecen a la revelación de datos; prohibición de fondos ilícitos)? ¿Qué tipo de controles existen?

Considero que el efecto de las normas de financiamiento no tiene un efecto adverso en las mujeres, porque, hay candidatas que acceden a ellos perfectamente como los demás. A mi modo de ver, la manipulación que se ejerce en los partidos es perversa seleccionando a mujeres analfabetas políticamente, sin ningún conocimiento de la realidad, ni propuestas sociales importantes (menos de género), sólo escogen a quienes llenen la cuota exigida por la norma vigente para no ser castigados financieramente (el partido que incumpla con la cuota femenina no recibirá los recursos destinados para tal fin).

¿Qué se podría hacer al respecto?

Ejercer control por parte de las autoridades electorales, no sólo en el momento de inscripción de las listas (verificar la cuota asignada a las mujeres) sino, control posterior, verificando que realmente las mujeres candidatas sí hayan sido elegidas. Porque esto permite que se fijen más en la selección de las mujeres y los partidos realmente se interesen en sus campañas.

De acuerdo a la Constitución Política los Partidos y Movimientos Políticos con Personería Jurídica podrán acceder a financiación del Estado a través del FONDO NACIONAL DE FINANCIACIÓN DE PARTIDOS Y CAMPAÑAS ELECTORALES. Establecido por la ley 130 de 1994 como un sistema especial de cuentas adscrito y administrado por el Consejo Nacional Electoral. El dinero del Fondo se distribuye entre las organizaciones políticas. Ahora bien, es necesario aclarar que todas las organizaciones políticas no reciben del Estado la misma cantidad de dinero para su funcionamiento porque se hace de acuerdo a algunos criterios.

Del mismo modo la Constitución también reconoce la competencia del Estado para establecer límites tanto a los gastos que las organizaciones realizan en desarrollo de sus campañas, como a los aportes y contribuciones que los particulares destinen para tal fin.

La Ley 130 de 1994, dispone que “…ningún candidato a cargo de elección popular podrá invertir en la respectiva campaña suma que sobrepase la que fije el Consejo Nacional Electoral, bien sea de su propio peculio, del de su familia o de contribuciones de particulares.

 Topes Generales
 Topes a los aportes de particulares.

El financiamiento estatal de los gastos originados por las campañas electorales, de organizaciones políticas y grupos significativos de ciudadanos se realiza mediante el sistema de reposición de los votos válidamente emitidos. Este es un sistema de financiación posterior a las votaciones mediante el cual se toma el número de votos recibidos por el candidato/a y se multiplica por el valor previamente fijado por el Consejo Nacional Electoral o la Ley. Esta regla aplica siempre que los candidatos/as o las listas superen el porcentaje de votos previsto según el proceso electoral del que se trate.
Formula reposición: Reposición de Votos = Cantidad de votos X valor fijado

El valor de la reposición de votos válidos es entregado a las organizaciones políticas, luego de haber presentado la rendición de cuentas, con excepción de los candidatos independientes.

Rendición de Cuentas
La Constitución Política de forma amplia, establece la obligación de los partidos, movimientos y candidatos de rendir públicamente cuentas sobre el origen, volumen y destinación de sus recursos.
 Ingresos y egresos anuales
 Destinación y ejecución de los dineros públicos que les fueron asignados.
 Ingresos obtenidos y gastos realizados durante las campañas.

¿Cómo han tratado los partidos políticos el déficit de género con respecto al financiamiento (p. ej. voluntariamente – la recaudación de fondos interna dentro de los partidos, contribuciones para las campañas? ¿Qué métodos o estrategias han utilizado?

Realmente no son los partidos quienes han implementado formas de financiación específicas para las campañas electorales de las mujeres, son ellas mismas las que se han ideado la recolección de recursos en forma muy creativa, aprovechando sus conocimientos culinarios (preparando platos populares de fácil comercialización, me refiero a mujeres de extracción muy humilde).
También se presenta el caso del político que les contribuye monetariamente con sus campañas pero, deben trabajar para él, esto significa que son DEPENDIENTES DE SU PARTIDO Y FORMA DE PENSAR y deben apoyar políticamente a quienes él les indica.

Sun, 05/26/2013 - 22:20 Permalink

I do agree that political financing for women is very crucial. Howev -er, we should think of 'good practices or measures' whereby such financing will reap the objectives is instituted for. I have seen political parties financing their female candidates and definately in some instances the supported woman get into decision making postions. The unfortunate thing is that sometimes such women - for instance such women who join parliament - fail to support women concerns just because they are 'tied' with the so called party position or as it is usually referred to in uganda - 'collective responsibility'. As we all know most of us live in patriarchal societies where the majority in any political party would definately be men. I know the few women who chances to penetrate into such political parties struggle internally (within the political party) to float women concerns but numbers fail them and at the end of the they come out supporting the party position as collective responsibility and which sometimes might be 'anti-women' - all because they were financed by that party to secure their positions. Therefore' in my view the challenge is even more than just raising money in politics, but also managing to secure political finances that will NOT make women lose their identity and independence in decision making.

Thu, 05/23/2013 - 16:45 Permalink

Reforming the financial costs for political campaigning.
By Drude Dahlerup, professor, Stockholm University
It is a serious problem for women’s political empowerment that more and more money are needed for electoral campaigning. In general fewer women than men have access to the financial means needed for an effective electoral campaign. For one group of female candidates this is a specific serious problems, namely for those female candidates who are not elected, and who may have spent a large sum of the family’s money. Many of not willing to take this risk and consequently abstain from a candidature.
The way forward is firstly, to work against the trend that more and more money are being spent during electoral campaigns. Expensive commercials in TV are seldom empowering the voters and giving them new information, but rather make citizens passive political consumers. Secondly, the amount of money spent by individual candidates should be diminished and instead the political parties, not the individual candidate, should cover most of the cost of campaigning.
Some good news. A few countries have now passed a new kind of legislation, which provides special incentives for political parties to recruit more women for their candidate lists or as elected:
In Georgia, a provision was introduced in December 2011 into the Law on Political Unions, stipulating that the election subject, receiving funding from the state budget will receive 10% supplementary funding if in its nominated party list (during municipal elections – in all lists) it will include at least 20 % candidates of a different gender in a group of every 10 candidates. (Art 30.7 (1), Organic Law of Georgia on Political Unions of Citizens, 1997 (as of 2012), see the global quota web site, www.quotaproject.org.
In Colombia, 5% of the total state funding for the political parties will be proportionally distributed to the parties that they have elected women in the national institutions (Article 17 of the Law1475, 2011).

Fri, 05/24/2013 - 06:57 Permalink

En un estudio realizado en Guatemala con ex candidatas a elección popular, se determinó que sus experiencias para la recaudación de fondos fueron diversas. Por lo general, las candidatas a nivel local enfrentaron más obstáculos en la recaudación de dinero. Los cacicazgos locales y el clientelismo político se convirtieron en una barrera política para las mujeres, debido a que compitieron en condiciones desventajosas. La mayoría de ellas recaudó fondos entre sus familiares. Las más osadas, recurrieron a otras fuentes de financiamiento, tal y como lo mencionaron en los grupos focales organizados para este estudio.“”A mí me ayudó que tengo una oficina jurídica contable. Cuando no tenía ingresos de los trámites, me apoyaba mi esposo, porque además estoy preparando para el privado de la carrera de derecho” (indígena ex candidata a Síndica, Chimaltenango). Otras, hicieron préstamos, como lo menciona una mujer indígena ““Hice un préstamo de Q.3,000.00, pensado que sólo eso iba a gastar. Entonces, empecé a vender mi ropa nueva. Logré vender dos güipiles y dos cortes, así cancelé el préstamo” (indígena ex candidata a Alcaldesa, Huehuetenango). “Tuve que realizar un préstamo de Q15, 000.00 para pago de buses. Aún estoy pagando las deudas. Lo hice por amor al Comité” (indígena ex candidata a Concejal IV, Chimaltenango).
El factor económico. La falta de recursos es una de las principales limitantes para que las mujeres puedan participar en política partidista. “Ninguna de las cuatro mujeres de la planilla teníamos ingresos fijos. Las mujeres con un trabajo estable, con posibilidades de permisos para ausentarse o acomodar sus horarios, con un salario adecuado o ingresos adecuados para sufragar sus necesidades y las de su familia, constituyen la minoría de las aspirantes a cargos de elección popular. En esta categoría pueden nombrarse a mujeres jubiladas, empleadas públicas (maestras, enfermeras, secretarías, técnicas educativas, etc), facilitadoras de talleres y comerciantes con negocios propios (fabricación y venta de artesanas, oficinas contables, oficinas jurídicas, tiendas, compra venta de leña, animales de crianza, etc.).
Contar con autonomía económica empodera y da libertad para decidir: “Si tengo mis propios ingresos no estoy sujeta a la voluntad de nadie” (indígena excandidata a alcaldesa). Porque para negociar las mejores posiciones en un partido guatemalteco, se necesita mucho dinero, entre 15 mil y hasta millones, según relataron las entrevistadas en este estudio. El valor aumenta según el posicionamiento del partido, el distrito electoral y la casilla. No obstante, el dinero también limita la capacidad para competir y obtener la simpatía del electorado. “El otro candidato ganó porque tenían para llevarle regalos a la gente y para comprar votos” (candidata a alcaldesa Suchitepéquez). “En el otro partido tenían para pagar quienes les ayudarán y hasta para su seguridad” (candidata a diputada Jutiapa).
La tecnificación de las campañas, con el uso cada vez más diversificado de medios de comunicación y especialistas, también aumenta los costos de inversión. Otros factores que influyen, según el estudio fueron:
1. Desconocimiento del medio político.
2. La política es un campo devaluado socialmente.
3. La política es un asunto de tiempo completo.
4. La política partidista es patriarcal.
5. Exigencias diferenciadas.
6. La discriminación.
7. Las identidades asignadas.
Finalmente, las pérdidas económicas que requiere sostener una campaña electoral implicó para muchas endeudarse, gastar los ahorros, hipotecar el patrimonio -“gasté todo lo que tenía” (indígena candidata a Concejal V Sololá)- e incluso desprenderse de objetos personales: “Empecé a vender mi ropa nueva. Logré vender dos güipiles y dos cortes. Con eso pague el préstamo. Me da vergüenza decirlo, pero así lo tuve que hacer” (indígena candidata a alcaldesa Huehuetenango). “Hice tres préstamos. No sé cuándo los voy a pagar” (candidata a diputada Jutiapa).
Efectos que también impactaron en las responsabilidades familiares: “Pasé hasta dos meses sin pagar la colegiatura de mis hijas, porque tuve que pagar 11 buses para las votaciones” (indígena candidata a Concejal IV Chimaltenango).
Por las exigencias de tiempo algunas incluso se vieron obligadas a renunciar a sus trabajos parciales o de tiempo completo, perdieron a su clientela, fueron despedidas y abandonaron los estudios universitarios, incluso estando en la fase de exámenes privados.

Tue, 05/28/2013 - 16:59 Permalink

En Perú, como comentó Yovana, no es que las mujeres no alcemos nuestra voz, siempre lo hemos hecho, en el tema de género hay desigualdad de oportunidades en todos los espacios y mas aún en las campañas electorales. En la agenda del Congreso de la República se encuentra la Ley de Alternancia, que sería la única esperanza para que las mujeres puedan llegar a ocupar cargos de decisión política. El tema de financiamiento es una realidad cruda por la que atraviesan las mujeres candidatas en Perú. En mi caso les comento mi experiencia, en las elecciones pasadas fui candidata al Congreso de la República por mi región Ancash. Trabajé 4 años dos periodos como secretaria general de mi partido, segura que me darían el número uno, ¡oh sorpresa! por allí se metió una persona invitado que nunca aportó nada al partido, y obtuvo el número uno, el siguiente otro invitado, el número dos, el tercero una mujer que no era de la región, vivía en Lima, el número cuatro era otro invitado y finalmente me dieron el número cinco, el último. No saben cuánto trabajé para posicionar mi número, tenía unos ahorros para comprar un departamento los que invertí en la campaña, toda mi familia se endeudó: mis hermanos, mis hijos, mi padre, no tuve el apoyo económico de mi partido, más aún allí tuve que pagar un cupo para que me dieran el número cinco.
La decepción más grande que tuve fue que se tenía que pelear los votos en las mesas y en la ONPE, me robaban los votos y no aceptaban mi denuncia ya que decían que tenia que ser el 50% de votos observados para aceptar mi denuncia, todo un embrollo hasta que me ganaron con fraude y mi personero de Chimbote me llamaba para sugerirme pagar un monto a la ONPE de tal manera que no robaran mis votos.

Creo que de esa manera es difícil que una mujer preparada, con vocación de servicio pueda llegar al Congreso, porque la limitante es la parte económica y si no ganas hay que pagar préstamos hasta por 5 años, entonces de qué igualdad hablamos si no existe apoyo financiero para las mujeres que participan en política. Ahora nos toca luchar para que se apruebe la Ley de Alternancia y con ella ya no se podrá utilizar a las mujeres solo para completar listas sino para que sirvan al país.

Wed, 05/29/2013 - 23:02 Permalink

En el Perú aún se está planteando en el congreso normas complementarias a la ley de cuotas (30% por género) como la de alternancia en las listas electorales, que aún cuando es propuesto en esta oportunidad por el Ministerio de la Mujer e Inclusión Social, los mecanismos para su difusión masiva y posible presión siquiera de las mujeres para su aprobación son tan débiles que es muy dudoso que se vea en el pleno del congreso y si es así se apruebe. Falta desarrollar muchísimo conciencia de la desigualdad siquiera.
Por ende no existen mecanismos para facilitar el financiamiento de las actividades políticas.
Las actuales leyes de financiamiento político establecen cierto nivel de reintegro de gastos de campaña a los partidos políticos que perciben mayor votación pero no reglamentan la forma de distribución; con ello, más la falta de transparencia y control al interior de los partidos, las cúpulas los pueden disponer arbitrariamente. En este ámbito puede facilitarse el financiamiento de las campañas políticas de las candidatas, normándose por ejemplo forma de distribuir los recursos que incluyan incentivos (plus por mujeres electas o por mayor cantidad de votos dirigidos a mujeres en relación a otros partidos, reembolso de costos de capacitación o de apoyo a las campañas de las candidatas u otros), sin embargo es remota su materialización en nuestra realidad que se legisle y menos que se cumpla debido a la falta de conciencia y fragilidad de estas instituciones. En la actualidad, con lo complicado que es, sería más viable el financiamiento de fundación que obtener apoyo financiero del estado.
Por eso se acude al uso de fondos privados que constituyen generalmenete materia de transacciones a futuro, siendo además en algunos casos de procedencia ilícita que cuando es develada generalmente es por acción de la prensa dirigida por los adversarios más que por las instituciones de control del estado.
También es lamentable y muy cierto lo que comenta Lucy Margot, que en épocas electorales, conforme aparecen personas con mayores recursos económicos se desplazan de los lugares preferenciales de las listas electorales a verdaderos militantes (como los hoy en día son generalmente varones, es motivo adicional de oposición a la ley de alternancia so pretexto de socavar la autonomía y libertad de los partidos políticos, que en realidad aplican las leyes del mercado al interior de los mismos: a mayor demanda, más precio).

El déficit de financiamiento en las mujeres (por el sólo hecho del género) no importa a los partidos. La búsqueda de fondos es individual. Quizás podría hacerse redes de apoyo a las candidatas con mayores potencialidades, sin embargo quién sería el juez, aún debemos reflexionar en estas opciones.

¿Hay diferencias en la manera que las y los candidatos gastan los fondos de campaña? (p. ej. gastos más altos para las mujeres dada la falta de seguridad, costo del cuidado de menores, etc.
Creo que la diferencia podría darse en la mayor necesidad por cubrir sus gastos personales sobre todo si son cabeza de familia o no tienen apoyo suficiente en afrontar asuntos familiares pero no tanto en la manera de gastar los fondos de campaña.

Siendo el financiamiento uno de los pilares básicos para acceder a los cargos políticos, mientras no se logren condiciones de igualdad en esta materia, la participación masiva de las mujeres es remota. La alternancia va a ayudar bastante pero no será suficiente.

Sun, 06/02/2013 - 01:43 Permalink
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323

Money is essential for the operations of political parties, and particularly affects candidates in electoral processes. Political financing regulations can effect women’s access to run as candidates, be elected, campaign and reach out to the population. Regulations on political funding are used to level the playing field in electoral competition. They can also work to ensure that women are able to compete on a more equal footing with men. This in turn may result in women’s increased political participation; a key feature of democracy.

Funding regulations need to be context specific and respond the realities on the ground. iKNOW Politics is seeking to collect information on laws, regulations or practices that have been put in place to address challenges women face in raising money in politics. We would like to know about good experiences in this area, in particular related to the following questions:
 

  • Are there formal (legislated) mechanisms that work to level the (financial) playing field between women and men candidates? If so, what are they (e.g. spending limits, campaigning time limits, disclosure, reforms to public funding that may benefit women)?
 
  • Are there adverse effects for women candidates in the existing laws on political finance? What can be changed, or what provisions could be strengthened (e.g. ensuring enforcement of campaign finance regulations, including disclosure; prohibition of illicit funding)?  Are there any controls in place?
 
  • How have political parties addressed the gender funding gap (e.g. voluntary – not legislated – practices such as internal fundraising mechanisms, in-kind contributions for campaigns)? If so, what are they?
 
  •  Are there differences in how women and men candidates spend their campaign funds? E.g. higher spending for women due to lack of security, childcare costs, etc.

 

Politics in Kenya is corrupt as is the situation throughout the horn of Africa.Financial constraint has discouraged many women from political participation .This compounded by many other factors including gender inequalities, social discrimination, cultural and religious restriction and the great influence of patriarchal background. Women are not allowed in any public spheres regardless of educational background. This social injustice is back dated as early as 15th centuries which restricts women for fear domination in public spheres. Women and girls are allowed education.
It's never in the history that northern Kenya elect a women in parliament,although this constitution favors for the post of women representatives. Recommendations:
Fund for women to support political campaigns;
Community sensitization for women in leadership;
Challenge the community norms that devalue women;
Women empowerment programs.

Wed, 05/15/2013 - 14:49 Permalink

Gracias por la invitación a iKNOW Politics. Es un interesante el tema el que ustedes presentan. Hay mucho que decir, por mi parte, informaré acerca de un caso verídico sobre la adversidad de la mujer frente a una crisis económica después de concluir la candidatura y no ser elegida. Cómo es que uno carga el peso económico, social y político, es decir muchas mujeres ingresamos con las ganas de hacer algo pero terminamos con pasivos, donde ni el partido se acuerda siquiera de darnos las gracias, y realmente cargamos la cruz y no sabemos si terminará esa odisea. En el segunda parte contaré la historia que ayudará a mucha mujeres. Quizás dará algunas soluciones y más que nada podría servir para prevenir alguna situación similar a la historia que se presenta.

Mon, 05/20/2013 - 15:40 Permalink

Salut de mon pays le Burkina Faso. La constitution oblige les partis politiques à avoir au moins 30% de candidatures féminines sur leurs listes pour les élections législatives et municipales. Mon parti, à travers une directive, recommande au responsable de section d'avoir 50% de femmes sur leurs listes pour les deux élections citées ci-dessus. Au cas où un parti politique ne respecterait pas cette disposition de la constitution il perd 50% du financement public pour la campagne.
Cette loi a encouragée plusieurs femmes à s’intéresser à la politique. Ces femmes ont besoin d'un appui particulier vu les pesanteurs socio-culturels qui font qu'une femme candidate ait du mal à mobiliser les fonds pour sa campagne. Elles ont besoin aussi de formation. L'ONG NDI offre des formations aux femmes candidates. Ces formations leur donnent une base nécessaire pour mener un combat politique. Elles permettent aussi aux femmes d'avoir des indemnités. Ces indemnités sont importantes et leur permettent d'aller vers leur électorat. Elles devront bénéficier 'un appui pour le financement de leur campagne ce qui n'est pas le cas en ce moment. Plusieurs ONG en plus du NDI devraient intervenir directement dans mon pays pour appuyer financièrement les femmes qui acceptent de s'engager dans la politique.

Fri, 05/17/2013 - 05:24 Permalink

En el caso guatemalteco, no existe un mecanismo legal para el financiamiento de y para la participación de las mujeres. Los partidos políticos no promocionan ni facilitan condiciones para la participación de la mujer. Es de reconocer que las mujeres que actualmente han logrado un cargo de elección popular, en gran parte se debe a su propio esfuerzo.

La tarea de institucionalizar la participación de las mujeres es una premisa estratégica. La búsqueda de financiamiento para facilitar la participación de la mujer es una actividad que deriva en crear mecanismos e instancias para hacer efectiva su participación.

Mon, 05/20/2013 - 15:58 Permalink

Je me nomme Wendyam Micheline et je suis la présidente de l'Association Femmes et Développement au Burkina Faso.
Pour ce qui est d'expérience burkinabé en matière de la participation des femmes à la politique, le travail conjoint du ministère de la promotion des femmes et des mouvements et associations de la société civile ont conduit le gouvernement a adopté une loi portant sur le quota genre. Cette loi oblige les partis politiques à inscrire 30% de femmes sur les listes électorales; mais l'expérience a démontré que cette loi n'est pas suffisante; il faudra qu'elle s'accompagne de mesures supplémentaires. A cet effet, le financement politique rentre en compte; en ce sens, pour l'instant, je ne pense pas qu'il existe un budget spécifique pour les femmes. Le financement politique octroyé par l'état au niveau du Burkina est alloué aux partis politiques. Et la dépense de ce budget revient à une gestion interne des différents partis; de ce fait, la part allouée aux femmes dépendra donc de leur positionnement dans le parti et de leur influence. Ce qui me laisse penser qu'effectivement, le financement doit être revu pour qu'il ait une part octroyé aux femmes pour leur permettre de mener à bien leur campagne politique.
Je ne saurais terminer, sans évoquer ce que d'autres m'ont devancé, à savoir la question de la formation des femmes en politique. Je dirais que le manque de compétences dans le domaine limite beaucoup les femmes et les empêche d'aller plus loin et de se hisser. Ainsi, la formation et le renforcement des capacités des femmes politiciennes s'avèrent incontournable pour une meilleure participation et la réussite des femmes en politiques.

Wendyam Micheline KABORE
Présidente de l'AFD/Burkina Faso

Tue, 05/21/2013 - 05:41 Permalink

Bonjour à toutes et à tous,

Le Togo, à travers le code électoral adopté le 15 février 2013, a prévu des mesures incitatives pour la participation des femmes en politique. Il s'agit de la réduction de moitié des frais de caution des candidates pour les législatives et les locales et des bonus pour les partis politiques qui respectent la parité sur leurs listes.
Ces dispositions sont certes louables pour les organisations féminines mais restent de loin une approbation des partis politiques surtout de ceux de l'opposition.
En effet, l'adoption du code électoral reposerait sur la volonté du Chef de l'Etat d'opter pour la parité, selon son discours du nouvel an à la Nation. A ce propos, aucune loi n'a été promulguée jusque-là pour traduire cette volonté politique en fait réel. Ceci laisse libre cours aux interprétations de cette disposition pour les législatives et les locales à venir, sans toutefois compter avec les désaccords entre l'opposition et le gouvernement par rapport à l'adoption de ce code dans un climat politique tendu. A cela s'ajoute le conditionnement du financement des partis politiques par l'élection des femmes de ces partis. Il ressort qu'à côté de la volonté politique de voir les femmes participer massivement et se faire élire se cache une volonté d'écarter l'opposition en mal d'organisation interne pour ce rendez-vous électoral. D'où l'interprétation faite des mesures de financement politique en faveur des femmes au Togo est perçue comme un frein au jeu démocratique.

Tue, 05/21/2013 - 06:40 Permalink

Quizá todo queda en las buenas intenciones, porque en la práctica casi en la mayoría de partidos y movimientos políticos no se siguen las reglas porque las mujeres nos hemos convertido en mecanismos de relleno para cumplir con lo que dispone la Constitución de la República del Ecuador, pero nada más. Es decir las candidaturas están direccionadas y en lo que más se invierte es en la promoción de tal o cual candidata/o. No interesa que triunfe. Continúa resultando bastante difícil la participación misma de la mujer en la política y ni qué decir del financiamiento, se debería conformar una fundación, asociación, etc. a nivel internacional con miras a financiar una verdadera participación de la mujer en la política.

Tue, 05/21/2013 - 14:31 Permalink

La femme en Tunisie exerce la politique sans inconvénients ni des lacunes et avec une grande aisance.
On peut dire qu’il y a deux phases totalement différentes pour les femmes politiciennes : avant révolution et après révolution.
Avant révolution : il y avait un seul parti dominant le RCD qui avait une représentation assez importante de femmes vue que ses listes sont toujours gagnantes dont 30% sont des femmes obligatoirement. La stratégie étatique était pro participation effective et présence de la femme politique puisque on utilisait le régime des listes ; ainsi la femme bénéficie des mêmes avantages que l’homme dans le financement des campagnes électorales. Il y avait une discrimination mais dans le sens positive. En ces temps-là on parle rarement des femmes dans l’opposition qui ont pu financer un parti de leurs campagnes électorales.
Après révolution : les nouvelles législations des élections via l’ISIE qui obligeaient les partis à faire des listes électorales de neufs personnes, la moitié des femmes et l’autre moitié des hommes, avec alternances homme/femme ou femme/homme et les incitent à émettre des listes dont les femmes sont en tête. Mais désormais, une minorité de partis politiques qui ont mis une femme en tête de liste (étant donné que le nombre des listes était très élevé (environ 1500 listes)) il y a eu dispersion de voix et la liste gagnante ne prendra qu’un seule siège et évidemment ce siège sera occupé par un homme. L’objectif était d’avoir équité entre homme et femme à l’Assemblé Nationale Constituante (ANC) mais les résultats de représentation effective des femmes étaient aux alentours de 27%. En effet, avec la parité alternée dans la confection des listes la première personne investie est un homme. Sur une liste de 9 sièges, il y a 5 hommes et 4 femmes. Si la liste ne dispose que d’un siège, il est généralement occupé par un homme. Et c’est cela qui constitue une limite de la loi sur la parité « absolue ». Cette limite doit être brisée et o invoque, parmi les multiples solutions, l’instauration d’un accès égal à l’argent politique entre les femmes et les hommes au sein d’une même formation politique.
La nouvelle stratégie a pour objectif d’améliorer le niveau de représentativité des femmes dans les instances politiques nationales. Elle veillera aussi à l’accroissement du taux de participation des femmes aux élections générales à venir aux niveaux national et local. Ses axes opérationnels sont, entre autres, le renforcement des organes des élections en genre, l’amélioration de la représentativité des femmes dans des positions stratégiques au sein des partis politiques et dans les instances de décisions (Parlement, Haut conseil des collectivités, conseils communaux, conseils de cercle, assemblées régionales).
Une grande place est également donnée à la préparation technique des femmes candidates aux différentes échéances électorales, à l’appui direct aux femmes candidates ainsi qu’à la sensibilisation des populations et la communication.

Tue, 05/21/2013 - 07:18 Permalink

Leyendo los comentarios al tema del financiamiento, podemos constatar que la situación es muy similar en los diferentes países de la región. Lo cual nos tiene que llevar a plantearnos que estos temas tienen que ser abordados desde espacios regionales y globales que generen obligatoriedad incluso a los Estado para garantizar que haya participación política de las mujeres y que además, ésta sea de calidad. En ese sentido, deberíamos de recuperar algunas de las propuestas planteadas en este foro y ver cómo canalizarlas. Por ejemplo, pienso que hay que tratar de obtener financiamiento público-privado para promover testimonios de vida de las mujeres que participamos en la política. Para poder expresar cuáles son las vicisitudes por las que pasamos y que esto no sea solo un hecho en nuestra vida. Además del financiamiento en dinero, necesitamos disponer de recursos técnicos, de tecnología, de recursos humanos capacitados para la elaboración de propuestas políticas, programas electorales, diseño de campañas electorales y colocación masiva en los medios. ¿Cómo generar alianzas entre nosotras las mujeres? ¿Cómo generar alianzas con hombres comprometidos con la participación de la mujer como un derecho? ¿Cómo hacer que estos planteamientos sean tomados en consideración en las legislaciones de nuestros países? Considero que las redes de organizaciones son muy importantes para esto. Así como también las campañas de incidencia y movilización. Y reclamo de derechos de nosotras mujeres. Los parlamentos, las Asambleas Nacionales son un espacio importante para hacer estos planteamientos.

Tue, 05/21/2013 - 20:42 Permalink

It is true that funding is key to women's effective participation in politics. However, money is just one of the many sources of hindrance to women actively taking part in politics and for that matter being part of decision making bodies. The questions is "if there is money to help women in politics but there are barriers such as lack of political will, illiteracy, cultural and religious norms, practices and beliefs etc, what happens? The answer is obvious that money alone would definitely not help to achieve the objective of increasing the presence of women in the political arena.

Money is very essential in this day of our democratic dispensation especially in Ghana. Campaigns during elections in Ghana has become very expensive. Attractive billboards, posters, T shirts, fliers and others are requisite to push politicians forward. Aside this, people in the campaign team need to be motivated most times financially before helping one to win power. This has led to issuing out of items such as cloth, motor bikes, cooking utensils, food items, money and more to electorates just to win votes. This practice requires funding.

In the case for men, they are able to raise funds from many sources including friends, individuals, old boys associations, club members and many others. Women on the other hand are generally poor and therefore cannot contribute alone to help support their fellow women in pursuing political activities. If this is achieved, that is when the plight of women could be adequately addressed. Women know what affect them and therefore are able to make decisions that rightly have positive impact on them. Therefore, if men are the sole representatives in parliament for instance, and other higher places, decisions made by them are those that are likely to only positively impact on them and not their female counterparts. This is the main reason why there is the need to get more women into politics and other decision making bodies.

In the case of Ghana once more, it is realized that Political Parties are also to blame for the limited number of women in politics. Political Parties have remained male-dominated sine independence. The issue of nominating women to stand for Parliamentary election has not been well addressed. It is the view of some Political Parties that the results of elections are not based on gender but on popularity. In this case, ethnic compromises are more the norm than gender compromises.

One would just say that in the case of Ghana and other African countries, aside funding, the sure way of getting more women into politics may include the following:
* Amendments in the electoral Laws,
* A change in the Political System
* Introduction of Quotas
* Proportional Representation in Parliament
* Reserved seats for women
* Fielding women in safe seats
* Changes in the Political Party Structure
* Affirmative Action with specific measures to redress the causes of discrimination of women in our political history
* Dealing with the religious and political practices to prevent women fro accessing positions of leadership and
* The media portraying positive image of women by highlighting the invaluable skills and contributions of women.

Thu, 05/16/2013 - 12:37 Permalink

¡Hola a todos/as!. Soy Carmen Colazo, les escribo desde Paraguay, en este momento coordino el Observatorio Electoral desde el enfoque de equidad de género del Parlamento Mujer de Tiempo Nuevo, un proyecto que viene desplegándose desde hace más de 9 años con lideresas políticas de todos los partidos y movimientos del país, y que está aliado a la Red de Mujeres Munícipes del Paraguay. Este proyecto recoge la tradición de alianzas para favorecer políticas de género de las mujeres políticas del país desde que en 1989 se retomara el proceso democrático después de la caída del Dictador Alfredo Stroessner. En el año 1991 reformamos el Código Electoral y pudimos incluir un artículo para favorecer la participación en los partidos y movimientos que luego ratificó la Constitución Nacional de 1992. También desde la organización de mujeres políticas del Paraguay propiciamos la Cuota de Participación en lugares de decisión de cuyo anteproyecto soy autora con la Lic. Perla Yore.

En el Paraguay no contamos con una legislación que garantice un financiamiento político transparente, y menos aún equitativo. La legislación que se ha logrado para la supervisión del financiamiento político de los partidos y movimientos aún no ha sido implementada, dado los intereses de quienes manejan el poder al respecto.

¿Tienen efectos adversos sobre las mujeres las actuales leyes de financiamiento político?

Como dijéramos, no existe la aplicación de la ley, por lo tanto todo el financiamiento existente es adverso a las mujeres que son quienes en la historia han sido despojadas de sus bienes por el patriarcado (como la legislación puede constatar, ya que las mujeres no administraban sus bienes sino que lo hacían sus pathers, quienes podían tener patri-monio, o sus maridos, que como "jefes" de familias recibían todo el patrimonio de las mujeres cuando conformaban nuevas familias).

Las mujeres no han sido detentadoras de capital, menos aún se han capitalizado o han acumulado capital en la historia. No son las mayores fortunas, por lo tanto difícilmente puedan financiar por sí mismas campañas políticas y llegar, como se exige en Paraguay a tener 1.000.000 de dólares para pagar una banca en el Senado o 500.000 dólares para que el partido le reserve una banca en la Cámara de Diputados.

¿Qué se podría cambiar, o qué cláusulas hay que fortalecer (p. ej. asegurar la aplicación de las normativas, incluidas las que pertenecen a la revelación de datos; prohibición de fondos ilícitos)? ¿Qué tipo de controles existen?

Hay mucho por cambiar. Hay mucho por fortalecer. Se tienen que revisar las legislaciones comparadas de financiamiento para considerar mejor esta pregunta. En primer lugar se deberían favorecer campañas que no fueran honerosas para que las personas (no sólo las mujeres) participaran en condiciones de igualdad. En este sentido, el voto directo, que rige en Paraguay, es muy costoso, pero también asegura la democracia. Es un problema a considerar. Con voto directo es necesario estar en todo el país, y quienes poseen más dinero y pueden moverse con mayores posibilidades también tienen mayores posibilidades de ganar elecciones. Generalmente los hombres.

Por supuesto que es importante establecer normativas y no sólo normativas sino mecanismos efectivos para que el financiamiento no sea ilícito, por que las mujeres están menos aliadas a las mafias que los hombres y éstos encuentran mayor apoyo en ellas para sus campañas. Es importante establecer controles cruzados sobre el patrimonio de los/as políticos/as, el impuesto pagado, el enriquecimiento, para obstaculizar el enriquecimiento ilícito que se produce en la clase política, porque, además, este enriquecimiento va directamente a las campañas políticas.

La publicidad de los datos es importante en este sentido, una república se basa en la publicidad sobre los/as gobernantes y sus actos. Creo que hay pocos controles todavía, sobre todo en Paraguay, pero que la ciudadanía está cada vez más activa y tiene cada día más conciencia de su poder para frenar las ilegalidades e injusticias en el país. Es importante fortalecer a la sociedad civil para controlar los actos de gobierno.

La inequidad en las oportunidades de acceso a los cargos, que se evidencia en el incumplimiento de las cuotas, también tiene que ver con la falta de poder económico de las mujeres. Proyectos que favorezcan el empoderamiento económico de las mujeres son importantes para su autonomía, también en las esferas del poder y la política. Las mujeres empresarias son las que mejor negocian lugares en los partidos en el Paraguay, y por supuesto, poco pueden hacer las feministas, que lejos están del poder económico y la cultura de acumulación de la riqueza. De esta manera, quienes más tienen tienen posibilidades de tener más todavía, ocupando lugares de decisión política con oportunidades privilegiadas, lo que va conformando una casta política rentística en el país.

¿Cómo han tratado los partidos políticos el déficit de género con respecto al financiamiento (p. ej. voluntariamente – la recaudación de fondos interna dentro de los partidos, contribuciones para las campañas? ¿Qué métodos o estrategias han utilizado?

Como dijo Gricelda anteriormente, los partidos políticos tradicionales no tienen conciencia de género, la participación de las mujeres, es prácticamente invisible e innecesaria para ellos. No tienen, en el Paraguay, estrategias para la participación de las mujeres ni se preocupan por que lleguen a cargos ni por contar con recursos para favorecer la equidad. Si las mujeres no cuentan con el dinero necesario para ocupar una banca, no las ponen en muchos de los partidos, aunque felizmente existen algunos partidos donde tampoco los hombres pueden disponer de ese dinero y llegan a las bancas con mayor igualdad de oportunidades y resultados.

Ha sido significativa en las últimas elecciones del país, que el primer Partido Feminista que se presenta en el escenario político: Kuña Pyrendá, ha realizado una campaña de recolección de dinero en las calles, plazas, con distintas actividades, tan alternativas como sus propuestas políticas. Ha dado aire fresco a la política paraguaya y esperamos que en otras elecciones llegue a mayor caudal electoral por que en estas elecciones acaba de sacar sólo un 0,0..% de votos. Esto denota la conciencia que falta trabajar en campañas de difusión el cambio en nuestros países.

El Código Electoral paraguayo habla de fondos destinados a la capacitación de las mujeres, que la Justicia Electoral reparte a los partidos pero éstos no destinan a esos fines y hay que controlarlo y pedir amparos al respecto si fuera necesario.

¿Hay diferencias en la manera que las y los candidatos gastan los fondos de campaña? (p. ej. gastos más altos para las mujeres dada la falta de seguridad, costo del cuidado de menores, etc).

Yo creo que no, por que los fondos de Campaña se utilizan para realizar encuentros con la gente, pagar comidas, viajar al interior del país, etc. La diferencia es que los administran en general, los hombres del partido, no las mujeres que son la mayoría de las afiliadas y votantes.

Se podría pensar en normativas o mecanismos para favorecer la participación de las mujeres y su visibilización en las campañas. Al respecto, el Código Electoral del Paraguay también habla de la visibilización equitativa de mujeres y hombres en las campañas políticas, pero ésto tampoco se cumple. Las mujeres políticas deberían fiscalizar estos cumplimientos y utilizar más las garantías que da la Justicia Electoral, o la Constitución en lo que correspondiere, para hacer valer sus derechos (como la cuota, que tampoco hacen valer utilizando las posibilidades legales a nivel nacional e internacional que existen).

Personalmente pienso que hasta que las mujeres no estén conscientes de la importancia de su propia autonomía, especialmente económica, no podrán participar en igualdad en espacios que requieren "poner dinero, administrar dinero, distribuir dinero, monitorear dinero", tales como el mundo de la empresa y de la política mientras estas sean las reglas de juego, de otro modo hay que cambiar las reglas y el juego. Esto implica cambiar la cultura, la educación, que llevará muchísimos años y de todos modos las mujeres necesitan aún con ese cambio cultural esperado, ser realmente autónomas: la autonomía económica es la base de la autonomía política, por eso debemos "educar al ciudadano/a", acerca de sus necesarias autonomías desde que nace, como sucede con los varones.

¡Abrazos!

Carmen

Thu, 05/23/2013 - 15:21 Permalink

Si je partage l'expérience de mon pays, je dirais que la loi régissant les partis politiques exige le respect de la clause constitutionnelle, pour tout parti politique sans exception, qui exige d'avoir au moins 30% des femmes parmi ses membres effectifs. Cette action affirmative facilite la participation et le recrutement des femmes au sein des partis politiques.

Aquiline Niwemfura

Mon, 05/27/2013 - 11:54 Permalink

When a candidate addresses, directly or indirectly, the economic interesr of a particular section that candidate is financially supported by that section. Though poor people are numerically more, affluent section alone get their candidate elected by expensive campaign. Women candidate ideally to represent women, but women as a section in society are left out without proper economy share. Even aspiration is less since their economic and political interests merged with their men. When we build social movement that will address and motivate women with their distinct economy interests, the candidates field by them will be supported by them

Fri, 05/17/2013 - 03:48 Permalink

Political Financing for Women
iKNOW Politics E-discussion
The Pacific region has the lowest representation of women in parliament in the world. While there are a number of factors contributing to this, it is certainly the case that limited access to funding for electoral campaigning is one of the most significant.
Pacific women traditionally have a lower economic status than men. This has two consequences for women’s political leadership: 1) women are less able to save the required amount of money to pay their nomination fees, and 2) they lack the professional and business networks that generate the financial support needed for their campaign. The Beijing + 15: Review of progress in implementing the Beijing Platform for Action in Pacific Island countries and territories found that in the Pacific, this is compounded by women’s reluctance to leave well-paid positions (often in the public sector) to risk losing an election. Electoral systems in some Pacific countries are also more susceptible to vote or preference buying.
There are very few laws on political campaign financing in the Pacific. One stand-out example is Papua New Guinea’s Organic Law on Integrity of Political Parties and Candidates (2001) which provides some financial incentive to political parties to put forward women candidates. This law states that if a woman candidate gets 10 per cent of the votes in her constituency, the Central Fund Board of Management is required to refund 75 per cent of expenses incurred during her campaign (see Elise Huffer, 2007, Desk Review of the Factors Which Enable and Constrain the Advancement of Women’s Political Representation in Forum Island Countries).
Despite the challenges, work continues to assist women in running for office in this region. In 2008, A Guide to Campaigning for Pacific Women was jointly produced by the Pacific Islands Forum Secretariat and the UNDP with funding from the Australian Government. One of its key messages in terms of campaign financing is that it takes both money and people: “Even if you don’t have a lot of financial capital, use your ‘human capital’. Rely on your personal networks - your family, your friends, your fellow church-goers, people you know who are in community groups and sporting mates.”
A new initiative, which I am particularly proud of, is the Pacific Women’s Parliamentary Partnerships project. Established in 2013 with funding from AusAID and in partnership with the Commonwealth Women Parliamentarians Australia Region Committee, this project aims to support Pacific women in politics. One of its main activities will be to foster peer-to-peer mentoring and training between Australian and Pacific women, including candidates. This will see, for example, Pacific women coming to Australia to spend time in their mentor’s shoes to learn about campaigning, public speaking and self-assertion. We believe that this kind of peer support is precisely what will make a difference in turning around the low levels of women’s representation in Pacific politics and we look forward to that future change.
Lisa Baker MLA
Chair, Commonwealth Women Parliamentarians Australia

Tue, 05/21/2013 - 01:11 Permalink

En Côte d'Ivoire, nous pouvons relever que les efforts consentis par le politique en vue de la participation de la femme à la prise de décision et à jouer pleinement un rôle en politique ont eu quelques résultats perceptibles, ces dernières années.
En effet les femmes représentaient respectivement en 1995 et 2001, 8,33% et 21,4% au Gouvernement; 8% et 8,5% à l’Assemblée Nationale; 11% et 10,8% au Conseil Économique et Social; 5,1% et 5% dans les Mairies.
En 1999, au niveau des partis politiques, on enregistre 1 femme Secrétaire Générale sur les 80 Partis existants. Ce chiffre reste le même en 2004. De même, au niveau des autres Institutions, on note la présence de femmes Ambassadeurs (14, 3%); Chefs de villages (3 femmes sur 8.549); à la Cour Suprême, trois (3) femmes Magistrats dont une (1) Conseillère, un (1) Procureur Général
et un (1) Substitut Général; au Conseil Constitutionnel, un (1) femme sur sept (7) membres de la chambre constitutionnelle.
En 2013, leur pourcentages dans l'actuel gouvernement représente 36% et elles sont de plus en plus insérées dans les instances de prise de décision.
Par ailleurs, c'est seulement aux élections de 2000-2001, que les Partis Politiques ont fait l’effort de présenter des candidatures féminines à des postes électifs et ce, jusqu'à maintenant.
Ces efforts de participation de la femme dans les élections ont été renforcés par le gouvernement actuel. En effet, l'on constate une participation active de la femme dans les activités de sortie de crise, crise qu'a connue notre pays.
Lors des récentes élections législatives de 2012 en Côte d'Ivoire, toutes les femmes candidates quelque soit le bord politique,ont reçu une aide financière de la part du Président actuel pour soutenir la campagne de ces femmes. En Côte d'Ivoire, pour l'heure, il n'existe pas de loi relative à l'aide de la femme en matière politique. D'ailleurs, il était très difficile pour les partis politiques de cautionner la candidature féminine. Ce engouement que nous constatons aujourd'hui à voir la femme candidate aux élections, émane des efforts internationaux qui voudraient que la femme face de la politique et qu'elle soit de plus en plus insérer dans les instances de prise de décision. Pour preuve la loi qui vient d'être promulguée faisant de la femme et de l'homme tous deux chefs de la famille a été et continue d'être mal perçue par les hommes et l'ensemble des citoyens. Cette perception de la loi émane des us, coutumes et croyance de nos peuples.
Ce qui est confortant en Côte d'Ivoire en matière de la participation de la femme en politique, c'est que des efforts sont consentis tant bien par l'actuel gouvernement que par les ONG, en vue d'une participation totale de la femme aux activités politiques du pays. Cette volonté manifeste a été d'ailleurs exprimée à ADDIS ABEBA en Éthiopie, lors du cinquantenaire de l'Union Africaine. Les années à venir nous situerons sur la place de la femme en matière politique.

Mon, 05/27/2013 - 13:46 Permalink

Estimadas,

Quisiera compartir con ustedes la experiencia desde Nicaragua y desde mi visión:

• ¿Hay mecanismos formales (legislados) que operan para crear condiciones de igualdad entre candidatas y candidatos? En el caso de que los haya, ¿cuáles son (p. ej. límites de gasto, límites en la duración de las campañas electorales, revelación de datos, reformas de fondos públicos que puedan beneficiar a las mujeres)?

En el caso de Nicaragua, la Constitución establece en el artículo 48, segundo párrafo: "Es obligación del Estado eliminar los obstáculos que impidan de hecho la igualdad entre los nicaragüenses y su participación efectiva en la vida política, económica y social del país". Sin embargo. en la ley Electoral no hace diferencia sustancial en términos de género, ni hay ningún tipo de incentivo. El 8 de marzo de 2012 se aprobó una reforma a la ley de municipios que reconoce la la situación de desigualdad en que nos encontramos las mujeres en los diferentes ámbitos de la vida y cómo ello limita el ejercicio pleno de nuestros derechos fundamentales inherentes a la ciudadanía, y en consecuencia obstaculiza el desarrollo social y económico de la nación, ya que esta desigualdad, afecta al 50% de la población del país, lo que nos plantea el reto de lograr la igualdad de derechos y la igualdad real entre mujeres y hombres, prioridad que beneficia y debe involucrar a toda la sociedad.

Dice claramente que es fundamental trabajar para eliminar todo obstáculo que impida la igualdad entre las personas y lograr la modificación de los patrones socio-culturales y humanos que promueven la desigualdad en la sociedad nicaragüense, es decir la desigualdad del 50% de la población que está constituido por mujeres.

Que los mecanismos prácticos y reales para trabajar en función de avanzar hacia la profundización de la equidad de género y la recuperación de derechos de las mujeres, se constituyen a través de la participación de la mujer en el poder local y de su incorporación en las prácticas de género, tales como el Sistema de Planificación Municipal para el Desarrollo Humano (SPMDH), y en los Presupuestos Municipales, siendo éste último uno de los principales mecanismos de distribución de los recursos públicos y un instrumento fundamental para lograr estos objetivos.

En este marco se realiza una reforma que en lo sustantivo lo que plantea es en el caso del alcalde y vicealcalde, que el binomio debe formularse bajo el principio de igualdad y equidad de género en el ejercicio del poder local, lo que significa que, uno de ellos alcalde o vicealcalde deberá ser mujer, guardando la proporcionalidad entre ambos géneros. Para ello, los partidos políticos y alianzas electorales deberán presentar en su lista de candidatos a alcaldes y vicealcaldes y concejales un cincuenta por ciento de hombres y un cincuenta por ciento de mujeres.

Se crea un mandato a los partidos políticos que corrieron a poner en sus listas a mujeres, pero no hubo ningún incentivo ni en términos de formación, ni de apoyo en campañas. De hecho mi experiencia en la campaña para las elecciones como diputada, ni mi partido ni la red de mujeres del partido tenían recursos aunque se hicieron esfuerzos para recaudar fondos, pero la financiación de mi campaña fue únicamente a través de la gestión que pude realizar con personas y organizaciones que me apoyaron en el proceso.

• ¿Tienen efectos adversos sobre las mujeres las actuales leyes de financiamiento político? ¿Qué se podría cambiar, o qué cláusulas hay que fortalecer (p. ej. asegurar la aplicación de las normativas, incluidas las que pertenecen a la revelación de datos; prohibición de fondos ilícitos)? ¿Qué tipo de controles existen?

Definitivamente, hay efectos adversos. En la práctica los recursos que se consiguen están orientados a apoyar a quiénes van en las mejores posiciones, y a veces un esfuerzo de marketing y de oportunidad de relacionarse con el electorado puede cambiar la percepción y hacer que la ciudadanía vote por uno. Como se tienen que centralizar los recursos, también hay desconfianza si efectivamente se rinden cuentas como se debe y se utilizan los fondos como se acuerda.

Creo que no es positivo revelar datos de personas privadas que apoyan con cantidades mínimas, porque en el caso nuestro donde la institucionalidad no existe, sirve para ser perseguido únicamente. Obviamente cuando son sumas exorbitantes definitivamente debe trabajarse sobre la base del origen del fondo.

• ¿Cómo han tratado los partidos políticos el déficit de género con respecto al financiamiento (p. ej. voluntariamente – la recaudación de fondos interna dentro de los partidos, contribuciones para las campañas? ¿Qué métodos o estrategias han utilizado?

En el caso del Movimiento Renovador Sandinista, el partido tiene una red de mujeres que entre nosotras apoyamos a las candidatas en las internas, fundamentalmente con nuestros propios recursos y experiencia, elaborando los materiales de campaña y haciendo campaña. En la campaña nacional desarrollamos mecanismos para la búsqueda de fondos fundamentalmente con personas y organizaciones aliadas, pero el partido como tal se enfoco más en los grandes eventos y en las campañas nacionales.

• ¿Hay diferencias en la manera que las y los candidatos gastan los fondos de campaña? (p. ej. gastos más altos para las mujeres dada la falta de seguridad, costo del cuidado de menores, etc. Yo creo que no, al final los mecanismos de campaña utilizados son los mismos, depende mucho de cuanto uno pone de sí mismo, la dedicación y el entusiasmo que trasmita.

Claro, ésta es la experiencia de un partido minoritario y que no tiene vínculos con grandes capitales pero que hacemos un esfuerzo para realizar una política diferente que cree capacidades internamente y que se posicione en el país como una fuerza novedosa.

Edipcia Dubon
Diputada en la Asamblea Nacional de Nicaragua

Thu, 05/23/2013 - 17:08 Permalink

En el caso de Costa Rica, se promueve el financiamiento político desde la perspectiva de género procurando que se de el 50% entre los varones y las mujeres. Si bien es cierto que esta práctica promueve un asunto de equidad, en el fondo no es una condición de igualdad de género y por tanto los partidos políticos no necesariamente la cumplen aunque podrían ser sancionados por ello. Por otro lado, esto podría representar una buena oportunidad para las mujeres, se podría creer que es así, pero el problema es que en el fondo se mantiene la dominación patriarcal y esto está muy internalizado en el inconsciente colectivo.

Thu, 05/23/2013 - 23:56 Permalink

Cuando en otros países ya se está hablando del financiamiento para mujeres en los procesos electorales en el Perú aún no se ha terminado con el asunto de la representación femenina en los mismos. Por estos días se está discutiendo el tema de la obligatoriedad en la alternancia de cupos para los cargos en relación a las elecciones regionales y municipales, pero aún NADA DE NADA sobre el tema del financiamiento. ¿Cuándo será el día en que los varones nos sigan para pedirnos que los incluyamos en nuestras listas de candidatas y candidatos para los procesos electorales? Suena grosero, pero ahora nosotras estamos en esa situación y a nuestros pares les parece algo normal.

Yovana Vera
Activista en temas de género y desarrollo social

Fri, 05/24/2013 - 02:34 Permalink

Money is one of the essential elements that facilitates the election of women and increase their participation in politics. In Liberia, this is key and one must have sufficient money to transport potential votes at rallies, feed them, print tee shirts, fliers and on top of that give them money to buy their time. The candidates also need to pay their campaign teams and keep them motivated. Our whole electoral process has been commercialized and the people with the cash carry the highest votes. This is just one aspect of the challenge that women are faced with in Liberia. Let’s look at religious and cultural beliefs and practices that limit women participation in politics and decision making. In some cases, women have to get permission from their spouses to participate in non women traditional roles. Sometimes the community asks the women to with draw from politics and other sectors- tell them this is not for women.
The three branches of government, private sector, civil society and traditional council are male dominated. If you have a parliament that is full of men who do not see women as equals in politics and decision making what do you hope to achieve?

Liberian women activists have tried to push and lobby with their parliament to pass into law a bill called “Gender Equity Law”. This bill when passed into law will increase participation and representation of women in political process. This bill is to amend the New Elections Law of Liberia, to provide for fair participation and representation of women in political processes at the political party level.
The media has served as a big road block for getting women elected into political offices- they portrayed women in negative ways and give the public wrong impression. Recently a woman got elected into the Liberian senate, the media has not seen a competent woman but they have seen a wife of a representative. During the campaign, most of the news stories covered by media either started with her husband name, she was always linked to her husband. Her husband is in parliament and all the stories the media carried after she won the bi election focused on her husband and not her as a trained and professional journalist who has worked in the cooperate world for over ten years. Here is one news headline “ the wife of Representative Lawrence has won the senatorial bi- election in Grand Bassa”.
I am not saying money is not essential however, we need to pay keen attention to other barriers that I have listed above that have inhibited women’s political participation.
In Liberia, we think political parties are to share in the blame for low women representation in parliament. Political parties create conditions like calling meetings in the nights, their parties are male dominated and they say that women should learn to play the game like men.
Here are some suggestions for getting more women in politics;
1. Liberia must pass the “Gender Equity Act” this is an affirmative action that must be taken;
2.Political Parties put forward more women candidates;
3.A change in the political structure and systems;
4.Policies to address causes of discrimination of women in the political space;
5.Handling religious and cultural practices that limit women participation in politics and decision making;
6.The media promoting positive image of women and highlighting their contributions to society;
7.President Ellen Johnson Sirleaf give public statement that support the Gender Equity Act;
8.Empower women financially and give them a strong voice to be able to articulate their messages.

Tue, 05/21/2013 - 07:48 Permalink

En el caso de Bolivia, la sociedad transitó de una democracia representativa a una democracia con mayor participación “directa”, “comunitaria e intercultural” de diferentes y diversos (as) actores (ras), desde el 6 de diciembre de 009 y 4 de abril de 2010 fueron momentos definidos por la Constitución Política del Estado (CPE) para que las bolivianas y bolivianos emitieran su voto y participaran en la elección nacional de las y los representantes de la Asamblea Legislativa , Plurinacional, Presidente, Vicepresidente y otras autoridades multiniveles autonómicos.  Para ello se establecieron las normas y las reglas del juego, que regularían el proceso: CPE, ley del régimen electoral transitorio (hoy ley del régimen electoral y ley del órgano electoral), reglamento para elecciones departamentales y municipales, código electoral, ley de partidos políticos y ley de agrupaciones ciudadanas y pueblos indígenas.  En cuanto a un logro y luchas históricas de las mujeres se incluye la igualdad de oportunidades y la equidad de género arts. 8 y 270 de la CPE.

Es decir, que el nuevo contexto requirió que la nueva institucionalidad a partir de la CPE se consolide atenuando y reduciendo los potenciales CONFLICTOS, que tal transformación genera.   Se tuvo que velar por que las transformaciones se gestionaran pacíficamente dentro de marcos institucionales democráticos de respecto a las minorías y de mayor inclusión de grupos tradicionalmente vulnerables y excluidas.

Las mujeres han sido uno de estos actores sociales excluidos; se constata desde la instauración de la democracia representativa hasta dic 2009 y post constituyente 2010 con porcentajes muy desalentadores que no cubren la cuota mínima, y uno de los grandes obstáculos para su participación en la política no se reduce a términos de capacidad e interés mas bien a la disponibilidad de “recursos económicos” y “oportunidades de participación en los partidos políticos”

En Bolivia, se redactará prontamente una nueva Ley de Organizaciones Políticas (en remplazo de la anterior Ley de Partidos Políticos) adecuada al texto constitucional, se augura que se respetará la equidad de género en las internas; El nuevo proyecto de Ley de organizaciones políticas establecerá el respeto a la equidad de género en las elecciones internas que realicen los partidos políticos para elegir a sus candidatos y candidatas.  Será obligatorio que la nueva Ley indique que en la designación de sus candidatos (as) a los partidos políticos respeten la equidad de género, se precisará que el voto de militantes en los partidos políticos respete la alternabilidad para los próximos procesos electorales. Es decir, que la democratización de los partidos políticos da un salto cualitativo, estratégico, pues se prevé que los militantes de las organizaciones políticas elijan a sus candidatos (as) en base a determinados parámetros.   Además el ente electoral Tribunal Supremo Electoral (TSE) impuso dos hitos para consolidar la normativa; una, que exista mayor participación de la ciudadanía dentro de los partidos políticos y otra que permita que las organizaciones respondan a las necesidades de la población, con ofertas programáticas.  Elaborarán reglamentos para ejecutar las elecciones internas en las contiendas políticas, esperando que los partidos realicen sus elecciones internas dándole la claridad necesaria a la selección.  Las justas internas o primarias en los partidos son el mecanismo de elección de candidatos (as) –por parte de los militantes- que serán presentados para un proceso electoral, lo cual aportaría a incrementar e incentivar a las mujeres a participar y apoyar la democratización de los partidos políticos (W.Ovando,La Razón, 2012).

Adicionalmente se ha estado discutiendo bastante sobre la financiación a los partidos políticos, tema relevante, aspecto que debe contar con un sistema claro de control financiero.  Con temas de transparencia y lucha contra la corrupción pareciera ser una acción a la que el gobierno no podrá darle la espalda nuevamente, como en anteriores ocasiones, ya que fue en el gobierno de Evo Morales el que suspendió el financiamiento a los partidos políticos, esto porque se debe conocer de dónde se consigue, cual es la fuente del dinero para las campañas.  Por otro lado, en términos de igualdad de oportunidades en la participación para oficialistas y opositores, ya que la tendencia como en Ecuador o Venezuela se tendió hacia el oficialismo.

En cuanto a campañas destinadas s representaciones a la cabeza de mujeres, el único caso son las campañas al estilo de Emilys List. Sería ideal conformar fondos de mujeres para mujeres y/o otras alternativas que promuevan sus candidaturas, visibilidad y elección, de lo contrario estaríamos frente a situaciones repetitivas y tradicionales.

 La militancia - en la conformación de los partidos políticos y/o organizaciones políticas, representa una de las formas más importantes de discriminación hacia las mujeres hecho que restringe la participación y las limita, por el trato diferenciado reflejado en su permanente exclusión como minorías.  Sin embargo, este podría representar un incentivo para alentar a las mujeres a apoyar una candidatura que promueva programas a favor de las mismas, entre otras.

Maria Eugenia Rojas Valverde desde BOLIVIA

Sat, 05/25/2013 - 06:04 Permalink

While I agree with most of the comments about options and mechanisms for supporting women to participate in politics, I believe that we have jumped several steps ahead.My issue is that because women have been, and continue to be in environments which teach them that there is no place for women in decision-making (from within the family, let alone at national or regional level), we should start by empowering women by highlighting their capacities, to an extent that they themselves believe that they can indeed participate in decision making and can lead communities and nations!
Even in instances where mechanisms are in place - funding, quotas and others - women are not supported to be confident enough to make use of such opportunities. For instance, in Lesotho during the 2005 local government elections, women were given a 30% quota and needless to say, the next headlines would be about how women Councillors were failing!!
Let us start by empowering our communities – children, men and women – for them to realize the strengths that they have before even providing the perks for participating. I have observed women councillors in meetings where they would go, sit, listen and go home when it’s time to go – without highlighting the critical issues that they or their communities face, but just listening to the discussions and conclusions and merely acting as messengers. They did not feel comfortable to openly participate and be part of the decision-making as they have been socialized not to!
Political parties are themselves not even comfortable to address the gender gap and they mainly do it only of there are quotas or some legislative instruction or requirements.

Tue, 05/21/2013 - 09:06 Permalink

¿Hay mecanismos formales (legislados) que operan para crear condiciones de igualdad entre candidatas y candidatos? En el caso de que los haya, ¿cuáles son (p. ej. límites de gasto, límites en la duración de las campañas electorales, revelación de datos, reformas de fondos públicos que puedan beneficiar a las mujeres)?

Desde que las mujeres obtuvieron el derecho al voto en 1954, el desarrollo legal en Colombia ha promovido la inclusión de las mujeres en cargos de decisión política. En primer lugar, la Constitución de 1991 (y sus posteriores reformas), no solo reconoció la igualdad entre hombres y mujeres (artículos 13 y 43), sino la obligación de garantizar la adecuada y efectiva participación de la mujer en los niveles decisorios de la Administración Pública (artículo 40), así como la aplicación de la equidad de género como principio rector de los partidos políticos (artículo 107. Esta reforma fue introducida mediante Acto Legislativo 1 de 2009).
Estos postulados constitucionales, el trabajo conjunto de las mujeres en el país y la institucionalidad, abrieron la puerta para la expedición de dos acciones afirmativas, en materia de cuotas, claves para el propósito de incrementar de la representación política de las mujeres:

La Ley Estatutaria 581 de 2000 o Ley de Cuotas: Señala que el 30% de los cargos de máximo nivel decisorio y otros niveles en la estructura de la Administración Pública deben ser ocupados por mujeres.
La Ley Estatutaria 1475, de 2011, por la cual se adoptan reglas de organización y funcionamiento de los partidos y movimientos políticos, de los procesos electorales y se dictan otras disposiciones. Estableció un porcentaje mínimo (30%) de participación femenina en las listas de partidos políticos para cargos de elección popular, en donde se elijan más de 5 curules (Art. 28). También definió el principio de igualdad de género que rige los partidos políticos así: “los hombres, las mujeres y las demás opciones sexuales gozarán de igualdad real de derechos y oportunidades para participar en las actividades políticas, dirigir las organizaciones partidistas, acceder a los debates electorales y obtener representación política”.

Además, en el último año, se expidieron importantes leyes y documentos de política pública que generan mecanismos para potenciar el trabajo de las mujeres en los ámbitos de representación política y desarrollo del país, claves para el desarrollo de las mujeres:

La Ley 1434 de 2011, por la cual se crea la Comisión Legal para la Equidad de la Mujer en el Congreso. Esta Comisión busca fomentar la participación de las mujeres en el ejercicio de la labor legislativa y de control político, a través de funciones tales como elaborar proyectos de ley para la garantía de los derechos humanos de las mujeres en Colombia y ejercer control político para que los derechos de las mujeres se garanticen en el marco de planes, programas, proyectos y políticas públicas, entre otras.

La Ley 1450 de 2011, que expide el Plan Nacional de Desarrollo. Establece (art. 177) que el Gobierno Nacional en cabeza de la Alta Consejería para la Equidad de la Mujer adoptará una política nacional de Equidad de Género, para garantizar los derechos humanos y la igualdad de las mujeres. Uno de los ejes en el que actualmente se está trabajando en el marco de formulación de esta Política de Equidad para las mujeres, liderada por la Alta Consejería con la participación activa del Gobierno y de las organizaciones sociales, es el de participación política de las mujeres. El Documento de Política Pública, CONPES 140, de 2011, sobre metas y estrategias de Colombia para el logro de los Objetivos de Desarrollo del Milenio (ODM).

MARCO JURISPRUDENCIAL

La Corte Constitucional colombiana, en desarrollo de los preceptos constitucionales mencionados anteriormente, se ha pronunciado en contadas ocasiones sobre aspectos de la participación política de las mujeres, estableciendo una línea jurisprudencial de obligada referencia.
Sentencia C-371 de 2000: La Corte se pronunció determinando la exegibilidad de la Ley 581 de 2000 y estableció que acciones afirmativas como las Leyes de Cuotas, “son necesarias para lograr la igualdad real y efectiva consagrada en el artículo 13 de la Constitución, de manera que puedan ser abolidas las situaciones de desventaja o marginalización en las que se encuentran ciertas personas o grupos. Es así como establecen un trato “desigual” para quienes son desiguales, con el fin de disminuir distancias económicas, culturales o sociales”.
Sentencia C-371 de 2000: La Corte se pronunció determinando la exegibilidad de la Ley 581 de 2000 y estableció que acciones afirmativas como las Leyes de Cuotas, “son necesarias para lograr la igualdad real y efectiva consagrada en el artículo 13 de la Constitución, de manera que puedan ser abolidas las situaciones de desventaja o marginalización en las que se encuentran ciertas personas o grupos. Es así como establecen un trato “desigual” para quienes son desiguales, con el fin de disminuir distancias económicas, culturales o sociales”.
Esta sentencia constituye un hito jurisprudencial en materia de participación política de las mujeres, ya que el alto tribunal se pronunció extensamente sobre el contexto histórico e internacional de la participación de las mujeres en la vida política; y realizó un diagnóstico en el que comprobó que la precaria representación de las mujeres en los altos niveles decisorios del Estado, obedece a un criterio irracional de discriminación y no a factores de inferioridad natural, o de formación cultural y académica.
En ese sentido, la Corte establece que no es concebible una democracia que tolere el marginamiento político de la mitad de los ciudadanos, aduciendo argumentos racionalmente impresentables que ya han sido rebatidos desde hace mucho tiempo.
Sentencia C-490 de 2011: En esta oportunidad la Corte se pronunció sobre la exigibilidad de la Ley 1475 de 2011, relativa a la organización y funcionamiento de los partidos y movimientos políticos.
Al estudiar la exigibilidad de sus disposiciones, específicamente el artículo 28 sobre el porcentaje mínimo de 30% de participación femenina en los procesos de elección popular a corporaciones públicas, el tribunal constitucional consideró que tal disposición se ajusta a la Constitución dado que: “(…) promueve la igualdad sustancial en la participación de las mujeres en la política, estableciendo una medida de carácter compensadora, emancipatoria y correctora a favor de un grupo de personas ubicado en situación sistémica de discriminación; realiza los principios democráticos y de equidad de género que rigen la organización de los partidos y movimientos políticos, a la vez que desarrolla los mandatos internacionales y de la Constitución sobre el deber de las autoridades de garantizar la adecuada y efectiva participación de la mujer en los niveles decisorios de la Administración Pública. Se trata además, de una medida que si bien puede limitar algunos de los contenidos de la autonomía de los partidos y movimientos políticos, persigue una finalidad importante, es adecuada y necesaria para alcanzar dicho fin, a la vez que resulta proporcional en sentido estricto”.

¿Tienen efectos adversos sobre las mujeres las actuales leyes de financiamiento político? ¿Qué se podría cambiar, o qué cláusulas hay que fortalecer (p. ej. asegurar la aplicación de las normativas, incluidas las que pertenecen a la revelación de datos; prohibición de fondos ilícitos)? ¿Qué tipo de controles existen?

Considero que el efecto de las normas de financiamiento no tiene un efecto adverso en las mujeres, porque, hay candidatas que acceden a ellos perfectamente como los demás. A mi modo de ver, la manipulación que se ejerce en los partidos es perversa seleccionando a mujeres analfabetas políticamente, sin ningún conocimiento de la realidad, ni propuestas sociales importantes (menos de género), sólo escogen a quienes llenen la cuota exigida por la norma vigente para no ser castigados financieramente (el partido que incumpla con la cuota femenina no recibirá los recursos destinados para tal fin).

¿Qué se podría hacer al respecto?

Ejercer control por parte de las autoridades electorales, no sólo en el momento de inscripción de las listas (verificar la cuota asignada a las mujeres) sino, control posterior, verificando que realmente las mujeres candidatas sí hayan sido elegidas. Porque esto permite que se fijen más en la selección de las mujeres y los partidos realmente se interesen en sus campañas.

De acuerdo a la Constitución Política los Partidos y Movimientos Políticos con Personería Jurídica podrán acceder a financiación del Estado a través del FONDO NACIONAL DE FINANCIACIÓN DE PARTIDOS Y CAMPAÑAS ELECTORALES. Establecido por la ley 130 de 1994 como un sistema especial de cuentas adscrito y administrado por el Consejo Nacional Electoral. El dinero del Fondo se distribuye entre las organizaciones políticas. Ahora bien, es necesario aclarar que todas las organizaciones políticas no reciben del Estado la misma cantidad de dinero para su funcionamiento porque se hace de acuerdo a algunos criterios.

Del mismo modo la Constitución también reconoce la competencia del Estado para establecer límites tanto a los gastos que las organizaciones realizan en desarrollo de sus campañas, como a los aportes y contribuciones que los particulares destinen para tal fin.

La Ley 130 de 1994, dispone que “…ningún candidato a cargo de elección popular podrá invertir en la respectiva campaña suma que sobrepase la que fije el Consejo Nacional Electoral, bien sea de su propio peculio, del de su familia o de contribuciones de particulares.

 Topes Generales
 Topes a los aportes de particulares.

El financiamiento estatal de los gastos originados por las campañas electorales, de organizaciones políticas y grupos significativos de ciudadanos se realiza mediante el sistema de reposición de los votos válidamente emitidos. Este es un sistema de financiación posterior a las votaciones mediante el cual se toma el número de votos recibidos por el candidato/a y se multiplica por el valor previamente fijado por el Consejo Nacional Electoral o la Ley. Esta regla aplica siempre que los candidatos/as o las listas superen el porcentaje de votos previsto según el proceso electoral del que se trate.
Formula reposición: Reposición de Votos = Cantidad de votos X valor fijado

El valor de la reposición de votos válidos es entregado a las organizaciones políticas, luego de haber presentado la rendición de cuentas, con excepción de los candidatos independientes.

Rendición de Cuentas
La Constitución Política de forma amplia, establece la obligación de los partidos, movimientos y candidatos de rendir públicamente cuentas sobre el origen, volumen y destinación de sus recursos.
 Ingresos y egresos anuales
 Destinación y ejecución de los dineros públicos que les fueron asignados.
 Ingresos obtenidos y gastos realizados durante las campañas.

¿Cómo han tratado los partidos políticos el déficit de género con respecto al financiamiento (p. ej. voluntariamente – la recaudación de fondos interna dentro de los partidos, contribuciones para las campañas? ¿Qué métodos o estrategias han utilizado?

Realmente no son los partidos quienes han implementado formas de financiación específicas para las campañas electorales de las mujeres, son ellas mismas las que se han ideado la recolección de recursos en forma muy creativa, aprovechando sus conocimientos culinarios (preparando platos populares de fácil comercialización, me refiero a mujeres de extracción muy humilde).
También se presenta el caso del político que les contribuye monetariamente con sus campañas pero, deben trabajar para él, esto significa que son DEPENDIENTES DE SU PARTIDO Y FORMA DE PENSAR y deben apoyar políticamente a quienes él les indica.

Sun, 05/26/2013 - 22:20 Permalink

I do agree that political financing for women is very crucial. Howev -er, we should think of 'good practices or measures' whereby such financing will reap the objectives is instituted for. I have seen political parties financing their female candidates and definately in some instances the supported woman get into decision making postions. The unfortunate thing is that sometimes such women - for instance such women who join parliament - fail to support women concerns just because they are 'tied' with the so called party position or as it is usually referred to in uganda - 'collective responsibility'. As we all know most of us live in patriarchal societies where the majority in any political party would definately be men. I know the few women who chances to penetrate into such political parties struggle internally (within the political party) to float women concerns but numbers fail them and at the end of the they come out supporting the party position as collective responsibility and which sometimes might be 'anti-women' - all because they were financed by that party to secure their positions. Therefore' in my view the challenge is even more than just raising money in politics, but also managing to secure political finances that will NOT make women lose their identity and independence in decision making.

Thu, 05/23/2013 - 16:45 Permalink

Reforming the financial costs for political campaigning.
By Drude Dahlerup, professor, Stockholm University
It is a serious problem for women’s political empowerment that more and more money are needed for electoral campaigning. In general fewer women than men have access to the financial means needed for an effective electoral campaign. For one group of female candidates this is a specific serious problems, namely for those female candidates who are not elected, and who may have spent a large sum of the family’s money. Many of not willing to take this risk and consequently abstain from a candidature.
The way forward is firstly, to work against the trend that more and more money are being spent during electoral campaigns. Expensive commercials in TV are seldom empowering the voters and giving them new information, but rather make citizens passive political consumers. Secondly, the amount of money spent by individual candidates should be diminished and instead the political parties, not the individual candidate, should cover most of the cost of campaigning.
Some good news. A few countries have now passed a new kind of legislation, which provides special incentives for political parties to recruit more women for their candidate lists or as elected:
In Georgia, a provision was introduced in December 2011 into the Law on Political Unions, stipulating that the election subject, receiving funding from the state budget will receive 10% supplementary funding if in its nominated party list (during municipal elections – in all lists) it will include at least 20 % candidates of a different gender in a group of every 10 candidates. (Art 30.7 (1), Organic Law of Georgia on Political Unions of Citizens, 1997 (as of 2012), see the global quota web site, www.quotaproject.org.
In Colombia, 5% of the total state funding for the political parties will be proportionally distributed to the parties that they have elected women in the national institutions (Article 17 of the Law1475, 2011).

Fri, 05/24/2013 - 06:57 Permalink

En un estudio realizado en Guatemala con ex candidatas a elección popular, se determinó que sus experiencias para la recaudación de fondos fueron diversas. Por lo general, las candidatas a nivel local enfrentaron más obstáculos en la recaudación de dinero. Los cacicazgos locales y el clientelismo político se convirtieron en una barrera política para las mujeres, debido a que compitieron en condiciones desventajosas. La mayoría de ellas recaudó fondos entre sus familiares. Las más osadas, recurrieron a otras fuentes de financiamiento, tal y como lo mencionaron en los grupos focales organizados para este estudio.“”A mí me ayudó que tengo una oficina jurídica contable. Cuando no tenía ingresos de los trámites, me apoyaba mi esposo, porque además estoy preparando para el privado de la carrera de derecho” (indígena ex candidata a Síndica, Chimaltenango). Otras, hicieron préstamos, como lo menciona una mujer indígena ““Hice un préstamo de Q.3,000.00, pensado que sólo eso iba a gastar. Entonces, empecé a vender mi ropa nueva. Logré vender dos güipiles y dos cortes, así cancelé el préstamo” (indígena ex candidata a Alcaldesa, Huehuetenango). “Tuve que realizar un préstamo de Q15, 000.00 para pago de buses. Aún estoy pagando las deudas. Lo hice por amor al Comité” (indígena ex candidata a Concejal IV, Chimaltenango).
El factor económico. La falta de recursos es una de las principales limitantes para que las mujeres puedan participar en política partidista. “Ninguna de las cuatro mujeres de la planilla teníamos ingresos fijos. Las mujeres con un trabajo estable, con posibilidades de permisos para ausentarse o acomodar sus horarios, con un salario adecuado o ingresos adecuados para sufragar sus necesidades y las de su familia, constituyen la minoría de las aspirantes a cargos de elección popular. En esta categoría pueden nombrarse a mujeres jubiladas, empleadas públicas (maestras, enfermeras, secretarías, técnicas educativas, etc), facilitadoras de talleres y comerciantes con negocios propios (fabricación y venta de artesanas, oficinas contables, oficinas jurídicas, tiendas, compra venta de leña, animales de crianza, etc.).
Contar con autonomía económica empodera y da libertad para decidir: “Si tengo mis propios ingresos no estoy sujeta a la voluntad de nadie” (indígena excandidata a alcaldesa). Porque para negociar las mejores posiciones en un partido guatemalteco, se necesita mucho dinero, entre 15 mil y hasta millones, según relataron las entrevistadas en este estudio. El valor aumenta según el posicionamiento del partido, el distrito electoral y la casilla. No obstante, el dinero también limita la capacidad para competir y obtener la simpatía del electorado. “El otro candidato ganó porque tenían para llevarle regalos a la gente y para comprar votos” (candidata a alcaldesa Suchitepéquez). “En el otro partido tenían para pagar quienes les ayudarán y hasta para su seguridad” (candidata a diputada Jutiapa).
La tecnificación de las campañas, con el uso cada vez más diversificado de medios de comunicación y especialistas, también aumenta los costos de inversión. Otros factores que influyen, según el estudio fueron:
1. Desconocimiento del medio político.
2. La política es un campo devaluado socialmente.
3. La política es un asunto de tiempo completo.
4. La política partidista es patriarcal.
5. Exigencias diferenciadas.
6. La discriminación.
7. Las identidades asignadas.
Finalmente, las pérdidas económicas que requiere sostener una campaña electoral implicó para muchas endeudarse, gastar los ahorros, hipotecar el patrimonio -“gasté todo lo que tenía” (indígena candidata a Concejal V Sololá)- e incluso desprenderse de objetos personales: “Empecé a vender mi ropa nueva. Logré vender dos güipiles y dos cortes. Con eso pague el préstamo. Me da vergüenza decirlo, pero así lo tuve que hacer” (indígena candidata a alcaldesa Huehuetenango). “Hice tres préstamos. No sé cuándo los voy a pagar” (candidata a diputada Jutiapa).
Efectos que también impactaron en las responsabilidades familiares: “Pasé hasta dos meses sin pagar la colegiatura de mis hijas, porque tuve que pagar 11 buses para las votaciones” (indígena candidata a Concejal IV Chimaltenango).
Por las exigencias de tiempo algunas incluso se vieron obligadas a renunciar a sus trabajos parciales o de tiempo completo, perdieron a su clientela, fueron despedidas y abandonaron los estudios universitarios, incluso estando en la fase de exámenes privados.

Tue, 05/28/2013 - 16:59 Permalink

En Perú, como comentó Yovana, no es que las mujeres no alcemos nuestra voz, siempre lo hemos hecho, en el tema de género hay desigualdad de oportunidades en todos los espacios y mas aún en las campañas electorales. En la agenda del Congreso de la República se encuentra la Ley de Alternancia, que sería la única esperanza para que las mujeres puedan llegar a ocupar cargos de decisión política. El tema de financiamiento es una realidad cruda por la que atraviesan las mujeres candidatas en Perú. En mi caso les comento mi experiencia, en las elecciones pasadas fui candidata al Congreso de la República por mi región Ancash. Trabajé 4 años dos periodos como secretaria general de mi partido, segura que me darían el número uno, ¡oh sorpresa! por allí se metió una persona invitado que nunca aportó nada al partido, y obtuvo el número uno, el siguiente otro invitado, el número dos, el tercero una mujer que no era de la región, vivía en Lima, el número cuatro era otro invitado y finalmente me dieron el número cinco, el último. No saben cuánto trabajé para posicionar mi número, tenía unos ahorros para comprar un departamento los que invertí en la campaña, toda mi familia se endeudó: mis hermanos, mis hijos, mi padre, no tuve el apoyo económico de mi partido, más aún allí tuve que pagar un cupo para que me dieran el número cinco.
La decepción más grande que tuve fue que se tenía que pelear los votos en las mesas y en la ONPE, me robaban los votos y no aceptaban mi denuncia ya que decían que tenia que ser el 50% de votos observados para aceptar mi denuncia, todo un embrollo hasta que me ganaron con fraude y mi personero de Chimbote me llamaba para sugerirme pagar un monto a la ONPE de tal manera que no robaran mis votos.

Creo que de esa manera es difícil que una mujer preparada, con vocación de servicio pueda llegar al Congreso, porque la limitante es la parte económica y si no ganas hay que pagar préstamos hasta por 5 años, entonces de qué igualdad hablamos si no existe apoyo financiero para las mujeres que participan en política. Ahora nos toca luchar para que se apruebe la Ley de Alternancia y con ella ya no se podrá utilizar a las mujeres solo para completar listas sino para que sirvan al país.

Wed, 05/29/2013 - 23:02 Permalink

En el Perú aún se está planteando en el congreso normas complementarias a la ley de cuotas (30% por género) como la de alternancia en las listas electorales, que aún cuando es propuesto en esta oportunidad por el Ministerio de la Mujer e Inclusión Social, los mecanismos para su difusión masiva y posible presión siquiera de las mujeres para su aprobación son tan débiles que es muy dudoso que se vea en el pleno del congreso y si es así se apruebe. Falta desarrollar muchísimo conciencia de la desigualdad siquiera.
Por ende no existen mecanismos para facilitar el financiamiento de las actividades políticas.
Las actuales leyes de financiamiento político establecen cierto nivel de reintegro de gastos de campaña a los partidos políticos que perciben mayor votación pero no reglamentan la forma de distribución; con ello, más la falta de transparencia y control al interior de los partidos, las cúpulas los pueden disponer arbitrariamente. En este ámbito puede facilitarse el financiamiento de las campañas políticas de las candidatas, normándose por ejemplo forma de distribuir los recursos que incluyan incentivos (plus por mujeres electas o por mayor cantidad de votos dirigidos a mujeres en relación a otros partidos, reembolso de costos de capacitación o de apoyo a las campañas de las candidatas u otros), sin embargo es remota su materialización en nuestra realidad que se legisle y menos que se cumpla debido a la falta de conciencia y fragilidad de estas instituciones. En la actualidad, con lo complicado que es, sería más viable el financiamiento de fundación que obtener apoyo financiero del estado.
Por eso se acude al uso de fondos privados que constituyen generalmenete materia de transacciones a futuro, siendo además en algunos casos de procedencia ilícita que cuando es develada generalmente es por acción de la prensa dirigida por los adversarios más que por las instituciones de control del estado.
También es lamentable y muy cierto lo que comenta Lucy Margot, que en épocas electorales, conforme aparecen personas con mayores recursos económicos se desplazan de los lugares preferenciales de las listas electorales a verdaderos militantes (como los hoy en día son generalmente varones, es motivo adicional de oposición a la ley de alternancia so pretexto de socavar la autonomía y libertad de los partidos políticos, que en realidad aplican las leyes del mercado al interior de los mismos: a mayor demanda, más precio).

El déficit de financiamiento en las mujeres (por el sólo hecho del género) no importa a los partidos. La búsqueda de fondos es individual. Quizás podría hacerse redes de apoyo a las candidatas con mayores potencialidades, sin embargo quién sería el juez, aún debemos reflexionar en estas opciones.

¿Hay diferencias en la manera que las y los candidatos gastan los fondos de campaña? (p. ej. gastos más altos para las mujeres dada la falta de seguridad, costo del cuidado de menores, etc.
Creo que la diferencia podría darse en la mayor necesidad por cubrir sus gastos personales sobre todo si son cabeza de familia o no tienen apoyo suficiente en afrontar asuntos familiares pero no tanto en la manera de gastar los fondos de campaña.

Siendo el financiamiento uno de los pilares básicos para acceder a los cargos políticos, mientras no se logren condiciones de igualdad en esta materia, la participación masiva de las mujeres es remota. La alternancia va a ayudar bastante pero no será suficiente.

Sun, 06/02/2013 - 01:43 Permalink
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