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Élections

En conférence de presse,  le jeudi 1er juin 2023 à l’hôtel Palm Club de Cocody , la Coalition des Organisations de la société civile en faveur des droits politiques de la Femme a dénoncé et plaidé pour l’application véritable de la loi No 2019-870 du 14 octobre 2019 favorisant la représentation des femmes dans les assemblées élues.

Partant du récent constat du faible nombre de candidatures féminines enregistrées à la faveur des prochaines élections régionales et municipales, Tanou Kadi, au nom de la coalition, a dénoncé cette insuffisance.

Cliquez ici pour lire l’article publié par L’Intelligent Dabidjan, le 5 juin 2023.

D’après la loi de 2018, chaque liste de candidat doit contenir au moins 36 % de femmes. La première législature comprenait 38 femmes et depuis, cette part n’a fait que décliner.

Isabel Almeida, la présidente de l’ONG Miguilan, constate que la loi sur la parité reste peu contraignante. « Dès son adoption, la loi sur la parité comprenait beaucoup de défauts, qui auraient dû être corrigés. Mais cela n’a pas été fait en raison des dissolutions du Parlement à répétition. Résultat : les partis politiques profitent de cette lacune pour ne pas appliquer la loi. »

Cliquez ici pour lire l’article publié par RFI, le 1 juin 2023.

En Mauritanie, les électeurs voteront samedi pour les élections législatives, régionales et municipales. Malgré quelques avancées, les femmes demeurent sous-représentées sur la scène politique mauritanienne. Pour certaines candidates, ce sont les mentalités qui doivent évoluer.

Source: TV5 Monde

Les élections des gouverneurs et des assemblées d'État au Nigeria se sont tenues ce weekend. Beaucoup d’observateurs s’intéressaient à ces scrutins pour voir comment les femmes candidates s'en sortent aux urnes. Le nombre de femmes élues à l'Assemblée nationale du Nigeria a chuté de moitié lors du scrutin du 25 février, ce qui, selon les militants, est un pas en arrière pour les femmes confrontées aux préjugés culturels dans la sphère politique.

Source: VOA

Violence, manque de financement, patriarcat… Face aux nombreux obstacles, les femmes ne briguent que 9 % des sièges à l’Assemblée nationale le 25 février.

Pour Tolulope Akande-Sadipe, briguer un second mandat de députée au Nigeria signifie mettre sa vie en danger, confie cette femme de 56 ans qui se présente aux élections législatives du 25 février dans le sud-ouest du pays. Le même jour, les Nigérians éliront également leurs sénateurs et leur prochain président – Muhmmadu Buhari se retirant après deux mandats, comme prévu par la Constitution. Le 11 mars, ils choisiront leurs gouverneurs et les députés des assemblées locales.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde, le 21 février 2023.