Les femmes doivent prendre et garder leur place en politique
Source: La Presse
À un an des élections générales de 2026, le remaniement ministériel du gouvernement de la CAQ a de nouveau soulevé une question primordiale. Une question qui traverse le temps, les époques et les législatures.
Cette question, c’est celle de la place des femmes dans les sphères de pouvoir. Nous ne limiterons pas la réflexion à la place des femmes à l’Assemblée nationale, puisqu’elle est beaucoup plus large, plus intrinsèque.
Sur un cabinet de 29 ministres, seulement 12 sont des femmes. Une proportion qui entre d’extrême justesse dans la zone paritaire. Pourquoi est-ce un problème ?
Nous estimons qu’il s’agit d’un problème puisque, bien que l’on puisse constater une nette évolution de la parité dans les différentes sphères d’influence politique depuis l’an 2000, nous n’avons aucune garantie que ces gains en représentativité seront pérennes.
À un an des élections générales de 2026, le remaniement ministériel du gouvernement de la CAQ a de nouveau soulevé une question primordiale. Une question qui traverse le temps, les époques et les législatures.
Cette question, c’est celle de la place des femmes dans les sphères de pouvoir. Nous ne limiterons pas la réflexion à la place des femmes à l’Assemblée nationale, puisqu’elle est beaucoup plus large, plus intrinsèque.
Sur un cabinet de 29 ministres, seulement 12 sont des femmes. Une proportion qui entre d’extrême justesse dans la zone paritaire. Pourquoi est-ce un problème ?
Nous estimons qu’il s’agit d’un problème puisque, bien que l’on puisse constater une nette évolution de la parité dans les différentes sphères d’influence politique depuis l’an 2000, nous n’avons aucune garantie que ces gains en représentativité seront pérennes.