Partis politiques
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En 2021, les femmes en France gagnaient en moyenne 24 % de moins que les hommes dans le secteur privé. Une étude a comparé les politiques d’égalité femmes-hommes dans plusieurs pays performants, comme l’Allemagne, le Danemark, l’Espagne, la Finlande, les Pays-Bas, ainsi que le Canada, la Nouvelle-Zélande et la Norvège. Cette comparaison vise à documenter les actions à l’étranger pour réduire les inégalités et améliorer l'intégration des femmes sur le marché du travail.
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par la Direction générale du Trésor le 10 septembre 2024.
Source image: Direction générale du Trésor
JAKARTA – La question de la représentation des femmes est souvent abordée par divers intérêts, y compris les intérêts de la domination du patronage masculin, selon le directeur exécutif du Centre d’études politiques de l’Université d’Indonésie (PANOAPOL UI) Hurriyah.
Auparavant, le Centre pour les études stratégiques et internationales (CSIS) a constaté que le nombre de législateurs élues lors des élections de 2024 avait augmenté par rapport aux élections précédentes.
Cependant, dans un rapport du CSIS écrite par le chef du département et de l’amendement social du CSIS, Arya Fernandes, a déclaré que sur les 127 femmes candidates élues, 58 d’entre elles étaient indiquées par une dynastie politique, tandis que 69 autres ne le sont pas.
« Bien que la représentation des candidates élus aient augmenté par rapport aux élections précédentes, il y a des indications que 45,67% des 127 femmes élues étaient liées aux dynasties politiques », a écrit Arya, cité par Kompas.
Les candidats représentés par les dynasties politiques provenaient de familles de fonctionnaires qui avaient ou étaient en fonction, à la fois d’enfants, d’épouses, de sœurs, de maris, de frères, de beaux-parents ou avaient d’autres relations parentales.
Voyant du parti politique d’origine (parpol), PDI Perjuangan est devenu le parti avec des candidats élus pour femmes qui sont les plus indiquées par les dynasties politiques. Sur les 27 candidates du Parti politique, jusqu’à 16 personnes ou 59,3% étaient associées à des dynasties politiques. Ce chiffre a été suivi par le parti Nasdem (57,1%) et le parti Gerindra (57,9%).
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par VOI le 15 juillet 2024..
Source image: VOI
Aujourd’hui encore, les femmes font face à des discriminations dans le combat démocratique. Pour exemple, lors du dernier remaniement gouvernemental, aucune femme n’a été nommée à la tête d’un ministère régalien.
Les stéréotypes de genre restent dominants et nuisent à l’engagement des femmes. Elles sont encore cantonnées à des rôles secondaires.
Il y a de nombreux obstacles à l’engagement des femmes en politique. Ces obstacles sont deux ordres : certains sont liés au monde politique et d’autres sont les conséquences de la société patriarcale dans laquelle nous vivons. Or, il se trouve que le monde politique est un monde construit par les hommes et pour les hommes, et où les codes du patriarcat sont légion.
Aussi, le sentiment d’illégitimité, le sexisme, l’infériorisation, les violences sexuelles et sexistes, la présomption d’incompétence… sont souvent ce à quoi les femmes font face en s’engageant en politique. De fait, ces obstacles constituent de véritables freins à l’engagement des femmes et ont parfois pour conséquence d’en dissuader certaines.
Pour lutter contre cela, il est impératif de faire des organisations politiques des lieux où les femmes, mais aussi toutes les personnes socialement dominées (les personnes racisées, celles en situation de handicap, etc.), puissent s’épanouir dans leur engagement citoyen et militant. Dans cette perspective, les partis politiques – qui constituent les corps intermédiaires entre le peuple et les institutions – peuvent jouer un rôle clef. Une première piste pourrait peut-être consister en la mise en place de procédures efficaces pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par L'Humanité, le 6 mars 2024.
Source image : L'Humanité
Au Burundi, l’engagement politique féminin reste encore minime. C’est ce que réaffirme le président du FDP lors d’un atelier d’échanges et de réflexions avec les représentantes des femmes affiliées aux partis politiques au niveau national tenu à Gitega, jeudi 8 février.
« Pour une plus large représentation des femmes dans les institutions, il faut une large présence des femmes dans les organes dirigeants des partis politiques », lâche un observateur de la politique burundaise. Sous le thème : « sensibilisation de la femme à élire et se faire élire », le Forum permanent de Dialogue des Partis politiques agréés au Burundi (FDP) a organisé, le 8 février un atelier d’échange et de réflexion. C’était pour « inventorier les obstacles qui font que les femmes ne se fassent pas élire et les activités à mener pour que la femme puisse se faire élire », fait savoir Félicien Nduwuburundi, président du FDP.
Dans la foulée, le FDP a demandé aux leaders des partis politiques et aux autres hommes politiques burundais de laisser leurs femmes entrer librement dans les partis politiques. Mais aussi de les soutenir financièrement.
Par ailleurs, poursuit le président du FDP, le fait que le débat autour de la faible représentation des femmes au sein des formations politiques soit devenu une rengaine à la veille de chaque échéance électorale est une façon d’éveiller les consciences des femmes. Mais quid des raisons de cette sous-représentation des femmes ?
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par IWACU Burundi, le 22 février 2024.
Image source: IWACU Burundi
Chaque fois qu’il est question de discrimination positive et de parité, certains fouillent dans leur grand placard de chemises à déchirer en entonnant le même refrain. « On ne corrige pas une discrimination par une autre ! Pourquoi le sexe d’un candidat passerait avant ses compétences ? ».
La nouvelle séance de déchirement de chemises a eu lieu après l’adoption au congrès de Québec solidaire (QS) d’une résolution visant l’atteinte de la parité dans le caucus : en cas d’élection partielle dans la prochaine année, une mesure temporaire de discrimination positive fera en sorte que le processus d’investiture de QS sera réservé uniquement aux femmes.
Aux yeux de certains, la mesure serait aussi sexiste que le mal qu’elle prétend combattre. Pire encore, elle ouvrirait la porte à des incompétentes en jupe qui voleraient la place de candidats masculins autrement plus compétents. Un mythe tenace qui resurgit chaque fois que quelqu’un prononce le mot « quota » dans un débat sur la parité.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par La Presse, le 28 novembre 2023.
L’ère n’est décidément pas à la parité dans la politique luxembourgeoise. Le nouveau visage de la Chambre des députés avait déjà des traits macho, celui du nouveau gouvernement ne sera pas plus égalitaire entre hommes et femmes… Ainsi, au terme de 5 semaines de négociations, Chrétiens-sociaux (CSV) et Libéraux (DP) se sont mis d’accord sur les 15 noms du nouveau gouvernement. Mais, au final, il n’y aura que 5 ministres féminins.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Les Frontaliers, le 16 novembre 2023.