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Leadership des femmes

La nouvelle stratégie place l’égalité entre les hommes et les femmes au cœur des efforts du PNUD pour élargir les choix des personnes et parvenir à un monde juste et durable.

New York, le 15 septembre 2022 - Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a lancé un nouveau plan ambitieux pour aider les pays à accélérer les progrès, ces quatre prochaines années, en matière d’égalité entre les hommes et les femmes et d’objectifs mondiaux de développement durable (ODD). La Stratégie pour l’égalité entre les hommes et les femmes 2022-2025 permettra de débloquer des progrès pour des millions de femmes et de filles dans les 170 pays et territoires dans lesquels œuvre le PNUD.

La stratégie se fonde sur l’égalité entre les hommes et les femmes comme l’une des solutions de développement les plus efficaces. Elle vise à dépasser les efforts ponctuels et à aider les pays à modifier les structures de pouvoir et les systèmes économiques, sociaux et politiques qui perpétuent la discrimination.

Cliquez ici pour lire larticle publié par le PNUD, le 14 septembre 2022.


«Les autorités devraient davantage aider les jeunes militantes à se faire entendre ; plutôt que d’être réduites au silence ou étouffées, leurs voix devraient servir à motiver d’autres personnes à agir et à insuffler des changements», a déclaré Meskerem Geset Techane, membre du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles.

Mme Geset Techane a fait cette déclaration alors qu’elle présentait le dernier rapport du Groupe de travail au Conseil des droits de l’homme. Ses propos font écho à ceux d’une jeune femme militante qui a participé à l’une des consultations du Groupe de travail.

Ce rapport sur le militantisme des filles et des jeunes femmes souligne l’importante contribution apportée à la promotion de l’égalité des sexes et des droits de l’homme par les filles et les jeunes femmes, et examine les obstacles structurels à leur militantisme.

Cliquez ici pour lire larticle publié par ONU Droits de l’homme,  le 6 septembre 2022.

NÉCROLOGIE La reine, qui avait accédé au trône en 1952 à l’âge de 25 ans, est morte le 8 septembre à 96 ans. Monarque impassible, vénérée par le peuple britannique, cheffe des armées, gouverneure suprême de l’Eglise anglicane, elle a été l’interlocutrice de quinze premiers ministres britanniques.

C’était en 1991 à Harare, capitale du Zimbabwe, à l’issue d’un sommet du Commonwealth. Quand Elizabeth II a fait son apparition sous la marquise dressée sur la pelouse du Haut-Commissariat britannique, l’invité s’est figé. La souveraine est plus petite qu’on ne l’imagine. Sa poignée de main est molle. Sa voix nasillarde, ses fins de phrase pratiquement inaudibles. Cette femme qui dégage une autorité naturelle toise son interlocuteur d’un sourire à peine esquissé. Le dialogue se limite à deux questions banales. Un court silence s’installe. La reine disparaît. La monarque excelle dans cette double nécessité de paraître à la fois accessible et inaccessible. C’est une vraie reine, comme l’avait déclaré, admiratif, le président Mitterrand.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Monde, le 8 septiembre 2022.

Passage en revue des femmes qui sont actuellement Premières ministres ou chefs d’État sur le Vieux Continent, alors que Liz Truss s’apprête à prendre la tête du gouvernement britannique.

Alors que Liz Truss a été désignée pour succéder à Boris Johnson à la tête du gouvernement britannique, lundi 5 septembre, voici un tour d’horizon des femmes qui sont actuellement Premières ministres ou cheffes d’État (hors monarques) en Europe. La conservatrice Liz Truss est la troisième femme à occuper cette fonction au Royaume-Uni, après Margaret Thatcher (au pouvoir de 1979 à 1990) et Theresa May (2016-2019), toutes les deux des Tories. À noter par ailleurs que l’Allemande Ursula von der Leyen est devenue en décembre 2019 la première femme présidente de la Commission européenne.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Réforme, le 6 septembre 2022.


Au Kazakhstan, les inégalités entre les sexes restent encore aujourd’hui très importantes. La présidente de l’Union des centres de crise a émis des propositions destinées au gouvernement et à l’ensemble des femmes kazakhes qui visent à encourager l’égalité des sexes.

Novastan reprend et traduit ici un article publié le 25 mai 2022 par le site d’information kazakh Steppe.

Au Kazakhstan, les inégalités entre les sexes demeurent, tant au niveau salarial qu’au niveau de la représentation au sein du gouvernement. Les femmes ne représentent ainsi que 9,3 % des employés de la fonction publique liés à la sphère politique.

Une lueur d’espoir apparaît pourtant : le président a approuvé des modifications au document intitulé Stratégie de politique en matière de famille et d’égalité des sexes au Kazakhstan. Il y est proposé, entre autres, de porter à 30 % la part des femmes dans les organes de l’État, de diminuer l’écart entre les salaires moyens, ou encore d’encourager la participation des femmes dans les processus de maintien de la paix et de la sécurité.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Novastan, le 5 septembre 2022.

Elles sont quatre, responsables de la diplomatie des plus grandes économies de la planète. Et depuis six mois, elles font front commun pour tenir tête à Vladimir Poutine. Ce quatuor de femmes ministres des Affaires étrangères s’est ligué non seulement pour sévir contre le régime russe et s’assurer que la communauté internationale n’oublie pas de protéger les femmes dans le conflit en Ukraine, mais aussi pour épauler les dirigeantes d’autres pays aux prises avec les conséquences de cette guerre. Une offensive féminine sur tous les fronts. « Il faut se soutenir, entre collègues féminines », souligne en entrevue la diplomate en chef du Canada, Mélanie Joly.

Pour la première fois, la majorité des ministres des Affaires étrangères des pays du G7 sont des femmes. Trois d’entre elles sont dans la quarantaine. Mélanie Joly est âgée de 43 ans, la Britannique Elizabeth Truss, de 47 ans, et l’Allemande Annalena Baerbock, la cadette du groupe, de 41 ans. Catherine Colonna, nommée aux Affaires étrangères de la France en mai dernier, a 66 ans.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Devoir,  le 3 septembre 2022.