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Leadership des femmes

Une dizaine de femmes engagées en politique dans la ville de Beni ont participé samedi 16 novembre à une séance de sensibilisation sur leur avenir politique et ont évalué les défis rencontrés au cours de ce processus électoral, lors d'un salon baptisé « Salon des grandes dames ». Cette rencontre a été organisée par l’ONG Femme congolaise pour le développement (FECONDE).

Selon Julie Njila Nkuna, coordinatrice de cette ONG, les échanges ont porté sur les nouveaux défis de la dynamique politique dans la région de Beni, la mobilisation de fonds et l’implication des femmes dans le processus de paix de Luanda.
 L'objectif principal, d’après Julie Njila, a été d’accompagner les femmes politiques de Beni à s’imposer lors des prochaines échéances électorales.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Radio Okapi le 19 novembre 2024.

Source image : Radio Okapi

 

De notre correspondant à Antananarivo,

Préparer un budget, prendre une décision par arrêté municipal ou maîtriser les codes de la communication politique. Pendant deux jours, 60 candidates venues de presque toutes les régions de Madagascar ont appris les bases de la gestion d’une commune. La plupart d’entre elles sont novices en politique.

Parmi elles, Marie Rosalie Rahelisoa brigue un mandat de conseillère municipale à la mairie de Morondava, sur la côte ouest de la Grande Ile : « Ce qui était utile pour moi c’était d’apprendre la séparation des tâches entre les conseillers municipaux et les maires. Cela m’a donné des compétences en plus », explique-t-elle. L’avenir du pays dépend de nous. Il faut que nous les femmes nous nous sentions responsables et que nous participions activement à la vie publique, afin de changer la donne. »

Pour Lalà Rasanjison, candidate à la mairie d’Antsirabe, cette formation était également bienvenue. « C’est la première fois que je me présente à la mairie. Il faut savoir dans quoi on s’engage. C’est essentiel que les femmes se présentent, parce que c’est le moyen pour nous d’apporter un changement pour le pays », abonde-t-elle. 

« La place des femmes a toujours été considérée comme inférieure à la place des hommes »

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par RFI le 8 octobre 2024.

Source image: RFI

 

Dans un essai percutant, Jocelyne Richer documente les coulisses du pouvoir au féminin. Au menu : mansplaining, boys club et misogynie. La journaliste a rencontré plusieurs dizaines de femmes issues de TOUS les partis et de TOUTES les générations. Derrière l’écran de la parité, les comportements n’ont pas changé, ou si peu. Une lecture essentielle qui montre bien que l’univers politique est encore « un monde d’hommes, fait pour les hommes, par les hommes ».

Y a-t-il un évènement en particulier qui vous a motivée à écrire ce livre ?

La politique est un monde d’image, et quand il est question de l’égalité homme-femme, les gouvernements et les chefs de parti veulent projeter une image de perfection. Ils disent que l’égalité est une valeur fondamentale, que c’est non négociable. Or, ça ne correspond pas à la réalité des femmes politiques que j’ai observée sur le terrain. Je voulais donc confronter mes propres perceptions à celles d’élues et d’ex-élues.

On parle beaucoup de l’importance de la parité ou de la zone paritaire en politique, soit un nombre à peu près égal d’hommes et de femmes. Qu’est-ce que les femmes élues en pensent ?

Elles sont unanimes à penser qu’il faut la parité pour pouvoir mettre en œuvre des changements, mais les avis sont partagés sur les moyens de l’atteindre. Certaines estiment que ça prendrait une loi, d’autres pensent qu’on va y arriver à force de pression et de sensibilisation. Beaucoup de femmes insistent sur l’importance d’une parité élargie à tous les lieux de pouvoir, soit les directeurs de cabinets, les sous-ministres, les présidents de sociétés d’État. Il faut une masse critique pour amorcer des changements.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par La Presse le 25 septembre 2024.

Source image: La Presse

 

La Délégation de l’Union européenne au Bénin a pris part du 19 au 21 septembre à Nikki dans le département du Borgou, à la 2ème édition des Rencontres intergénérationnelles des femmes leaders politiques du Bénin.

Ces assises se sont tenues en marge de la Gaani de la Gnon Kogui, Vice-Reine de l’Empire de Nikki. Les femmes politiques de différentes générations et sensibilités politiques, étaient venues de l’ensemble des départements du Bénin. L’Union européenne salue la richesse des réflexions et les efforts de renforcement de la formation politique et sociale des filles et des femmes ainsi que la vision du Gouvernement de renforcer la représentativité des femmes dans les instances de prise de décision.

Les assises étaient soutenues par plusieurs Partenaires Techniques et Financiers, sous l’égide de l’Institut National de la Femme (INF) du Bénin. La participation active des femmes leaders politiques du Sénégal, de la Guinée-Conakry, de la Côte-d’Ivoire, de la République Démocratique du Congo a été par ailleurs notée.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par la Delegation of the European Union to Benin le 24 septembre 2024.

Source image: Delegation of the European Union to Benin

 

Selon le dernier rapport du Baromètre arabe, 57 % des Marocains estiment que les hommes sont de meilleurs dirigeants politiques que les femmes. Ce sentiment reflète une tendance plus large dans la région, malgré un soutien continu à la représentation féminine en politique.

Le dernier rapport du Baromètre arabe révèle des tendances significatives en matière d’égalité des sexes dans le monde arabe, y compris au Maroc. Les résultats du rapport, intitulé “Tendances de l’opinion publique sur le genre au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, sont basés sur plus de 13.000 entretiens menés dans la région entre 2023 et 2024, avec une marge d’erreur de ±3 points de pourcentage ou moins dans chaque pays.

Selon le rapport, une tendance à la baisse est constatée dans la perception de la capacité des femmes à assumer des rôles de leadership politique. Au Maroc, 57% des personnes interrogées pensent que les hommes font généralement de meilleurs dirigeants politiques que les femmes, un sentiment partagé par de nombreuses personnes dans la région. Ceci marque une augmentation significative par rapport à l’enquête précédente en 2021-2022.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Hespress Français le 22 septembre 2024.

Source image: Hespress Français

 

A Nikki, sont ouvertes jeudi 19 septembre 2024, les Rencontres intergénérationnelles des femmes leaders politiques du Bénin. Les participantes s’inspirent du modèle de la Gnon Kogui, vice-Reine de l’empire  de Nikki. 

Ces rencontres intergénérationnelles font partie des activités devant marquer la célébration de la Gaani de la Gnon Kogui.  Plus de 500 femmes de différents bords politiques  prennent part cette année à ces travaux, à l’initiative de la vice-présidente du Bénin, Mariam Chabi Talata Zimé Yérima.  

L’initiative est sa 2è édition. Les réflexions portent sur le thème : “leadership politique féminin au Bénin : quelles stratégies pour plus d’efficacité et de visibilité des femmes en Responsabilité publique”. Les discussions vont aboutir à des propositions et recommandations. 

“Convoquer le passé”

Ces rencontres se veulent instructives. La vice-présidente de la République, Mariam Chabi Talata, y tient : 

“Il ne s’agira pas pour les femmes de s’opposer aux hommes, de les affronter et de les défier sur différents plans. Nous venons à Nikki pour rappeler, une fois de plus, que conformément à nos traditions séculaires, là où on décide de la vie de tous, une place doit être de façon consensuelle réservée aux femmes pour porter leur voix en vue du bien-être de tous”.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par BENIN TV le 20 septembre 2024.

Source image: BENIN TV

 

“Ces obstacles sont largement attribuables à des normes sociales profondément ancrées. De manière préoccupante, près de la moitié de la population mondiale estime que les hommes font de meilleurs dirigeants politiques que les femmes”, affirme Adam Sidibé, ancienne députée de la dernière législature.

Pour elle, les femmes sont confrontées à deux sortes d’obstacles sur la voie de la participation à la vie politique. D’une part, des entraves structurelles causées par des lois et des institutions discriminatoires qui réduisent encore aujourd’hui leurs possibilités de voter ou de se porter candidates à un mandat politique.

D’autre part, faute de moyens, les femmes ont moins de chances que les hommes de suivre une formation, de nouer les contacts et de bénéficier des ressources nécessaires pour devenir des dirigeantes performantes.

“Les Nations unies proposent un arsenal qui va de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, au Programme d’action de Beijing aux Objectifs du Millénaire pour le développement. Nous avons transposé dans notre arsenal ces textes et nous efforçons de les mettre en pratique”, affirme Mme Dansoko, conseiller technique au ministère de la Promotion de la femme, de l’Enfant et de la Famille.

ONU-Femmes va plus loin : “Nous aidons les femmes souhaitant exercer un mandat politique à développer leurs compétences et nous organisons des programmes d’éducation civique et de sensibilisation des électeurs à l’égalité des sexes. Nous soutenons les défenseurs de l’égalité des sexes en appelant les partis politiques, les gouvernements et d’autres parties prenantes à assumer leur part de responsabilité dans l’autonomisation des femmes”, disait sa secrétaire générale, lors de la dernière Journée panafricaine des femmes.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Bamada le 25 juillet 2024.

Source image: Bamada

 

Pendant l'Année d'Action du Sommet pour la Démocratie, la cohorte S4D sur l'Égalité des Genres en tant que Prérequis pour la Démocratie a identifié des recommandations pour renforcer la démocratie en promouvant l'égalité des genres, la Déclaration et le Plan d'Action de Recommandations. Les co-présidents de la cohorte de genre : la Suède, la Roumanie, l'Institut Georgetown pour les Femmes, la Paix et la Sécurité, et l'Institut International pour la Démocratie et l'Assistance Électorale (IDEA International) encouragent les gouvernements et la société civile à prendre en compte les recommandations et les actions proposées.

La Cohorte de Genre soutient fermement les thèmes des Sommets Régionaux pour la Démocratie 2023. Les thèmes régionaux sont étroitement liés à l'égalité des genres et le lien entre la démocratie et la Cohorte de Genre a développé des résumés spécifiques sur le genre pour chaque thème : Jeunesse ; Lutte contre la corruption ; Élections libres, justes et transparentes ; Technologies de l'information et des communications (TIC) et Liberté des médias.

Déclaration et Plan d'Action de Recommandations

Les recommandations et les actions proposées ont été identifiées en consultation avec la cohorte, qui compte plus de 100 représentants des gouvernements et de la société civile de toutes les régions du monde. Les gouvernements et la société civile sont encouragés à considérer ces recommandations comme des outils pour renforcer la démocratie en promouvant l'égalité des genres. Les recommandations se concentrent sur trois piliers : l'inclusion ; les cadres législatifs et politiques ; et la prévention des conflits, la paix et la sécurité. Chaque pilier thématique est essentiel pour l'égalité des genres dans les processus démocratiques.

Lire la déclaration de recommandations >>

Lire le plan d'action de recommandations >>

Résumés de la Cohorte de Démocratie sur l'Égalité des Genres

Cohorte du Sommet pour la Démocratie sur l'Égalité des Genres en tant que Prérequis pour la Démocratie : Élections libres, justes et transparentes

L'égalité des genres est fondamentale pour le processus électoral, car elle permet aux femmes, en tant qu'électrices, candidates et fonctionnaires élues, d'influencer les politiques publiques et de défendre leurs intérêts. Cependant, les femmes rencontrent des obstacles importants à leur participation politique, notamment l'utilisation de la violence et de l'intimidation de genre visant à les dissuader de se présenter à un poste ou d'exercer leurs droits politiques. Les défis et les risques sont encore plus importants pour les femmes des communautés historiquement marginalisées. De plus, les femmes ont moins de chances d'être recrutées et sélectionnées comme candidates, ont moins accès équitable aux fonds de campagne et sont confrontées à des défis plus importants pour la représentation proportionnelle.

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Cohorte du Sommet pour la Démocratie sur l'Égalité des Genres comme Prérequis : Lutte contre la Corruption

La corruption mine la démocratie et la justice en entravant la capacité du public à bénéficier pleinement des institutions gouvernementales. La lutte contre la corruption nécessite une perspective de genre pour comprendre pleinement son ampleur et son impact. Les femmes ont des approches uniques (mais non uniformes) pour lutter contre la corruption et sont également touchées de manière différente par celle-ci, ce qui engendre des inégalités et mine les opportunités pour des démocraties saines.

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Cohorte du Sommet pour la Démocratie sur l'Égalité des Genres en tant que Prérequis pour la Démocratie : Jeunesse

Les jeunes sont les leaders de demain. Cependant, les personnes de moins de 35 ans occupent rarement des postes de leadership politique formels, et il y a moins de femmes que d'hommes dans ces rôles. Les recherches de l'Union Interparlementaire (UIP) ont révélé que sur 2,2 % des parlementaires de moins de 30 ans, moins de 1 % sont de jeunes femmes. La marginalisation des jeunes, y compris des jeunes femmes, en politique conduit à des opportunités manquées pour renforcer les processus et les institutions de construction de la démocratie. L'égalité des genres en tant que prérequis pour la démocratie nécessite des efforts adaptés pour impliquer à la fois les jeunes femmes et les jeunes hommes. Il est nécessaire de s'attaquer aux obstacles à l'inclusion des jeunes en politique, y compris les formes de discrimination et de violence basées sur le genre.

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Cohorte du Sommet pour la Démocratie sur l'Égalité des Genres en tant que Prérequis pour la Démocratie : Information et Technologies de la Communication (TIC)

Les Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) ont le potentiel de combler les écarts de genre dans la participation politique des femmes. Elles peuvent servir d'outils pour permettre aux femmes d'influencer les agendas politiques, d'accroître leur accès aux ressources de campagne, de renforcer les réseaux de solidarité et d'augmenter leur représentation dans les agendas et les processus démocratiques. Grâce aux réseaux sociaux, aux blogs, aux podcasts et aux vidéos promotionnelles, les femmes ont réussi à contourner les médias traditionnels tels que la télévision et la radio, afin de faire entendre leur voix directement et d'accéder à la prise de décision politique.

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Cohorte du Sommet pour la Démocratie sur l'Égalité des Genres en tant que Prérequis pour la Démocratie : Liberté des Médias

La liberté de la presse et la sécurité des femmes journalistes sont essentielles pour la force des processus et des institutions démocratiques. Cependant, les femmes ne sont pas représentées de manière équitable dans les médias. Une étude de 2020 sur les médias au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Kenya, en Inde, en Afrique du Sud et au Nigeria a révélé que les femmes ne représentaient qu’entre 15 % et 30 % des sujets des reportages d'actualité.

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La Stratégie pour l’égalité entre les hommes et les femmes 2022-2025, alignée sur notre Plan Stratégique, soutient les pays et les communautés pour accélérer les progrès en matière d’égalité entre les hommes et les femmes et d’autonomisation des femmes pour les quatre prochaines années. Elle vise à dépasser les efforts ponctuels et à aider les pays à modifier les structures de pouvoir et les systèmes économiques, sociaux et politiques qui perpétuent la discrimination.

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Depuis 2013, le Forum international des femmes autochtones (FIMI) décerne le « Prix du leadership », en reconnaissance des femmes ou des groupes de Femmes autochtones qui, par leur travail, leur engagement et leur responsabilité, réalisent des changements significatifs dans leur communauté ou au- delà. En 2021, FIMI a dédié le Prix du leadership FIMI à la résilience et à la force des organisations de Femmes autochtones qui se sont unies pour lutter contre la covid-19.

Ces organisations se sont démarquées par leur persévérance, leurs efforts collectifs et leur leadership pour prévenir la contagion, protéger les familles et les communautés, et contribuer à créer des conditions propices pour survivre aux difficultés physiques, mentales et spirituelles, tant individuellement que collectivement.

FIMI partage ici leurs histoires afin de mieux reconnaître et faire connaître les stratégies déployées par les Femmes autochtones pour combattre la pandémie. Toutes ont su faire face à des situations extrêmes, transmutant la douleur en actions transformatrices. Pour ce faire, elles ont adopté des mesures créatives ancrées dans les pratiques et les savoirs ancestraux de leurs Peuples. Comme l’exprime l’une d’elles, Rosimere Maria Vieira Teles, du peuple Arapaço : « Nos cœurs souffraient, mais nous nous sommes levées et nous nous sommes battues pour la vie. »

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Comme chaque année, l'Arcom, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, (ex-CSA), publie son rapport sur la représentation des femmes à la télévision et à la radio. L’exercice 2021 révèle une amélioration de la présence des femmes à l’antenne.

La juste représentation des femmes et des hommes sur les antennes et la lutte contre les discriminations en raison du sexe constituent des missions essentielles pour l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, l'Arcom. L'Autorité accompagne les médias audiovisuels, modèles de représentations et leviers de changements sociaux, afin qu’ils améliorent la représentation des femmes sur leurs antennes et enrichissent leurs programmations pour lutter contre les stéréotypes de genre et les violences faites aux femmes.

Cliquez ici pour accéder au rapport.

Les rédactions, en particulier celles de la presse écrite et de la radio, sont encore composées d’une majorité d’hommes.

En 2020, 41 % des reporters dans les journaux, radios et télévisions en Europe sont des femmes, contre 34 % en 2000 : une lente progression de +7 % en vingt ans, selon la sixième édition du Global Media Monitoring Project (GMMP 2020). Il n’en reste pas moins que les femmes deviennent plus facilement présentatrices et journalistes, la parité étant presque acquise dans ces fonctions, avec 47 % de femmes en 2020, ici aussi avec lenteur, +7 % par rapport à 2000. En Europe, les femmes représentent, en moyenne, 46 % de journalistes à la télévision, 43 % sur Twitter, 41 % sur internet et 40 % dans la presse écrite, contre seulement 33 % à la radio.

Cliquez ici pour lire larticle publié par La revue européenne des médias numériques, le 26 avril 2022.