Leadership des femmes
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À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, zoom sur ces dirigeantes d’État ou d’institutions qui font le monde.
D’année en année, la proportion de femmes ayant des hautes responsabilités augmente. Doucement, sûrement, mais trop faiblement encore. L’étude de l’Union interparlementaire, établie tous les ans à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, montre que la proportion de femmes parlementaires s’établit en 2022 à 26,1 %, en progression de 0,6 point. L’organisation salue « le rôle des quotas » dans cette progression et son président Duarte Pacheco félicite « le succès des dirigeantes pour atténuer l’impact du Covid-19 sur la santé et la vie de leurs habitants ». Mais plus les responsabilités augmentent, moins les femmes sont nombreuses : un peu moins de 22 % des portefeuilles ministériels étaient gérés par des femmes en 2021, seulement neuf femmes étaient élues à la tête d’un État (sur 152) et seulement treize sont cheffes de gouvernement (sur 193), signe des « inégalités largement persistantes » dans le milieu politique. Certaines occupent toutefois de grandes responsabilités publiques et contribuent à une vision de la politique qui n’est plus seulement entre les mains des hommes.
Cliquez ici pour lire l’article publié par La Nouvelle République, le 8 mars 2022.
Recevant les femmes lauréates du Programme du Réseau des femmes émergentes en politique de l’Union du fleuve Mano (RFE), à son cabinet à Cocody Les Ambassades, la Première Dame Dominique Ouattara salue le choix de ces dames de vouloir participer à la vie politique de leurs pays.
Le jeudi 17 mars 2022, la Première Dame Dominique Ouattara a reçu à son cabinet à Abidjan Cocody, la deuxième promotion des lauréates du Programme du Réseau des femmes émergentes en politique de l’Union du fleuve Mano (RFE). Elles étaient accompagnées de la ministre de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, Anne Désirée Ouloto, leur marraine.
La Première Dame Dominique Ouattara les a saluées pour leur adhésion à ce programme qui, en fin de compte, leur permettra de participer à la vie politique de leurs pays. «Je voudrais vous dire que je trouve admirable votre choix de participer à la vie politique de votre pays. (….) Je vous encourage à continuer sur cette lancée», a lancé la Première Dame.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Afriki Press, le 18 mars 2022.
La petite municipalité de Bolton-Est, dans la MRC de Memphrémagog, participe à un jumelage avec le Bénin afin d’encourager la participation des femmes sur la scène municipale. Bolton-Est est la seule municipalité québécoise à faire partie de ce projet de la Fédération canadienne des municipalités (FCM).
L’initiative s’inscrit dans le cadre des Partenariats municipaux pour l’innovation – Femmes en politique locale (PMI-FPL). Celui-ci vise également à faire la promotion de l’égalité des genres dans les gouvernements locaux. Il est aussi mis en œuvre au Ghana, en Zambie, au Sri Lanka et au Cambodge et doit s’étirer jusqu’en 2027.
On retrouve aussi, au Québec, les MRC de Marguerite-d’Youville et d’Argenteuil qui y prennent part.
Cliquez ici pour lire l’article publié par La Tribune, le 5 mars 2022.
Joe Biden a nommé une juriste de 51 ans au parcours atypique : diplômée de Harvard, elle a aussi travaillé au bureau des avocats commis d’office et à la commission chargée de réduire les inégalités raciales dans la justice.
En annonçant, vendredi 25 février, la nomination de la juge Ketanji Brown Jackson pour remplacer le juge Stephen Breyer à la Cour suprême, Joe Biden a justifié son choix par l’histoire, comme une forme de réparation des injustices. «Pendant trop longtemps, notre gouvernement, nos tribunaux n’ont pas ressemblé à l’Amérique, a-t-il souligné. Il est temps que la cour reflète tous les talents et la grandeur de notre pays.»
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde, le 26 février 2022.
La question de l’autonomisation politique et technique des femmes pour occuper les fonctions de leadership au sein des instances élues a été au centre d’une rencontre, tenue par visioconférence, entre la Commune de Tétouan et la Commune espagnole de Terrassa.
Les participantes à cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre du projet «Egalité en Méditerranée», ont souligné la nécessité de l’autonomisation politique et technique des femmes, afin d’ouvrir d’autres horizons pour les femmes devant leur permettre d’occuper les fonctions de leadership, notamment dans les instances élues locales, provinciales et régionales.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Map, le 22 février 2022.
Ce guide est conçu pour accroître la compréhension des obligations légales des pays de la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre pour parvenir à l'égalité des sexes dans la prise de décision. Il se concentre sur le renforcement des efforts visant à améliorer le cadre juridique dans la région afin de garantir que les lois soient clairement rédigées, applicables et efficaces. Une attention particulière est accordée aux processus par lesquels les lois soutenant la participation politique des femmes sont élaborées, négociées, rédigées, adoptées et mises en œuvre. Il vise à renforcer les processus législatifs qui renforcent et garantissent les droits légaux des femmes qui souhaitent se présenter aux élections et qui sont prêtes à occuper des postes de leadership dans leurs parlements et gouvernements. Des instruments juridiques sont présentés, ces derniers peuvent être utilisés pour faire progresser la participation politique des femmes.
Les expériences comparatives présentées dans ce guide abordent à la fois des exemples de bonnes pratiques et des lois qui ont échoué parce que leurs réglementations étaient imprécises, peu claires et/ou manquaient de sanctions efficaces. Le guide présente également diverses dispositions de lois résultant de différentes exigences constitutionnelles ou systèmes électoraux, en évaluant leurs avantages et leurs inconvénients.
Cliquez ici pour télécharger le guide publié par ONU Femmes en 2021.