Bochra Bel Haj Hmida: Le parcours, les combats
Source: Huffpost Maghreb
Bochra Bel Haj Hmida, est un personnage qui ne laisse pas indifférent entre ses détracteurs et ses admirateurs.
35 ans de carrière en tant qu’avocate et militante, la native de Zaghouan, est selon vous, la personnalité politique de l’année 2018, large vainqueur de vos votes lors de notre sondage.
Qui est-elle vraiment? Elle s’est livrée au HuffPost Tunisie.
Comme beaucoup d’étudiants et d’étudiantes de sa génération, son berceau politique était l’Union générale des étudiants de Tunisie (UGET). Au sein de cette mouvance militante estudiantine, elle s’est confrontée aux débats politiques et intellectuels. Elle s’est cognée aussi aux dogmes des uns et des autres et aux archaïsmes des milieux se présentant comme progressistes, raconte-t-elle.
Pour faire face à la banalisation de la misogynie et aux discriminations envers les femmes, elle décide, avec d’autres militantes, de fonder l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates (ATFD) en 1989. Une association dont elle sera la présidente de 1995 à 2001.
“En fondant l’association, on ne s’attendait pas à un tel chantier. Au fur et à mesure de notre lutte, des combats s’imposaient, comme contre les violences, d’où le lancement, dès 1992, du centre d’écoute des femmes victimes de violences”, affirme-t-elle.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Huffpost Maghreb le 2 janvier 2019.
Bochra Bel Haj Hmida, est un personnage qui ne laisse pas indifférent entre ses détracteurs et ses admirateurs.
35 ans de carrière en tant qu’avocate et militante, la native de Zaghouan, est selon vous, la personnalité politique de l’année 2018, large vainqueur de vos votes lors de notre sondage.
Qui est-elle vraiment? Elle s’est livrée au HuffPost Tunisie.
Comme beaucoup d’étudiants et d’étudiantes de sa génération, son berceau politique était l’Union générale des étudiants de Tunisie (UGET). Au sein de cette mouvance militante estudiantine, elle s’est confrontée aux débats politiques et intellectuels. Elle s’est cognée aussi aux dogmes des uns et des autres et aux archaïsmes des milieux se présentant comme progressistes, raconte-t-elle.
Pour faire face à la banalisation de la misogynie et aux discriminations envers les femmes, elle décide, avec d’autres militantes, de fonder l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates (ATFD) en 1989. Une association dont elle sera la présidente de 1995 à 2001.
“En fondant l’association, on ne s’attendait pas à un tel chantier. Au fur et à mesure de notre lutte, des combats s’imposaient, comme contre les violences, d’où le lancement, dès 1992, du centre d’écoute des femmes victimes de violences”, affirme-t-elle.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Huffpost Maghreb le 2 janvier 2019.