Violences sexuelles en politique, en France: «Il est temps de faire en sorte que des agresseurs ne soient pas élus»
Source: Le JDD
INTERVIEW. L’Observatoire des violences sexuelles en politique appelle à ne pas investir des candidats mis en cause dans des affaires de violences sexistes et sexuelles. «Nous ne pouvons plus tolérer ces agissements», dénonce Mathilde Viot, cofondatrice de l’Observatoire.
A l’approche des élections législatives , l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique, fondé par les militantes à l’origine du « #MeTooPolitique, se mobilise et appelle les partis à n’investir aucun candidat mis en cause pour des faits de violences sexuelles. L’objectif : « pour que ces élections ne deviennent pas des législatives de la honte et pour une Assemblée nationale exemplaire ». Un enjeu pour « protéger les femmes qui travaillent en politique », explique au JDD Mathilde Viot, cofondatrice de l’Observatoire, mais aussi pour assurer une meilleure représentation nationale.
Cliquez ici pour lire l’interview publiée par Le JDD, le 28 avril 2022.
INTERVIEW. L’Observatoire des violences sexuelles en politique appelle à ne pas investir des candidats mis en cause dans des affaires de violences sexistes et sexuelles. «Nous ne pouvons plus tolérer ces agissements», dénonce Mathilde Viot, cofondatrice de l’Observatoire.
A l’approche des élections législatives , l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique, fondé par les militantes à l’origine du « #MeTooPolitique, se mobilise et appelle les partis à n’investir aucun candidat mis en cause pour des faits de violences sexuelles. L’objectif : « pour que ces élections ne deviennent pas des législatives de la honte et pour une Assemblée nationale exemplaire ». Un enjeu pour « protéger les femmes qui travaillent en politique », explique au JDD Mathilde Viot, cofondatrice de l’Observatoire, mais aussi pour assurer une meilleure représentation nationale.
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