Élections municipales en France : où seront les femmes ?
Source: Ouest-france
La place des femmes dans les conseils municipaux va-t-elle s’améliorer à l’issue des élections ? Parmi les 30 400 maires élus à l’issue du premier tour du 15 mars, 18,6 % sont des femmes dans les communes de plus de 1 000 habitants. Et 21 % dans les communes de moins de 1 000 habitants , explique Martial Foucault, directeur du Cevipof, Centre de recherches politiques de Science Po. Selon lui, la part des femmes maires devrait attendre autour de 20 % à l’issue de l’élection municipale 2020. Une petite avancée : à l’issue des précédentes élections, en 2014, elles étaient 16 %.
La place des femmes dans les conseils municipaux va-t-elle s’améliorer à l’issue des élections ? Parmi les 30 400 maires élus à l’issue du premier tour du 15 mars, 18,6 % sont des femmes dans les communes de plus de 1 000 habitants. Et 21 % dans les communes de moins de 1 000 habitants , explique Martial Foucault, directeur du Cevipof, Centre de recherches politiques de Science Po. Selon lui, la part des femmes maires devrait attendre autour de 20 % à l’issue de l’élection municipale 2020. Une petite avancée : à l’issue des précédentes élections, en 2014, elles étaient 16 %.
La parité des listes est obligatoire dans les communes de plus de 1 000 habitants, qui ne représentent que 30 % des communes. Et l’alternance ne s’impose pas entre maire et premier adjoint, deux postes stratégiques, souvent raflés par les hommes. Les associations de femmes ont bataillé pour que cette exigence de parité s’impose aux communes de moins de 1 000 habitants. En vain. La discussion doit reprendre d’ici fin 2021. En revanche, une nouveauté (souvent passée inaperçue) dans la loi Engagement et proximité adoptée fin décembre : Dans les communes de plus de 1 000 habitants, une alternance homme-femme doit être observée entre les adjoints, rappelle explique Joséphine Delpeyrat, représentante du réseau Élues locales. Or parmi les maires déjà élus, certains ont composé leur équipe sans respecter cette nouvelle règle . Des listes d’adjoints sont donc retoquées par les préfectures et les maires obligés de revoir leur copie pour présenter des listes d’adjoints dites chabadabada .
Cliquez ici pour lire l’article publié par Ouest France le 15 juin 2020.
La place des femmes dans les conseils municipaux va-t-elle s’améliorer à l’issue des élections ? Parmi les 30 400 maires élus à l’issue du premier tour du 15 mars, 18,6 % sont des femmes dans les communes de plus de 1 000 habitants. Et 21 % dans les communes de moins de 1 000 habitants , explique Martial Foucault, directeur du Cevipof, Centre de recherches politiques de Science Po. Selon lui, la part des femmes maires devrait attendre autour de 20 % à l’issue de l’élection municipale 2020. Une petite avancée : à l’issue des précédentes élections, en 2014, elles étaient 16 %.
La place des femmes dans les conseils municipaux va-t-elle s’améliorer à l’issue des élections ? Parmi les 30 400 maires élus à l’issue du premier tour du 15 mars, 18,6 % sont des femmes dans les communes de plus de 1 000 habitants. Et 21 % dans les communes de moins de 1 000 habitants , explique Martial Foucault, directeur du Cevipof, Centre de recherches politiques de Science Po. Selon lui, la part des femmes maires devrait attendre autour de 20 % à l’issue de l’élection municipale 2020. Une petite avancée : à l’issue des précédentes élections, en 2014, elles étaient 16 %.
La parité des listes est obligatoire dans les communes de plus de 1 000 habitants, qui ne représentent que 30 % des communes. Et l’alternance ne s’impose pas entre maire et premier adjoint, deux postes stratégiques, souvent raflés par les hommes. Les associations de femmes ont bataillé pour que cette exigence de parité s’impose aux communes de moins de 1 000 habitants. En vain. La discussion doit reprendre d’ici fin 2021. En revanche, une nouveauté (souvent passée inaperçue) dans la loi Engagement et proximité adoptée fin décembre : Dans les communes de plus de 1 000 habitants, une alternance homme-femme doit être observée entre les adjoints, rappelle explique Joséphine Delpeyrat, représentante du réseau Élues locales. Or parmi les maires déjà élus, certains ont composé leur équipe sans respecter cette nouvelle règle . Des listes d’adjoints sont donc retoquées par les préfectures et les maires obligés de revoir leur copie pour présenter des listes d’adjoints dites chabadabada .
Cliquez ici pour lire l’article publié par Ouest France le 15 juin 2020.