Canada : Une course exclusivement féminine dans Charlevoix-Côte-de-Beaupré
Source: Ici Radio
S'il est difficile de prévoir quel parti représentera Charlevoix-Côte-de-Beaupré à l'Assemblée nationale au cours des prochaines années, il existe toutefois une certitude : une femme sera élue députée dans cette circonscription le 1er octobre prochain. Portraits des candidates des quatre principaux partis qui se livrent bataille.
Caroline Simard, 44 ans, candidate du Parti libéral du Québec
La députée sortante avait causé la surprise en 2014. Elle a battu nulle autre que Pauline Marois, l'ex-première ministre du Québec. La principale intéressée affirme qu'elle mène une campagne « en continuité » depuis cette victoire.
« J'ai été très présente sur le terrain. J'ai mené une campagne positive et, depuis, j'ai fait du terrain 7 jours sur 7 depuis 4 ans et demi », raconte l’ancienne entrepreneure qui travaille au-delà de 80 heures par semaine, selon ses dires.
Mme Simard voit d'un très bon oeil l'arrivée des trois autres candidates. Elle sourit lorsqu’on lui rappelle que les autres candidates sont plus ou moins dans la même catégorie d'âge qu'elle.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Ici Radio le 28 août 2018.
S'il est difficile de prévoir quel parti représentera Charlevoix-Côte-de-Beaupré à l'Assemblée nationale au cours des prochaines années, il existe toutefois une certitude : une femme sera élue députée dans cette circonscription le 1er octobre prochain. Portraits des candidates des quatre principaux partis qui se livrent bataille.
Caroline Simard, 44 ans, candidate du Parti libéral du Québec
La députée sortante avait causé la surprise en 2014. Elle a battu nulle autre que Pauline Marois, l'ex-première ministre du Québec. La principale intéressée affirme qu'elle mène une campagne « en continuité » depuis cette victoire.
« J'ai été très présente sur le terrain. J'ai mené une campagne positive et, depuis, j'ai fait du terrain 7 jours sur 7 depuis 4 ans et demi », raconte l’ancienne entrepreneure qui travaille au-delà de 80 heures par semaine, selon ses dires.
Mme Simard voit d'un très bon oeil l'arrivée des trois autres candidates. Elle sourit lorsqu’on lui rappelle que les autres candidates sont plus ou moins dans la même catégorie d'âge qu'elle.
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