Elections communales 2018: plus de femmes dans les collèges échevinaux à Bruxelles
Source: Le Vif
Il y aura plus de femmes au sein du collège des bourgmestre et échevins des communes de la capitale à l'issue du scrutin communal d'octobre prochain. Après en avoir débattu, le parlement bruxellois a adopté vendredi à une très large majorité (66 pour, un contre et douze abstentions) une proposition d'ordonnance tendant à y instaurer la parité.
Le texte prévoit toutefois une série de dérogations pour tenir compte des obstacles empêchant d'atteindre ou de maintenir cet objectif à commencer par la possibilité réelle que le nombre d'élu(e)s ne le permette pas.
Une partie des élus MR et N-VA se sont abstenus. Les autres ont voté pour comme les autres groupes hormis le Vlaams Belang.
Tout en votant quant à elle pour le texte au nom du noble principe qu'il soutient, Viviane Teitelbaum (MR) a estimé qu'il eut fallu adopter un changement plus progressif pour laisser le temps aux acteurs de s'adapter à la réalité politique, d'autant que certaines dispositions posent question sur le plan juridique. De plus, le risque existe de voir le dispositif provoquer un marchandage lors de la constitution d'une majorité comptant plusieurs formations.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Vif le 9 février 2018.
Il y aura plus de femmes au sein du collège des bourgmestre et échevins des communes de la capitale à l'issue du scrutin communal d'octobre prochain. Après en avoir débattu, le parlement bruxellois a adopté vendredi à une très large majorité (66 pour, un contre et douze abstentions) une proposition d'ordonnance tendant à y instaurer la parité.
Le texte prévoit toutefois une série de dérogations pour tenir compte des obstacles empêchant d'atteindre ou de maintenir cet objectif à commencer par la possibilité réelle que le nombre d'élu(e)s ne le permette pas.
Une partie des élus MR et N-VA se sont abstenus. Les autres ont voté pour comme les autres groupes hormis le Vlaams Belang.
Tout en votant quant à elle pour le texte au nom du noble principe qu'il soutient, Viviane Teitelbaum (MR) a estimé qu'il eut fallu adopter un changement plus progressif pour laisser le temps aux acteurs de s'adapter à la réalité politique, d'autant que certaines dispositions posent question sur le plan juridique. De plus, le risque existe de voir le dispositif provoquer un marchandage lors de la constitution d'une majorité comptant plusieurs formations.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Vif le 9 février 2018.