Les hommes et les femmes politiques ressentent aussi des émotions. Distancée par son ancien compagnon, François Hollande, mais aussi par Martine Aubry et Arnaud Montebourg, Ségolène Royal a failli craquer devant les caméras et les micros. A la sortie de son QG, sous les applaudissements de ses supporters, la présidente de la région Poitou-Charente a d’abord donné le change en répondant à une question d’ordre politicienne sur sa consigne de vote. Et puis l’émotion l’a submergée, rendant cette femme habituellement au sang froid soudain si humaine. «Là c’est dur», concède-t-elle. Silence. La suite est embuée par les larmes, la voix voilée par les sanglots retenus. «C’est beaucoup de choses données et beaucoup de déception pour tous ceux qui m’ont soutenue. C’est très dur». «On vous aimera toujours», glisse une dame derrière elle. Ségolène Royal se redresse alors, dans un sourire, et reprend son chemin loin des caméras.
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Les hommes et les femmes politiques ressentent aussi des émotions. Distancée par son ancien compagnon, François Hollande, mais aussi par Martine Aubry et Arnaud Montebourg, Ségolène Royal a failli craquer devant les caméras et les micros. A la sortie de son QG, sous les applaudissements de ses supporters, la présidente de la région Poitou-Charente a d’abord donné le change en répondant à une question d’ordre politicienne sur sa consigne de vote. Et puis l’émotion l’a submergée, rendant cette femme habituellement au sang froid soudain si humaine. «Là c’est dur», concède-t-elle. Silence. La suite est embuée par les larmes, la voix voilée par les sanglots retenus. «C’est beaucoup de choses données et beaucoup de déception pour tous ceux qui m’ont soutenue. C’est très dur». «On vous aimera toujours», glisse une dame derrière elle. Ségolène Royal se redresse alors, dans un sourire, et reprend son chemin loin des caméras.
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