Législatives 2020 et quota-genre Burkina Faso : Les espoirs d’une représentativité des femmes n’ont pas été comblés
Source: Le Faso
A quelques jours des élections législatives, quel état des lieux peut-on faire de la loi sur le quota-genre, votée en janvier 2020 ? Pour répondre à cette préoccupation, l’Institut Général Tiémoko Marc Garango (IGD) a organisé, ce vendredi 23 octobre 2020 à Ouagadougou, un dialogue politique qui a réuni plusieurs acteurs politiques, civils et des partenaires techniques de la question.
Cette loi visait à accroître la représentativité des femmes à l’Assemblée nationale qui a, faut-il le rappeler, compté onze femmes à l’issue des législatives de 2015, contre 24 au scrutin de 2012 alors qu’en 2007, elles étaient 17 sur les 111 députés d’alors. D’où l’intérêt pour la question, lorsqu’on sait que les femmes sont, numériquement, les plus importantes et que leur contribution à la vie socio-économique est grande.
Cette loi a introduit, entre autres, une modalité de positionnement alterné femme-homme ou homme-femme des candidats, aussi bien pour la liste des titulaires que pour les suppléants ; une proposition d’un quota de 30% sur les candidatures de l’ensemble des listes figure dans cette loi. Comme ‘’sanction’’, la loi propose un surplus de 20% du montant alloué par l’Etat pour la campagne électorale à tout parti politique qui respecte les nouvelles dispositions.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Faso le 26 octobre 2020.
A quelques jours des élections législatives, quel état des lieux peut-on faire de la loi sur le quota-genre, votée en janvier 2020 ? Pour répondre à cette préoccupation, l’Institut Général Tiémoko Marc Garango (IGD) a organisé, ce vendredi 23 octobre 2020 à Ouagadougou, un dialogue politique qui a réuni plusieurs acteurs politiques, civils et des partenaires techniques de la question.
Cette loi visait à accroître la représentativité des femmes à l’Assemblée nationale qui a, faut-il le rappeler, compté onze femmes à l’issue des législatives de 2015, contre 24 au scrutin de 2012 alors qu’en 2007, elles étaient 17 sur les 111 députés d’alors. D’où l’intérêt pour la question, lorsqu’on sait que les femmes sont, numériquement, les plus importantes et que leur contribution à la vie socio-économique est grande.
Cette loi a introduit, entre autres, une modalité de positionnement alterné femme-homme ou homme-femme des candidats, aussi bien pour la liste des titulaires que pour les suppléants ; une proposition d’un quota de 30% sur les candidatures de l’ensemble des listes figure dans cette loi. Comme ‘’sanction’’, la loi propose un surplus de 20% du montant alloué par l’Etat pour la campagne électorale à tout parti politique qui respecte les nouvelles dispositions.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Faso le 26 octobre 2020.