La Grèce élit sa première femme présidente
Source: 20 Minutes
La magistrate Ekaterini Sakellaropoulou, 63 ans, a été élue mercredi à une vaste majorité présidente de la République hellénique, devenant la première femme de l'histoire de la Grèce à accéder à ce poste essentiellement honorifique.
Cheveux noirs coupés au carré et petites lunettes rondes, l'actuelle présidente du Conseil d'Etat, fervente défenseuse de l'environnement, a été élue dès le premier tour du scrutin, sur proposition du premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, par 261 députés sur 300.
«Ekaterini Sakellaropoulou est élue présidente de la République», a déclaré le président du parlement, Costas Tassoulas, à l'issue du vote à la Vouli (parlement).
Cette juge expérimentée prêtera serment le 13 mars, le jour même de la fin du mandat de son prédécesseur, le conservateur Prokopis Pavlopoulos.
Ekaterini Sakellaropoulou est présentée comme la candidate de «l'unité» et du «progrès» par le chef du gouvernement conservateur, qui l'a habilement choisie à ce poste car elle transcende les divisions partisanes traditionnelles.
Cliquez ici pour lire l’article publié par 20 Minutes le 22 janvier 2020.
La magistrate Ekaterini Sakellaropoulou, 63 ans, a été élue mercredi à une vaste majorité présidente de la République hellénique, devenant la première femme de l'histoire de la Grèce à accéder à ce poste essentiellement honorifique.
Cheveux noirs coupés au carré et petites lunettes rondes, l'actuelle présidente du Conseil d'Etat, fervente défenseuse de l'environnement, a été élue dès le premier tour du scrutin, sur proposition du premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, par 261 députés sur 300.
«Ekaterini Sakellaropoulou est élue présidente de la République», a déclaré le président du parlement, Costas Tassoulas, à l'issue du vote à la Vouli (parlement).
Cette juge expérimentée prêtera serment le 13 mars, le jour même de la fin du mandat de son prédécesseur, le conservateur Prokopis Pavlopoulos.
Ekaterini Sakellaropoulou est présentée comme la candidate de «l'unité» et du «progrès» par le chef du gouvernement conservateur, qui l'a habilement choisie à ce poste car elle transcende les divisions partisanes traditionnelles.
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