La lutte des femmes noires en politique a commencé dès la Résistance française
Source: The Conversation
Quand une femme noire, métisse ou issue d’une minorité ethnique occupe un haut poste dans la fonction publique, en Europe comme aux États-Unis, il semblerait que chacune de ses actions soit méticuleusement décortiquée et scrutée.
C’est le cas aux États-Unis de quatre députées du Congrès américain, surnommées « The Squad » par les médias. Alexandria Ocasio-Cortez, Rashida Tlaib, Ayanna Pressley et Ilhan Omar voient souvent leur citoyenneté remise en question non seulement dans les médias mais aussi au sein du gouvernement. Aux yeux de certains, elles ne sont pas assez américaines.
Outre-Atlantique, dans des pays où l’on se targue, comme en France, d’être moins raciste qu’aux États-Unis, des femmes ministres de gouvernements ont fait l’objet d’accusations similaires ces dernières années.
Cliquez ici pour lire l’article publié par The Conversation le 6 août 2019.
Quand une femme noire, métisse ou issue d’une minorité ethnique occupe un haut poste dans la fonction publique, en Europe comme aux États-Unis, il semblerait que chacune de ses actions soit méticuleusement décortiquée et scrutée.
C’est le cas aux États-Unis de quatre députées du Congrès américain, surnommées « The Squad » par les médias. Alexandria Ocasio-Cortez, Rashida Tlaib, Ayanna Pressley et Ilhan Omar voient souvent leur citoyenneté remise en question non seulement dans les médias mais aussi au sein du gouvernement. Aux yeux de certains, elles ne sont pas assez américaines.
Outre-Atlantique, dans des pays où l’on se targue, comme en France, d’être moins raciste qu’aux États-Unis, des femmes ministres de gouvernements ont fait l’objet d’accusations similaires ces dernières années.
Cliquez ici pour lire l’article publié par The Conversation le 6 août 2019.