Les femmes présidentes sont davantage remises en cause que les hommes
Source: Madame Figaro
Une nouvelle étude pointe du doigt le sexisme ordinaire auquel font encore face les femmes politiques. Même quand ces dernières sont à la tête d’un pays, le phénomène persiste.
Le 30 mars dernier, l’avocate anti-corruption Zuzana Caputova est devenue la première femme présidente de la Slovaquie. Comme elle, de plus en plus de femmes accèdent au pouvoir et dirigent des pays. C’est le cas de l’ancienne diplomate française Salomé Zourabichvili, aujourd’hui à la tête de la Géorgie, ou encore de Kolinda Grabar-Kitarović, présidente de la Croatie.
Reste qu’une fois élues, ces présidentes sont confrontées aux stéréotypes de genre qui persistent encore. «En moyenne, les dirigeantes entrent en fonction avec moins de soutien que les dirigeants masculins et leurs soutiens s'érodent plus rapidement. Le public peut retirer rapidement et fortement son appui aux femmes dirigeantes à la suite de l'échec des politiques en matière de sécurité et de corruption publique», observe Ryan Carlin, professeur agrégé de sciences politiques à l’université de Géorgie aux États-Unis, comme le rapporte le média Futurity.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Madame Figaro le 8 mai 2019.
Une nouvelle étude pointe du doigt le sexisme ordinaire auquel font encore face les femmes politiques. Même quand ces dernières sont à la tête d’un pays, le phénomène persiste.
Le 30 mars dernier, l’avocate anti-corruption Zuzana Caputova est devenue la première femme présidente de la Slovaquie. Comme elle, de plus en plus de femmes accèdent au pouvoir et dirigent des pays. C’est le cas de l’ancienne diplomate française Salomé Zourabichvili, aujourd’hui à la tête de la Géorgie, ou encore de Kolinda Grabar-Kitarović, présidente de la Croatie.
Reste qu’une fois élues, ces présidentes sont confrontées aux stéréotypes de genre qui persistent encore. «En moyenne, les dirigeantes entrent en fonction avec moins de soutien que les dirigeants masculins et leurs soutiens s'érodent plus rapidement. Le public peut retirer rapidement et fortement son appui aux femmes dirigeantes à la suite de l'échec des politiques en matière de sécurité et de corruption publique», observe Ryan Carlin, professeur agrégé de sciences politiques à l’université de Géorgie aux États-Unis, comme le rapporte le média Futurity.
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