En Iran, la question des droits à la citoyenneté pleine des femmes est devenue un enjeu politique majeur et un défi que les femmes ont à relever face à un régime fondé sur les inégalités entre les hommes et les femmes. C’est dans cette optique que 137 d’entre elles (sur 1 636 personnes) ont saisi l’occasion de la présidentielle du 19 mai 2017 pour se porter candidates.
Au final, six noms ont été retenus par le Conseil des gardiens de la Constitution, mais aucun féminin.
Parmi elles figurait Azam Taleqani, la fille de l’Ayatollah révolutionnaire Mahmoud Taleqani, qui a été la première en 1997 des huit femmes qui ont concouru à la magistrature suprême. Souffrante, elle s’est déplacée cette année avec un déambulateur pour renouveler son défi au pouvoir du très conservateur Conseil de surveillance, nommé par le Guide, qui habilite des candidats à toutes les élections et veille à la compatibilité des lois votées par le Parlement avec l’islam et la Constitution.
Cliquez ici pour lire l’article complet publié par Marianne le 16 mai 2017.
En Iran, la question des droits à la citoyenneté pleine des femmes est devenue un enjeu politique majeur et un défi que les femmes ont à relever face à un régime fondé sur les inégalités entre les hommes et les femmes. C’est dans cette optique que 137 d’entre elles (sur 1 636 personnes) ont saisi l’occasion de la présidentielle du 19 mai 2017 pour se porter candidates.
Au final, six noms ont été retenus par le Conseil des gardiens de la Constitution, mais aucun féminin.
Parmi elles figurait Azam Taleqani, la fille de l’Ayatollah révolutionnaire Mahmoud Taleqani, qui a été la première en 1997 des huit femmes qui ont concouru à la magistrature suprême. Souffrante, elle s’est déplacée cette année avec un déambulateur pour renouveler son défi au pouvoir du très conservateur Conseil de surveillance, nommé par le Guide, qui habilite des candidats à toutes les élections et veille à la compatibilité des lois votées par le Parlement avec l’islam et la Constitution.
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