Le harcèlement, qu’il soit physique ou psychologique sévit partout, dans tous les milieux et même dans les plus hautes sphères du monde politique. Les femmes politiques ne sont pas à l’abri des violences. Entre témoignages et analyses, coup d’œil sur un fléau qui ne se cache plus.
L’exhibition publique d’une violence historiquement ancrée
Les scandales récents de violence à l’égard des femmes, notamment l’affaire Denis Baupin ou l’affaire DSK, largement médiatisées sont venus mettre le doigt sur les failles d’une société encore blottie dans des mœurs passéistes et machistes. Ils ont permis, malgré leurs tristes conditions de faire entendre une cause et de révéler des comportements encore bien trop ancrés. C’est aussi que l’impact médiatique a pu susciter une prise de conscience non négligeable auprès de l’opinion publique.
Par ailleurs, comme nous l’explique Sandrine Rousseau, secrétaire nationale adjointe d’EELV, « l’élue qui au sein de son parti vient révéler des actes de violence peut mettre en péril son avenir professionnel ainsi que l’image même du parti ».
« Si une femme parle fort au Parlement, on lui fait signe de baisser d‘un ton (…) Mais cela ne se produit jamais lorsque c’est un homme. »- Lisa Mazzone, parlementaire Suisse.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Elues Locales le 19 juillet 2017.
Le harcèlement, qu’il soit physique ou psychologique sévit partout, dans tous les milieux et même dans les plus hautes sphères du monde politique. Les femmes politiques ne sont pas à l’abri des violences. Entre témoignages et analyses, coup d’œil sur un fléau qui ne se cache plus.
L’exhibition publique d’une violence historiquement ancrée
Les scandales récents de violence à l’égard des femmes, notamment l’affaire Denis Baupin ou l’affaire DSK, largement médiatisées sont venus mettre le doigt sur les failles d’une société encore blottie dans des mœurs passéistes et machistes. Ils ont permis, malgré leurs tristes conditions de faire entendre une cause et de révéler des comportements encore bien trop ancrés. C’est aussi que l’impact médiatique a pu susciter une prise de conscience non négligeable auprès de l’opinion publique.
Par ailleurs, comme nous l’explique Sandrine Rousseau, secrétaire nationale adjointe d’EELV, « l’élue qui au sein de son parti vient révéler des actes de violence peut mettre en péril son avenir professionnel ainsi que l’image même du parti ».
« Si une femme parle fort au Parlement, on lui fait signe de baisser d‘un ton (…) Mais cela ne se produit jamais lorsque c’est un homme. »- Lisa Mazzone, parlementaire Suisse.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Elues Locales le 19 juillet 2017.