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Les femmes au Parlement en 2012: Regard sur l’année écoulée

Report / White Paper

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March 11, 2013

Les femmes au Parlement en 2012: Regard sur l’année écoulée

L’année 2012 marque une augmentation de près d’un point de la moyenne mondiale (20,3%). Si l’on fait abstraction de 2007, c’est presque deux fois plus que la progression annuelle enregistrée  jusque-là. A la fin de l’année, 33 chambres basses et 17 chambres hautes avaient atteint le seuil des 30 % jugé nécessaire pour que les femmes puissent peser sur les décisions. C’est aussi plus de trois fois plus qu’il y a dix ans. En 2011, 30 chambres basses et 19 chambres hautes comptaient plus de 30% de femmes. Les nouveaux venus au club des pays ayant dépassé les 30% de femmes sont l’Algérie (31,6%), le Mexique (chambre basse: 36,8% et chambre haute: 32,8%), le Sénégal (42,7%), la Serbie (32,4%) et le Timor-Leste (38,5%).

On note également une diminution du nombre de parlements à l’autre extrémité du spectre. Fin 2012, 40 chambres comptaient moins de 10% de femmes dans leurs rangs, contre 69 il y a 10 ans et 46 en 2011. Fin 2012, six chambres basses et une chambre haute ne comptaient pas de femme, un total qui n’a pas évolué depuis 2011. Les parlements en question se trouvent principalement dans les deux régions où les femmes sont les moins bien représentées, à savoir pays arabes et Pacifique. Il s’agit des parlements de l’Arabie saoudite, d’Haïti, de la Micronésie, de Nauru, des Palaos, du Qatar et du Vanuatu.

En tout, 1 711 femmes ont remporté des sièges parlementaires, de sorte qu’elles comptent pour 18,7% des parlementaires élus ou nommés en 2012

On vous invite à lire le rapport complet publie par UIP

 

 

 

Type de ressource
Auteur
Union Interparlementaire
Editeur
UIP
Année de publication
2012

L’année 2012 marque une augmentation de près d’un point de la moyenne mondiale (20,3%). Si l’on fait abstraction de 2007, c’est presque deux fois plus que la progression annuelle enregistrée  jusque-là. A la fin de l’année, 33 chambres basses et 17 chambres hautes avaient atteint le seuil des 30 % jugé nécessaire pour que les femmes puissent peser sur les décisions. C’est aussi plus de trois fois plus qu’il y a dix ans. En 2011, 30 chambres basses et 19 chambres hautes comptaient plus de 30% de femmes. Les nouveaux venus au club des pays ayant dépassé les 30% de femmes sont l’Algérie (31,6%), le Mexique (chambre basse: 36,8% et chambre haute: 32,8%), le Sénégal (42,7%), la Serbie (32,4%) et le Timor-Leste (38,5%).

On note également une diminution du nombre de parlements à l’autre extrémité du spectre. Fin 2012, 40 chambres comptaient moins de 10% de femmes dans leurs rangs, contre 69 il y a 10 ans et 46 en 2011. Fin 2012, six chambres basses et une chambre haute ne comptaient pas de femme, un total qui n’a pas évolué depuis 2011. Les parlements en question se trouvent principalement dans les deux régions où les femmes sont les moins bien représentées, à savoir pays arabes et Pacifique. Il s’agit des parlements de l’Arabie saoudite, d’Haïti, de la Micronésie, de Nauru, des Palaos, du Qatar et du Vanuatu.

En tout, 1 711 femmes ont remporté des sièges parlementaires, de sorte qu’elles comptent pour 18,7% des parlementaires élus ou nommés en 2012

On vous invite à lire le rapport complet publie par UIP

 

 

 

Type de ressource
Auteur
Union Interparlementaire
Editeur
UIP
Année de publication
2012