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Plaidoyer et lobbying

«En tant que femmes et ministres des Affaires étrangères, nous sommes profondément déçues et préoccupées par le fait que les filles en Afghanistan se voient refuser l’accès aux écoles secondaires ce printemps», ont déclaré les ministres des Affaires étrangères d’Albanie, d’Andorre, d’Australie, de Belgique, de Bosnie, du Canada, d’Estonie, d’Allemagne, d’Islande, Kosovo, Malawi, Mongolie, Nouvelle-Zélande, Suède, Tonga et Grande-Bretagne ont déclaré dans un communiqué commun.

«Nous appelons les talibans à revenir sur leur récente décision et à accorder un accès égal à tous les niveaux d’éducation, dans toutes les provinces du pays», ont-ils ajouté.

Cliquez ici pour lire larticle publié par News 24, le 25 mars 2022.


Francine Jeanprêtre constate des avancées en matière de représentation des femmes, mais regrette que certaines listes électorales soient très loin de la parité.

Depuis des décennies, la place des femmes dans la société est un sujet récurrent. Toutefois, grâce à de jeunes femmes déterminées, aux manifestations qu’elles ont organisées, ce statut est devenu plus visible avec des percées réjouissantes, à l’image du Conseil d’État vaudois en majorité féminin et à la progression féminine aux Chambres fédérales.

L’état des lieux est cependant contrasté! Pour preuve, une découverte désopilante dans le florilège des publicités reçues pour les dernières élections vaudoises: un tous-ménages distribué par l’UDC de ma région: 16 candidats dont 15 messieurs souriants, ayant mis en valeur leurs avantages politique, professionnel, ou associatif, reléguant en bas de la photo une dame d’âge mûr qui esquisse un léger sourire.

Cliquez ici pour lire larticle publié par 24 heures, le 31 mars 2022.

La Représentante Spéciale Adjointe du Secrétaire Général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Mme Giovanie Biha, a présidé la première édition du Forum annuel des femmes pour la paix et la sécurité en Afrique de l’Ouest et au Sahel, qui s’est tenu les 14 et 15 mars à Nouakchott, capitale de la République islamique de Mauritanie.

Organisé par le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS) et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), avec le soutien des autorités mauritaniennes, le Forum avait pour thème «Les femmes et participation aux instances de prise de décision  bâtir une action stratégique productrice de résultats et d’impact durables.» 

Cliquez ici pour lire larticle publié par UNOWAS, le 16 mars 2022.

Faire progresser l’égalité des sexes dans le contexte de la crise climatique et de la réduction des risques de catastrophes est l’un des plus grands défis mondiaux du 21e siècle. Le thème de la Journée internationale des femmes retenu cette année (8 mars), est « L’égalité des sexes aujourd’hui pour un avenir durable ». Il nous permet d’explorer la façon dont les femmes et les filles mènent la voie en matière d’adaptation, d’atténuation et de réponse aux changements climatiques dans le monde entier, en se transformant en leaders puissantes et porteuses de changement pour un avenir plus durable pour l’ensemble de l’humanité.

Lors de la célébration officielle de la Journée internationale des femmes à l’ONU, M. António Guterres, le Secrétaire général, a souligné l’importance du rôle des femmes et des filles dans la lutte contre les changements climatiques. « Nous avons besoin de plus de femmes ministres de l’Environnement, ou Premières ministres, Présidentes et cheffes d’entreprise. Elles ont le pouvoir d’inciter les pays à affronter la crise climatique, à créer des emplois verts et à construire un monde plus juste et plus durable. Nous ne pouvons pas sortir de la pandémie en faisant tourner l’horloge à l’envers sur l’égalité des sexes." 

Cliquez ici pour lire larticle publié par ONU Femmes, le 8 mars 2022.

Par Merete Juhl, Tarja Fernández, Unnur Orradótir Ramette, Martin Yttervik et Ann Dismorr

Alors que le Liban subit de plein fouet une crise financière, économique, sociale et politique de plus en plus grave et sans précédent, un dangereux message qualifiant les problèmes des femmes comme dérisoires est en mouvement. Accepter cette fausse supposition risque sérieusement de dégrader les acquis concernant l’égalité des genres et les droits des femmes au Liban. La tendance actuelle à faire « un pas en avant, deux pas en arrière » doit être immédiatement remodelée, afin de maintenir ce que les femmes et leurs alliés combattent et continuer à faire pression pour atteindre plus de victoires concrètes. Il n’y a plus d’excuses pour déprioriser les problèmes de genre, surtout avec les données et recherches disponibles qui démontrent l’importance du rôle de la femme dans la mise en place de réformes dans les pays en crise. Il est encore temps d’agir. En 1952, les femmes ont revendiqué leur droit de vote au Liban et se sont depuis engagées activement dans différentes arènes politiques, sociales et économiques. Près de 70 ans plus tard, les femmes demeurent sous-représentées dans les différents paliers du gouvernement libanais, à savoir le Parlement et le Conseil des ministres. Autrefois considéré comme le sanctuaire des libertés et des droits dans la région, le Liban affiche aujourd’hui un score alarmant sur différents indices liés à l’égalité des sexes. Pour n’en nommer que quelques-uns, sur 187 pays, le Liban occupe la 183e position sur la participation mondiale des femmes au Parlement (en janvier 2021) avec un taux de participation inquiétant de 4,7 % – le plaçant à la 15e position sur 17 pays arabes. Cette faible participation est également reflétée par un taux d’insertion de 6 % dans les conseils municipaux et de 4 % dans le cabinet actuel. Le Liban obtient également un score de 147 sur 167 dans l’Indice global de paix et de sécurité des femmes, qui mesure trois dimensions majeures de leur bien-être, à savoir l’insertion, la justice et la sécurité.

Cliquez ici pour lire larticle complet.

La cheffe du gouvernement Najla Bouden, a réitéré, lors de son entretien, samedi 22 janvier 2022, au palais du gouvernement à La Kasbah, avec la présidente de l’Union nationale des femmes tunisiennes (UNFT), Radhia Jerbi, l’engagement de l’Etat à poursuivre le soutien financier et moral de cette organisation, en tant que partenaire dans la mise en œuvre de la politique de l’Etat, à promouvoir la condition de la femme, valoriser son rôle civil et sociétal et lui donner la place qu’elle mérite dans les postes de décision et préserver le rôle avant-gardiste de la Tunisie dans ce domaine au niveau régional et international.

Bouden estime nécessaire d’intensifier les efforts en vue de consolider davantage la contribution de la femme tunisienne à la gestion des affaires publiques et à l’élaboration de politiques et programmes par le biais de sa participation à la concertation nationale.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Web Manager Center, le 24 janvier 2022.