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Élections

Liz Njue, une psychologue kenyane qui voulait se présenter à un siège d'assemblée de comté, venait d'arriver pour voter aux primaires de son parti lorsque des adversaires l'ont attaquée, lui tirant les cheveux et déchirant son chemisier. Elle a fui sans déposer son bulletin de vote et a perdu la course.

Njue est l'une des dizaines de candidates qui ont été agressées physiquement pendant la campagne pour les élections présidentielles, législatives et locales du 9 août, selon l'Association des femmes parlementaires du Kenya.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Zone Bourse, le 1er août 2022.

Caravanes, entretiens avec les chefs religieux, visites de proximité… au Sénégal, les candidats aux élections législatives du 31 juillet ont entamé la deuxième semaine de campagne. Huit listes sont en compétition. Du côté de la coalition présidentielle - Benno Bokk Yaakaar - c’est Aminata Touré qui dirige la liste nationale. Un retour en force pour l’ancienne Première ministre.

Elle a une voix qui porte, grave et forte. « Cela colle avec son caractère bien trempé », affirme un observateur de la vie politique

Aminata Touré, surnommée « Mimi Touré » ou parfois la « Dame de fer », est la seule femme tête de liste nationale pour ces élections. Depuis l’arrivée au pouvoir de Macky Sall, en 2012, l’ancienne fonctionnaire internationale aura été ministre de la Justice, puis Première ministre en 2013.

Cliquez ici pour lire larticle publié par RFI, le 18 juillet 2022.

Elles plongent dans la campagne électorale qui mènera aux élections québécoises du 3 octobre. Des candidates des principaux partis discutent d’engagement politique, du sexisme quotidien et de parité.

— Moi, oui, je veux qu’il y ait des femmes en politique comme dans n’importe quel autre domaine plus masculin. Mais pas à n’importe quel prix.

— Quand on dit «pas à n’importe quel prix», je ne comprends pas ce commentaire-là. Voyons donc! Quand bien même qu’on passerait 20 ans avec une majorité de femmes, il n’y aurait pas de renversement historique!

Assises côte à côte à la table, les deux femmes ont des opinions opposées sur bien des sujets. Mais elles ont surtout beaucoup en commun, dont l’idée de se présenter aux prochaines élections québécoises à cause de l’arrivée... d’Éric Duhaime!

Cliquez ici pour lire larticle publié par La Voix de l’Est, le 1er juillet 2022.

Port Moresby, Papouasie-Nouvelle-Guinée | AFP | vendredi 30/06/2022 - Au moins un siège... c'est ce qu'espèrent obtenir les femmes lors des élections législatives qui commencent lundi en Papouasie-Nouvelle-Guinée, un pays marqué par les violences sexistes.

Dans un duel très masculin, le Premier ministre James Marape tentera de se maintenir à la tête de cette île du Pacifique, riche en ressources, mais à la population pauvre, face à son prédécesseur Peter O'Neill. Les observateurs prédisent une coalition, quelque soit le vainqueur.

Les femmes, elles, espèrent seulement faire entrer au moins une voix dans ce parlement de 118 élus

Depuis que la Papouasie-Nouvelle-Guinée a obtenu son indépendance de l'Australie, il y a près de 50 ans, seules sept femmes ont siégé au Parlement, et aucune n'a été élue lors du dernier scrutin en 2017.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Tahiti Infos, le 1er juillet 2022.

Non seulement les hommes continuent de dominer très largement l’hémicycle français, mais la part des femmes députées a baissé à l’issue des législatives des 12 et 19 juin. En cause, des partis politiques qui ne respectent toujours pas la loi sur la parité et placent en priorité les hommes dans des circonscriptions gagnables. France 24 dresse un tableau des bons et de mauvais élèves. 

L'Assemblée nationale élue dimanche 19 juin ne ressemble toujours pas à la France. L'hémicycle reste très largement dominé par les hommes avec seulement 215 députées femmes sur 577 députés, contre 224 en 2017. "Une baisse historique", regrette la porte-parole d'Osez le féminisme, Fabienne El-Khoury. "Le nombre de femmes élues à l'Assemblée nationale diminue pour la première fois depuis des décennies de progrès." 

Cliquez ici pour lire larticle publié par France 24, le 22 juin 2022.

Le Conseil d’État genevois a de fortes chances de compter une majorité de femmes dans ses rangs l’an prochain. Ce serait une première au bout du lac.

Alors que la plupart des partis gouvernementaux genevois ont désigné leurs candidats pour l’élection du Conseil d’État, une tendance claire apparaît: en 2023, il est bien possible que le gouvernement soit majoritairement composé de femmes. Ce serait une première pour Genève, où elles sont actuellement trois sur sept. Le Canton imiterait ainsi Zurich et surtout Vaud, où cinq des sept ministres sont des femmes. Il y avait aussi eu quatre conseillères fédérales entre 2010 et 2011.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Tribune de Genève, le 20 juin 2022.