Élections
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Le compte n'y est pas : sur les 4 009 candidats aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet, 41,1% seulement sont des femmes. Ce scrutin, organisé dans la précipitation, n'aura donc pas favorisé la féminisation de la vie parlementaire. La présence des femmes à l'Assemblée nationale risque d'être réduite, alors même qu'elles ne représentaient que 37,3% de l'hémicycle sortant, un chiffre déjà en recul par rapport à 2017.
Or, depuis le 6 juin 2000, une loi prévoit une sanction financière pour les formations qui ne présentent pas 50% de candidats de chaque sexe aux législatives, rappelle le site Vie publique. Tour d'horizon, parti par parti.
LFI, seule formation à atteindre la parité
D'après la typologie des candidats établie par franceinfo, seule La France insoumise atteint quasiment la parité. Le parti a en effet investi 116 femmes pour 117 hommes. A l'inverse, c'est au sein des membres des Républicains ayant suivi Eric Ciotti dans son alliance avec le RN que les femmes sont le moins représentées, avec 11 femmes candidates pour 52 hommes.
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par France Info le 28 juin 2024.
Image par France Info
Bienvenue dans le nouveau MOOC du Knight Center, “Liberté d’expression, intelligence artificielle et élections”,organisé par le Knight Center for Journalism in the Americas en partenariat avec l’UNESCO, le PNUD et avec le soutien de la Division de l’Assistance Électorale (EAD) du Département des Affaires Politiques et de Consolidation de la Paix (DPPA).
Pendant ce cours en ligne ouvert à tous de 4 semaines, qui se tiendra au cours du mois d’avril 2024, les participants apprendront et exploreront le monde fascinant et en constante évolution de la technologie et de la démocratie, en particulier l’impact de l’intelligence artificielle sur la liberté d’expression lors des élections.
S’inscrire sur la plateforme est facile. Veuillez suivre ces étapes :
- Créez un compte sur notre plateforme d’enseignement Journalism Courses. Même si vous avez déjà suivi un cours avec nous auparavant, il se peut que vous ayez besoin de créer un nouveau compte. Vérifiez si votre nom d’utilisateur et votre mot de passe précédents fonctionnent avant de créer un nouveau compte.
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Qui peut s’inscrire ? (A qui s’adresse ce cours ?)
- Les praticiens et les régulateurs électoraux.
- Les journalistes et les professionnels des médias.
- Les organisations de la société civile travaillant dans le domaine des élections, des droits de l’homme et de l’égalité entre les genres.
- Les étudiants et les éducateurs.
- Les électeurs et les citoyens désireux de comprendre l’IA et son impact sur la démocratie.
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Plaintes et colère, contestations et indignations des femmes au lendemain de la publication des résultats des élections législatives nationales et provinciales .
Qu’en est-il de la participation de la femme lors des élections de 2023 ? Est-ce que les droits de cette dernière ont été respectés ? Toutes ces questions ont fait l’objet d’une journée d’évaluation-postélectorale le vendredi 9 février 2024 à Kinshasa avec les femmes candidates réunies comme un seul homme au sein de la Plate-forme Femmes Leaders et Visions Politiques « FLVP », qui encadre les femmes de toutes les tendances politiques confondues.
Pour la cause de la femme, cette plate-forme via cette rencontre, avait comme but, de recueillir les expériences, les plaintes des différentes candidates en vue de préparer un plaidoyer auprès des décideurs pour améliorer la participation politique de la femme pour le reste du processus électoral et des postes nominatifs.
Au cours de cette journée, la situation du respect des droits de la femme pendant la campagne électorale a été abordé par la première intervenante, Charlotte SONGUE-PRISO, du Bureau conjoint des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, qui a rappellé quelques droits fondamentaux reconnus à la femme notamment le droit à l’information, l’éducation, le droit politique mais aussi le droit de revendication.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Pour Elle Info, le 12 février 2024.
Source image: Pour Elle Info
L'Institut pour l'égalité des femmes et des hommes (IEFH) plaide pour l'élaboration d'une politique d'égalité de genre ambitieuse et effective dans un mémorandum publié vendredi, en vue des élections fédérales de juin 2024. Le document renferme plus d'une soixantaine de recommandations concrètes articulées en neuf axes.
"Une telle politique exige entre autres de renforcer la lutte contre les discriminations ainsi que le combat contre la violence sexuelle en plaçant les intérêts des victimes au premier plan", explique l'IEFH. "D'autres formes de violences basées sur le genre, telles que la violence entre partenaires et la violence liée à l'honneur, requièrent également une approche adéquate."
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par La Libre, le 9 février 2024.
Source image: La Libre
Les Togolais iront aux urnes le 13 avril 2024 dans le cadre des élections législatives et régionales. Le montant de cautionnement des candidates est revu de moitié à ces deux rendez-vous électoraux. L’annonce a été faite à l’issue du conseil des ministres tenu le jeudi 8 février 2024.
« Conformément aux dispositions du code électoral, chaque candidat aux élections législatives devra verser un cautionnement de cinq cent mille (500 000) francs CFA, tandis que pour les élections régionales, le montant s’élève à deux cent mille (200 000) francs CFA par candidat. Toutefois, cette règle comporte une exception significative pour les femmes candidates, qui ne devront verser que la moitié de ces montants respectifs ».
Pour l’exécutif, cette mesure reflète ainsi l’engagement du pays dans la promotion de la participation politique des femmes. Elle s’inscrit dans une série d’efforts visant à renforcer la participation politique des femmes au Togo. La mesure s’appuie sur les progrès réalisés dans la promotion de l’égalité des genres et dans la reconnaissance du rôle crucial des femmes dans la gouvernance et le développement du pays.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par AFRICA Rendez-vous, le 9 février 2024.
Source image: AFRICA Rendez-vous
La directrice du projet du Centre tunisien pour la Méditerranée (TU-Med), Ahlem Karoui, a souligné dimanche 4 février 2024 la faible participation des femmes au second tour des élections locales dans les différents bureaux de vote couverts par les observateurs du Centre.
Selon les chiffres officiels de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), le taux de participation générale au premier tour des élections locales a été de 11,84%, avec 35% de femmes et 65% d’hommes.
Dans une déclaration à l’agence Tap, Karoui a indiqué que le Centre TU-Med disposait de 120 observateurs dans les régions frontalières et rurales, répartis dans 104 circonscriptions électorales, dans le cadre de son observation des élections sexo-spécifiques.
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Kapitalis, le 5 février 2024.
Source de l'image: Kapitalis